Le bois sous le plâtre pelures superposées le mur ausculté le temps stratifié quête du passé
plâtras, plâtre au ras, patatras ! voilà que l'enduit gobeté n'est plus celui qui assurait l’étanchéité, mal fixé sans doute puisque dans le bakula ou sur les poudres la poudre de gypse dispersée ne tient pas sans cavaliers, il faut des encrage pour adhérer, pas de primaire mais une longue expérience pour combler interstices, et d'ailleurs les staffeurs utilisent la filasse car renforcé de fibres il est à la fois plus facile à travailler et plus solide. Le bourrage au plâtre à bâtir n’abâtardit l'ouvrage et il était si commun d'utiliser celui ci en enduits extérieurs, car il est résistant et hygroscopique même s'il faut des bras télescopique pour le balancer à la gamate, la truelle ou encore la main, mais le lissage après l’enduis age, le r agréage et le bouchage se fait parfois à la fleur et à la spatule . Le plâtre de Paris de perd et on ne fait plus carrière car en plus d'être musculeux il faut être résistant pour le gobetis comme pour tirer la partie ou encore remonter à grandes talochées les parois.
Le bois ne blesse qui se découvre mais dans sa nudité il n'a pas cette froideur, son heure n'est pas venue et il reste de sa fibre un des plus précieux auxiliaires pour les bâtisseurs pas préoccupés de laisser des traces.
> Brigetoun, hourdissage de paille et de plâtre quand ce n'est pas de briques, de bric et de broc...
> Michel, le bois piqueté pour accepter l'enduit. Ce bois fait pour résister aux in (temps)éries n'avait nulle nécessité de cette "protection ".
> Mémoire du silence, encore sans image ! Un petit ravalement pour ta machine sera nécessaire...
> Thierry, le bois a été martelé pour favoriser la prise de l'emprise. Un arrêté du maire de la ville, en 1823, ayant rendu ce plâtrage obligatoire par crainte du feu.
> Fardoise, toujours vaillantes, les poutres taillées dans de vieux chênes de la forêt d'Orléans. Comme si chacun, ici, voulait retrouver le décor d'antan. La ville après avoir rendu obligatoire de cacher ces colombages, rend aujourd'hui obligatoire les ravalements et la remise en l'état des façades. Des subventions sont accordées par la municipe mais l'ardoise restante peut s'élever à plus de 30 000 euros pour les heureux propriétaires !
> Lautreje, quand le passé nous tient, on s'y accroche. Une belle opération même si elle a un coût. Peut-être a-t-on trop attendu pour ce faire.
> Tilia, des briques et des millions et la ville murmure... 517 immeubles (d'après la presse locale) ont été revitalisés et " des trésors patrimoniaux dévoilés "... Campagne lancée en ... 2001. Trois cents nouvelles façades ont été ainsi sondées et feront l'objet d'un rajeunissement.
> Pat, un succés garanti, la ville ancienne gagnant en cachet.
> Thierry, et chacun de sonder ses murs ! Un trésor peut-être y dort-il depuis plus d'un siècle. La ville plutôt grise gagne en couleurs, la vieille dame requinquée.
et la maçonnerie de bourrage bien soigneusement cachée - le coeur du mur
RépondreSupprimerAttention s'il pleut le bois boit.
RépondreSupprimerLe temps m'est aveugle.
RépondreSupprimerBonne journée Pierre
Le bois sous le plâtre
RépondreSupprimerpelures superposées
le mur ausculté
le temps stratifié
quête du passé
plâtras, plâtre au ras, patatras !
voilà que l'enduit gobeté n'est plus celui
qui assurait l’étanchéité, mal fixé sans doute
puisque dans le bakula ou sur les poudres la poudre de gypse dispersée ne tient pas sans cavaliers, il faut des encrage pour adhérer, pas de primaire mais une longue expérience pour combler interstices, et d'ailleurs les staffeurs utilisent la filasse car renforcé de fibres il est à la fois plus facile à travailler et plus solide.
Le bourrage au plâtre à bâtir n’abâtardit l'ouvrage et il était si commun d'utiliser celui ci en enduits extérieurs, car il est résistant et hygroscopique même s'il faut des bras télescopique pour le balancer à la gamate, la truelle ou encore la main, mais le lissage après l’enduis age, le r agréage et le bouchage
se fait parfois à la fleur et à la spatule .
Le plâtre de Paris de perd et on ne fait plus carrière car en plus d'être musculeux il faut être résistant pour le gobetis comme pour tirer la partie ou encore remonter à grandes talochées les parois.
Le bois semble toujours vivant, c'est bien que l'on sache qu'il est là, toujours et encore, malgré les modes, et qu'il revient dans nos maisons.
RépondreSupprimersolide passé !
RépondreSupprimerSondage sous le pignon
RépondreSupprimerentre les têtes de bois
des hourdis maladroits
des briques et des millions
Le bois en noblesse
RépondreSupprimerLe bois ne blesse qui se découvre mais dans sa nudité il n'a pas cette froideur, son heure n'est pas venue et il reste de sa fibre un des plus précieux auxiliaires pour les bâtisseurs pas préoccupés de laisser des traces.
RépondreSupprimer> Brigetoun, hourdissage de paille et de plâtre quand ce n'est pas de briques, de bric et de broc...
RépondreSupprimer> Michel, le bois piqueté pour accepter l'enduit. Ce bois fait pour résister aux in (temps)éries n'avait nulle nécessité de cette "protection ".
> Mémoire du silence, encore sans image ! Un petit ravalement pour ta machine sera nécessaire...
> Thierry, le bois a été martelé pour favoriser la prise de l'emprise. Un arrêté du maire de la ville, en 1823, ayant rendu ce plâtrage obligatoire par crainte du feu.
> Fardoise, toujours vaillantes, les poutres taillées dans de vieux chênes de la forêt d'Orléans. Comme si chacun, ici, voulait retrouver le décor d'antan. La ville après avoir rendu obligatoire de cacher ces colombages, rend aujourd'hui obligatoire les ravalements et la remise en l'état des façades. Des subventions sont accordées par la municipe mais l'ardoise restante peut s'élever à plus de 30 000 euros pour les heureux propriétaires !
> Lautreje, quand le passé nous tient, on s'y accroche. Une belle opération même si elle a un coût. Peut-être a-t-on trop attendu pour ce faire.
> Tilia, des briques et des millions et la ville murmure... 517 immeubles (d'après la presse locale) ont été revitalisés et " des trésors patrimoniaux dévoilés "... Campagne lancée en ... 2001. Trois cents nouvelles façades ont été ainsi sondées et feront l'objet d'un rajeunissement.
> Pat, un succés garanti, la ville ancienne gagnant en cachet.
> Thierry, et chacun de sonder ses murs ! Un trésor peut-être y dort-il depuis plus d'un siècle. La ville plutôt grise gagne en couleurs, la vieille dame requinquée.