Belle maison. Mais à mon avis, les fenêtres avec des petits carreaux imitation vitrail dans des châssis blancs ne vont pas du tout avec l'allure médiévale de cette façade. Des montants et des cadres bruns auraient été plus adaptés.
> Brigetoun, comme si l'escalier fut d'abord extérieur.
> Arlaquin, j'aurais plutôt attendu Arlequine que Colombine de ta part.
> Mémoire du silence, pour un décor de cinéma. Toi, la costumière.
> Fardoise, un beau travail de charpentier, tout en finesse.
> Gérard, une interprétation toute personnelle que ta page de chiffres romains pour cette façade.
> Thierry, une maison pour une alouette ou un petit écureuil, rôle souvent dévolu traditionnellement à l'épouse dans les ménages, au temps d'Ibsen mais qui perdure...
> Monique, de passage en cette ville prochainement ? Tous les regards sont possibles. Orléans ville ouverte.
> Christineeeee, où est la poupée ? Mais bien évidemment dans l'escalier. Ne l'entends-tu pas chanter ?
> Tilia, il y a tant d'ouvertures que chacun y a mis sa patte. L'uniformité crée l'ennui.
> Mémoire du silence,
La roine Blanche comme un lis Qui chantait à voix de sirène, Berthe au grand pied, Bietrix, Aliz, Haramburgis qui tint le Maine, Et Jeanne, la bonne Lorraine Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ; Où sont-ils, où, Vierge souvraine ? Mais où sont les neiges d'antan ?
François Villon, chanté par Brassens.
Merci, Maria.
> Pat, c'est beau un colombage, si ouvragé, si pieusement conservé comme ici.
> Arlettart, une poupée pomponnée comme sa maison du temps jadis.
Comme Christineeeee, j'ai cru à un trompe-l'oeil ... Impression que la poupée n'a pas eu sa maison d'un seul tenant en une seule fois, ou bien a-t-elle voulu faire des changements en l'adaptant à son envie ?
escalier, en parure jolie
RépondreSupprimerjeux de lignes et de tons
jeux de formes et balustres
une maison qui parle
la langue drue du 16ème
Très joli.
RépondreSupprimerDans les colombages j'entends les colombes et Colombine.
Ô ! Beau
RépondreSupprimeraux fenêtres j'entrevois de belles dames de jadis comme des esquisses
http://pages.infinit.net/folken/medieval/images/15sieclefemme.gif
Après les colombines et colombes dans les colombages je ne sais plus quoi dire. Ah si, beau !
RépondreSupprimerUne magnifique façade en chiffre romains
RépondreSupprimerIbsen en son domaine, une scène qui ne dépare pas
RépondreSupprimerpas du Alvar Altô, mais ces bois, nordiques ou pas, lèvent une belle flamme.
Heureuse d'aller bientôt retrouver ces belles demeures et peut-être les voir sous un jour un "tantinet" différent-;)
RépondreSupprimerJolie trouvaille que cette maison : on croirait un escalier en trompe l'oeil !
RépondreSupprimerMais où est la poupée ?
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeeee
Belle maison.
RépondreSupprimerMais à mon avis, les fenêtres avec des petits carreaux imitation vitrail dans des châssis blancs ne vont pas du tout avec l'allure médiévale de cette façade.
Des montants et des cadres bruns auraient été plus adaptés.
http://www.youtube.com/watch?v=87g34eZoAuQ
RépondreSupprimerles murs parlent avec le bois ...
RépondreSupprimerLa poupée est là -haut toute mignonne
RépondreSupprimerL'oeil se perd quatre à quatre
> Brigetoun, comme si l'escalier fut d'abord extérieur.
RépondreSupprimer> Arlaquin, j'aurais plutôt attendu Arlequine que Colombine de ta part.
> Mémoire du silence, pour un décor de cinéma. Toi, la costumière.
> Fardoise, un beau travail de charpentier, tout en finesse.
> Gérard, une interprétation toute personnelle que ta page de chiffres romains pour cette façade.
> Thierry, une maison pour une alouette ou un petit écureuil, rôle souvent dévolu traditionnellement à l'épouse dans les ménages, au temps d'Ibsen mais qui perdure...
> Monique, de passage en cette ville prochainement ? Tous les regards sont possibles. Orléans ville ouverte.
> Christineeeee, où est la poupée ? Mais bien évidemment dans l'escalier. Ne l'entends-tu pas chanter ?
> Tilia, il y a tant d'ouvertures que chacun y a mis sa patte. L'uniformité crée l'ennui.
> Mémoire du silence,
La roine Blanche comme un lis
Qui chantait à voix de sirène,
Berthe au grand pied, Bietrix, Aliz,
Haramburgis qui tint le Maine,
Et Jeanne, la bonne Lorraine
Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
Où sont-ils, où, Vierge souvraine ?
Mais où sont les neiges d'antan ?
François Villon, chanté par Brassens.
Merci, Maria.
> Pat, c'est beau un colombage, si ouvragé, si pieusement conservé comme ici.
> Arlettart, une poupée pomponnée comme sa maison du temps jadis.
Comme Christineeeee, j'ai cru à un trompe-l'oeil ...
RépondreSupprimerImpression que la poupée n'a pas eu sa maison d'un seul tenant en une seule fois, ou bien a-t-elle voulu faire des changements en l'adaptant à son envie ?
superbe!surprenant!
RépondreSupprimer> Midolu, c'est bien l'impression que j'ai eu également l'apercevant de loin. Un bricolage invraisemblable ...
RépondreSupprimer> Maïté/Aliénor, et passé le premier moment de surprise, on se prend à l'aimer, un peu comme un joujou bandonné et que l'on retrouve.
IL est heureux que des maisons comme celle-ci aient pu être préservées au hasard du temps.
RépondreSupprimerUne belle photo permet aussi cette sauvegarde...