Couleurs automnales pour cette maison peu ordinaire. J'aime son cabochon près du balcon.
Robe à rayures, bleu aux yeux, pendant à l'oreille et dentelle aux décolleté. Ceinture à boucle métallique et broche de céramique sur l'épaule. Une belle élégante, un peu distante.
J'avoue que la question moderne ou ancien m'a effleurée. Je trouve l'ensemble assez chaleureux avec ses allures de chalet. Près de chez moi, un bâtiment actuellement prend des allures de briques et de bois un peu semblables.
Ocre en evidence beauté sous la lumière charme de son temps
je vois bien cela dans les Alpes mais, sous l'hivers de Paris ...je doute que cela ai autant de charme . Evidemment il faut remettre cela dans son époque
Est-ce encore dix neuvième avec le fer qui dominait comme à Baltard , aux halles, le fer puddlé de la tour Eiffel, un beau reportage sur Arte montrait la chocolaterie Menier de Noisiel avec un superbe travail d'habillage de la brique en décors mais des assises en losange tenant toute l'ossature.
> Nicole T, déjà tu penses pinceau et travail... Mais la brique ne bouge pas beaucoup et sa couleur varie peu avec le temps.
> Brigetoun, du beau travail, une belle conception. Presque un immeuble. On a beaucoup de peine à imaginer l'environnement de l'époque. Des jardins, des vergers, de grands vergers... C'est à peu près tout que je sais.
> Michel, les dominantes te plaisent peu, trop sombres sans doute, un peu trop chocolat. En harmonie cependant avec la teinte du bois.
> Gérard Méry, un certain charme, original à l'époque, se démarquant de ses voisins. Peut-être dans une propriété plus importante qu'aujourd'hui.
> Tilia, distante, elle a voulu jouer l'originalité, se distinguer. Une idée d'ingénieur : cela m'y fait penser.
> Tanette, et du solide. Force et contreforce au calcul près. C'est net, clair, scientifiquement conduit...
> Neyde, les lignes se cherchent et se conjuguent...
> Maïté/Aliénor, et cependant la montagne est lointaine. Vrai: chalet bavarois, suisse peut-être. Mon ingénieur aurait-il été de nationalité hélvétique ? Je pense à ces petites horloges dites "Coucou"... en forme de chalet suisse.
> Arlettart, une vanité ? Sûr que la construction est solidement assise sur ses bases et que rien ne semble devoir l'atteindre. Elle a plus d'un siècle.
> Pat, elle a de l'allure, c'est certain. Dommage que la construction soit aujourd'hui noyée entre des immeubles de béton qui sont loin d'avoir ce charme...
> Lautreje, j'aime ces petits motifs semés ici et là sur la façade. Quelqu'un qui avait un certain goût.
> Maria-D, ici, la brique est peu courante en tant que matériaux de construction. On utilise plutôt la meulière qui a également un certain charme.
> Thierry, mais tu as tout à fait raison d'évoquer Noisiel et la chocolaterie Menier. Je suis impardonnable de n'y avoir pensé d'autant que Noisiel, c'est tout à côté... L'époque est la même: le moulin a été construit de 1869 à 1872.Une image ici : http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8d/Moulin_Saulnier.jpg/628px-Moulin_Saulnier.jpg
> Thierry, que dire des captchas sinon qu'ils m'agacent !
> Naline, visiteuse du soir, aimant le bleu qui n'est pas encore de nuit, je te salue. Un bleu en harmonie avec les persiennes, les briques et la toiture. Un concepteur de goût.
Un cadre , un berceau, une entretoisement , un entrecroisement, des lignes obliques pour une montée, des portées apportées, à portée de main et d'yeux pour tous ! L'allégement des structures doit à l'acier corroyé qui fut courroie de transmission de la modernité héritée , et le premier building en fer de new york, le steel flat, en était la démonstration, toujours plus ces charpentes en IPN aux sections variables et de formes diverses cette montée aux nues, ce John l'enfer du Goncourt, tout concourait à alléger, mais il fallait ensuite habiller et remplir comme avec les colombages et la brique pour laquelle on s'est tant enflammé remplissait ce rôle et cette espace à merveille, car calibrée elle se posait et se fondait dans le décor, permettant tout les luxes et toutes les folies de dessins compliqués. Pas de porte d'Ishtar ce n'est pas sur le tard que s'est généralisé la poutrelle et ses élevons élancés, mais on a amélioré la technique du rivetage à chaud sans plus être l'otage de jonctions branlantes. L'histoire de la tour Eiffel est à ce point édifiante, même si d'acier il ne fut pas question pour des raisons de tenue et de stabilité, de compromis entre souplesse et raideur à dresser un tel monument à la gloire du progrès et des arts, de la technique sans créer la panique !
ça, c'est juste pour compliquer la vie des peintres ! :-)
RépondreSupprimerbonne journée !
gloire au chaînage, architecture d'ingénieur, architecture de peintre, charme
RépondreSupprimerPas très gaie quand même...
RépondreSupprimerUn vrai-faux qui a beaucoup de charme
RépondreSupprimerCouleurs automnales pour cette maison peu ordinaire. J'aime son cabochon près du balcon.
RépondreSupprimerRobe à rayures, bleu aux yeux, pendant à l'oreille et dentelle aux décolleté. Ceinture à boucle métallique et broche de céramique sur l'épaule. Une belle élégante, un peu distante.
Du beau travail comme on n'en voit plus de nos jours.
RépondreSupprimerTanette2
Les lignes parallèles
RépondreSupprimerun jour vont se chercher
et se rencontrer
à l'infini.
J'aime cette maison.
J'avoue que la question moderne ou ancien m'a effleurée. Je trouve l'ensemble assez chaleureux avec ses allures de chalet.
RépondreSupprimerPrès de chez moi, un bâtiment actuellement prend des allures de briques et de bois un peu semblables.
Et" ça se veut et ça ne l'est pas" OH!! vanité!!!!
RépondreSupprimerOcre en evidence
RépondreSupprimerbeauté sous la lumière
charme de son temps
je vois bien cela dans les Alpes mais, sous l'hivers de Paris ...je doute que cela ai autant de charme . Evidemment il faut remettre cela dans son époque
belle fantaisie en bleu
RépondreSupprimercomme une coiffe, un ornement
clin d'oeil malicieux !
C'est joli j'aime bien, il y a dans certains quartiers de Barcelone des maisons en briques rouges c'est très joli.
RépondreSupprimerEst-ce encore dix neuvième avec le fer qui dominait comme à Baltard , aux halles, le fer puddlé de la tour Eiffel, un beau reportage sur Arte montrait la chocolaterie Menier de Noisiel avec un superbe travail d'habillage de la brique en décors mais des assises en losange tenant toute l'ossature.
RépondreSupprimerectne voilà ce que j'ai eu à taper mais j’ai lu etche et j'ai pensé à la maison en basque !
RépondreSupprimeret maintenant c'est triessi, comme si trier n'était pas nécessaire, pour bien approcher les choses
RépondreSupprimer> Nicole T, déjà tu penses pinceau et travail... Mais la brique ne bouge pas beaucoup et sa couleur varie peu avec le temps.
RépondreSupprimer> Brigetoun, du beau travail, une belle conception. Presque un immeuble. On a beaucoup de peine à imaginer l'environnement de l'époque. Des jardins, des vergers, de grands vergers... C'est à peu près tout que je sais.
> Michel, les dominantes te plaisent peu, trop sombres sans doute, un peu trop chocolat. En harmonie cependant avec la teinte du bois.
> Gérard Méry, un certain charme, original à l'époque, se démarquant de ses voisins. Peut-être dans une propriété plus importante qu'aujourd'hui.
> Tilia, distante, elle a voulu jouer l'originalité, se distinguer. Une idée d'ingénieur : cela m'y fait penser.
> Tanette, et du solide. Force et contreforce au calcul près. C'est net, clair, scientifiquement conduit...
> Neyde, les lignes se cherchent et se conjuguent...
> Maïté/Aliénor, et cependant la montagne est lointaine. Vrai: chalet bavarois, suisse peut-être. Mon ingénieur aurait-il été de nationalité hélvétique ? Je pense à ces petites horloges dites "Coucou"... en forme de chalet suisse.
> Arlettart, une vanité ? Sûr que la construction est solidement assise sur ses bases et que rien ne semble devoir l'atteindre. Elle a plus d'un siècle.
> Pat, elle a de l'allure, c'est certain. Dommage que la construction soit aujourd'hui noyée entre des immeubles de béton qui sont loin d'avoir ce charme...
> Lautreje, j'aime ces petits motifs semés ici et là sur la façade. Quelqu'un qui avait un certain goût.
> Maria-D, ici, la brique est peu courante en tant que matériaux de construction. On utilise plutôt la meulière qui a également un certain charme.
J'aime beaucoup ces rehauts bleus et l'élégance générale de cette bâtisse !
RépondreSupprimer> Thierry, mais tu as tout à fait raison d'évoquer Noisiel et la chocolaterie Menier. Je suis impardonnable de n'y avoir pensé d'autant que Noisiel, c'est tout à côté... L'époque est la même: le moulin a été construit de 1869 à 1872.Une image ici :
RépondreSupprimerhttp://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8d/Moulin_Saulnier.jpg/628px-Moulin_Saulnier.jpg
> Thierry, que dire des captchas sinon qu'ils m'agacent !
> Naline, visiteuse du soir, aimant le bleu qui n'est pas encore de nuit, je te salue. Un bleu en harmonie avec les persiennes, les briques et la toiture. Un concepteur de goût.
RépondreSupprimerDes demeures agréables à admirer et où il doit faire bon vivre !
RépondreSupprimerLes formes dures et froides surtout...
RépondreSupprimerUn cadre , un berceau, une entretoisement , un entrecroisement, des lignes obliques pour une montée, des portées apportées, à portée de main et d'yeux pour tous !
RépondreSupprimerL'allégement des structures doit à l'acier corroyé qui fut courroie de transmission de la modernité héritée , et le premier building en fer de new york, le steel flat, en était la démonstration, toujours plus ces charpentes en IPN aux sections variables et de formes diverses
cette montée aux nues, ce John l'enfer du Goncourt, tout concourait à alléger, mais il fallait ensuite habiller et remplir comme avec les colombages et la brique pour laquelle on s'est tant enflammé remplissait ce rôle et cette espace à merveille, car calibrée elle se posait et se fondait dans le décor, permettant tout les luxes et toutes les folies de dessins compliqués. Pas de porte d'Ishtar ce n'est pas sur le tard que s'est généralisé la poutrelle et ses élevons élancés, mais on a amélioré la technique du rivetage à chaud sans plus être l'otage de jonctions branlantes.
L'histoire de la tour Eiffel est à ce point édifiante, même si d'acier il ne fut pas question pour des raisons de tenue et de stabilité, de compromis entre souplesse et raideur à dresser un tel monument à la gloire du progrès et des arts, de la technique sans créer la panique !