mercredi 11 janvier 2012

Hôtel Brachet, côté rue


Sortons de la cour
et tournant à droite
engageons nous dans la petite rue des Huguenots

La bâtisse est sévère
abritant les communs
une porte de service



Orléans, Ville d'Art et d'Histoire, Hôtel Brachet dit la Vieille-Intendance, rue de la Bretonnerie, Siège du Tribunal Administratif



15 commentaires:

  1. rue des Huguenots
    un grand bond
    dans l'histoire

    RépondreSupprimer
  2. plus de décor, juste le fonctionnel - n'est pas sans beauté

    RépondreSupprimer
  3. Un immeuble à combien de briques... ?

    RépondreSupprimer
  4. les communs à la rue mais sans lanterne...

    RépondreSupprimer
  5. Superbe tapisserie de briques en damier, difficile à mettre en boîte vu l'étroitesse de la rue.
    La petite porte voûtée, semblable à celle de la cour...

    RépondreSupprimer
  6. Austère aussi sous cet angle là, mais chaleur de la brique.

    RépondreSupprimer
  7. Une maison qui me laisse un plus froid La bâtisse est sévère " c'est tout à fait juste

    RépondreSupprimer
  8. Sobriété du temps
    la pierre en histoire
    songeur

    RépondreSupprimer
  9. > Mémoire du silence, ce matin, chez Brigetoun (son blog Paumée http://brigetoun.blogspot.com/), j'écrivais à peu près ceci :

    Dans l'intimité des villes
    un puzzle ou plutôt une série de puzzles
    superposés en strates troyennes
    où toujours manquera une pièce
    une pièce que l'on rapièce
    que l'on rajoute
    un peu de ciment ici
    un peu de colle là
    de l'imagination...

    L'histoire accomplie.

    > Brigetoun, plus de decorum en effet, plutôt un muraille défensive, en limite d'une ruelle, en limite de propriété. La face sombre sinon cachée de la maison.

    > Comte Habilis, le compte sera le bon, un certain, un grand, nombre. Sans compter, le commanditaire n'était-il pas le Trésorier de la reine d'Aragon ?

    > JEA, on ne mélange pas les serviettes et les torchons...

    > Tilia, j'ai tenté de la "prendre" dans tous les sens sans vraiment parvenir à donner sens à cette muraille étonnante. J'ai choisi celle-ci pour le petit arbuste encore jaune que l'on aperçoit à l'extrême gauche.

    La petite porte voûtée est en vis-à-vis avec celle de la cour.

    > Pensées au fil de l'eau, ce sont les communs, les services qui y sont abrités. Nulle nécessité, surtout donnant sur une rue si étroite, de farder et d'enjoliver la façade. On fait les économies que l'on peut surtout lorsqu'on est Trésorier...

    RépondreSupprimer
  10. Un autre aspect de la demeure, mais non moins imposant.

    Dans l'austérité
    Le revers de la médaille
    La vie en coulisse

    RépondreSupprimer
  11. > Monique, les coulisses de l'histoire

    RépondreSupprimer
  12. > Françoise Dumon, va savoir pourquoi, je viens de récupérer ton commentaire dans la boîte à "spam " ! Désolé. D'autant plus austère que la lumière solaire n'était pas avec moi, cet après-midi là.

    RépondreSupprimer
  13. La bâtisse est sévère...tu as trouvé le mot juste...austère ...yopla boum...ho pardon

    RépondreSupprimer
  14. > Gérard, nous ne sommes plus dans la représentation mais dans l'utilitaire. Les visiteurs ne passent pas par cette rue. Ils entrent par le porche, par la cour, pour les réceptions et se retrouvent éventuellement au jardin comme nous le verrons demain...

    RépondreSupprimer
  15. Austère, sans decorum ... Mais la solidité de la façade est, quelque part, sécurisante ...

    RépondreSupprimer