Très peu habillées ces fenêtres : pas un rideau... Bien sages ces volets : très peu battants... Et la lumière ne vient pas de l'éclairage... Des ombres au tableau... :))) Bonne journée !
> Pat, dans le centre ancien, toutes les lanternes sont de ce modèle, sobre et élégant.
> Brigetoun, des persiennes de bois, à lames à la française, comme on n'en fait plus, préférant le plastique et les lames à l'américaine.
> Presque poète, ce sont les choses qui sont belles, en elles-mêmes. Je ne fait que passer le message.
> Michel, habillées, extérieurement, de ces hautes persiennes. Que veux-tu de plus ? Qu'elles se voilent la face, rideaux tirés, quand il y a si belle lumière ?
> Tilia, l'avantage des persiennes à la française c'est que, une fois tirées, l'obscurité dans la chambre n'est pas complète, les lames n'étant pas jointives. La lumière du réverbère mais aussi celle de la lune... J'avais dans mon enfance de telles persiennes et j'en rêve encore.
> Monique, elles ne coupent pas du monde extérieur. Elles représentent un long et habile travail de la part du menuisier. Et si elles ne sont pas de bon chêne et peintes régulièrement, les lames prennent du jeu et tombent l'une après l'autre, toute la construction savante se délitant.
> Mémoire du silence, je n'avait pas pensé au Mouvement perpétuel d'Aragon que tu cites bien à propos. Le mouvement perpétuel ou le paradoxe de la stabilité. Une survivance d'une esthétique baroque chez les Surréalistes.
> Neyde, c'est un autre avantage de ces persiennes, de l'intérieur on peut, sans être vu, observer ce qui se passe dans la rue ... Un peu comme avec les moucharabiehs du monde arabe.
> Monique, oui, et ce ne sont pas les mêmes. J'aime ce genre de persiennes et de nombreuses maisons d'Orléans (comme ici) en conservent encore.
> Arlettart, l'une de mes grands-mères annonçait " volets " quand l'autre parlait de " contrevents ". L'une était de la rive gauche de la Loire, l'autre, comme tu le devineras, de la rive droite.
Ombrelle du temps
RépondreSupprimerLa lanterne en attende
murmure de la vie
volets ouverts
RépondreSupprimersur la lumière
frémissante
comme la vie
Très joli blog, très poétique !
RépondreSupprimerTrès peu habillées ces fenêtres : pas un rideau...
RépondreSupprimerBien sages ces volets : très peu battants...
Et la lumière ne vient pas de l'éclairage...
Des ombres au tableau... :)))
Bonne journée !
La lumière du réverbère
RépondreSupprimerfiltrant des persiennes closes
découpe en tranches le sommeil
Qu'elle soit naturelle ou artificielle, à travers les persiennes passe la lumière. Cette image laisse entrevoir la vie et un certain mouvement.
RépondreSupprimerAu rythme du temps
Un jeu d'ombre et de lumière
Quand tourne la terre
Persiennes
RépondreSupprimerPersienne Persienne Persienne
Persienne persienne persienne
persienne persienne persienne persienne
persienne persienne persienne persienne
persienne persienne
Persienne Persienne Persienne
Persienne?
Louis Aragon / Le mouvement perpétuel
La persienne fermée
RépondreSupprimerJe te vois là bas
La persienne fermée
tu ne me vois pas
Deuxième "volet" des Persiennes du 28 sept 2011-;)
RépondreSupprimerPour se cacher et regarder les petits secrets de la rue entre ombre et lumière
RépondreSupprimerJ'entends aussi prononcer "contrevents"parfois
> Pat, dans le centre ancien, toutes les lanternes sont de ce modèle, sobre et élégant.
RépondreSupprimer> Brigetoun, des persiennes de bois, à lames à la française, comme on n'en fait plus, préférant le plastique et les lames à l'américaine.
> Presque poète, ce sont les choses qui sont belles, en elles-mêmes. Je ne fait que passer le message.
> Michel, habillées, extérieurement, de ces hautes persiennes. Que veux-tu de plus ? Qu'elles se voilent la face, rideaux tirés, quand il y a si belle lumière ?
> Tilia, l'avantage des persiennes à la française c'est que, une fois tirées, l'obscurité dans la chambre n'est pas complète, les lames n'étant pas jointives. La lumière du réverbère mais aussi celle de la lune... J'avais dans mon enfance de telles persiennes et j'en rêve encore.
> Monique, elles ne coupent pas du monde extérieur. Elles représentent un long et habile travail de la part du menuisier. Et si elles ne sont pas de bon chêne et peintes régulièrement, les lames prennent du jeu et tombent l'une après l'autre, toute la construction savante se délitant.
> Mémoire du silence, je n'avait pas pensé au Mouvement perpétuel d'Aragon que tu cites bien à propos. Le mouvement perpétuel ou le paradoxe de la stabilité. Une survivance d'une esthétique baroque chez les Surréalistes.
> Neyde, c'est un autre avantage de ces persiennes, de l'intérieur on peut, sans être vu, observer ce qui se passe dans la rue ... Un peu comme avec les moucharabiehs du monde arabe.
> Monique, oui, et ce ne sont pas les mêmes. J'aime ce genre de persiennes et de nombreuses maisons d'Orléans (comme ici) en conservent encore.
> Arlettart, l'une de mes grands-mères annonçait " volets " quand l'autre parlait de " contrevents ". L'une était de la rive gauche de la Loire, l'autre, comme tu le devineras, de la rive droite.
Une invitation au soleil de s'y installer
RépondreSupprimer> Gérard, l'exposition que je préfère, au midi.
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