Sortons de la cour
et tournant à droite
engageons nous dans la petite rue des Huguenots
La bâtisse est sévère
abritant les communs
une porte de service
Orléans, Ville d'Art et d'Histoire, Hôtel Brachet dit la Vieille-Intendance, rue de la Bretonnerie, Siège du Tribunal Administratif
rue des Huguenots
RépondreSupprimerun grand bond
dans l'histoire
plus de décor, juste le fonctionnel - n'est pas sans beauté
RépondreSupprimerUn immeuble à combien de briques... ?
RépondreSupprimerles communs à la rue mais sans lanterne...
RépondreSupprimerSuperbe tapisserie de briques en damier, difficile à mettre en boîte vu l'étroitesse de la rue.
RépondreSupprimerLa petite porte voûtée, semblable à celle de la cour...
Austère aussi sous cet angle là, mais chaleur de la brique.
RépondreSupprimerUne maison qui me laisse un plus froid La bâtisse est sévère " c'est tout à fait juste
RépondreSupprimerSobriété du temps
RépondreSupprimerla pierre en histoire
songeur
> Mémoire du silence, ce matin, chez Brigetoun (son blog Paumée http://brigetoun.blogspot.com/), j'écrivais à peu près ceci :
RépondreSupprimerDans l'intimité des villes
un puzzle ou plutôt une série de puzzles
superposés en strates troyennes
où toujours manquera une pièce
une pièce que l'on rapièce
que l'on rajoute
un peu de ciment ici
un peu de colle là
de l'imagination...
L'histoire accomplie.
> Brigetoun, plus de decorum en effet, plutôt un muraille défensive, en limite d'une ruelle, en limite de propriété. La face sombre sinon cachée de la maison.
> Comte Habilis, le compte sera le bon, un certain, un grand, nombre. Sans compter, le commanditaire n'était-il pas le Trésorier de la reine d'Aragon ?
> JEA, on ne mélange pas les serviettes et les torchons...
> Tilia, j'ai tenté de la "prendre" dans tous les sens sans vraiment parvenir à donner sens à cette muraille étonnante. J'ai choisi celle-ci pour le petit arbuste encore jaune que l'on aperçoit à l'extrême gauche.
La petite porte voûtée est en vis-à-vis avec celle de la cour.
> Pensées au fil de l'eau, ce sont les communs, les services qui y sont abrités. Nulle nécessité, surtout donnant sur une rue si étroite, de farder et d'enjoliver la façade. On fait les économies que l'on peut surtout lorsqu'on est Trésorier...
Un autre aspect de la demeure, mais non moins imposant.
RépondreSupprimerDans l'austérité
Le revers de la médaille
La vie en coulisse
> Monique, les coulisses de l'histoire
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, va savoir pourquoi, je viens de récupérer ton commentaire dans la boîte à "spam " ! Désolé. D'autant plus austère que la lumière solaire n'était pas avec moi, cet après-midi là.
RépondreSupprimerLa bâtisse est sévère...tu as trouvé le mot juste...austère ...yopla boum...ho pardon
RépondreSupprimer> Gérard, nous ne sommes plus dans la représentation mais dans l'utilitaire. Les visiteurs ne passent pas par cette rue. Ils entrent par le porche, par la cour, pour les réceptions et se retrouvent éventuellement au jardin comme nous le verrons demain...
RépondreSupprimerAustère, sans decorum ... Mais la solidité de la façade est, quelque part, sécurisante ...
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