mercredi 23 novembre 2011

pavillon


Façade de briques
de bois et de fonte
coiffée de tuiles


des lignes  alternées
rouges et blanches
un vrai-faux colombage



en retour
un balcon haut perché
une clé pendante

un pavillon de banlieue
du siècle dernier



Banlieue parisienne

22 commentaires:

  1. ça, c'est juste pour compliquer la vie des peintres ! :-)
    bonne journée !

    RépondreSupprimer
  2. gloire au chaînage, architecture d'ingénieur, architecture de peintre, charme

    RépondreSupprimer
  3. Couleurs automnales pour cette maison peu ordinaire. J'aime son cabochon près du balcon.

    Robe à rayures, bleu aux yeux, pendant à l'oreille et dentelle aux décolleté. Ceinture à boucle métallique et broche de céramique sur l'épaule. Une belle élégante, un peu distante.

    RépondreSupprimer
  4. Du beau travail comme on n'en voit plus de nos jours.
    Tanette2

    RépondreSupprimer
  5. Les lignes parallèles
    un jour vont se chercher
    et se rencontrer
    à l'infini.

    J'aime cette maison.

    RépondreSupprimer
  6. J'avoue que la question moderne ou ancien m'a effleurée. Je trouve l'ensemble assez chaleureux avec ses allures de chalet.
    Près de chez moi, un bâtiment actuellement prend des allures de briques et de bois un peu semblables.

    RépondreSupprimer
  7. Et" ça se veut et ça ne l'est pas" OH!! vanité!!!!

    RépondreSupprimer
  8. Ocre en evidence
    beauté sous la lumière
    charme de son temps

    je vois bien cela dans les Alpes mais, sous l'hivers de Paris ...je doute que cela ai autant de charme . Evidemment il faut remettre cela dans son époque

    RépondreSupprimer
  9. belle fantaisie en bleu
    comme une coiffe, un ornement
    clin d'oeil malicieux !

    RépondreSupprimer
  10. C'est joli j'aime bien, il y a dans certains quartiers de Barcelone des maisons en briques rouges c'est très joli.

    RépondreSupprimer
  11. Est-ce encore dix neuvième avec le fer qui dominait comme à Baltard , aux halles, le fer puddlé de la tour Eiffel, un beau reportage sur Arte montrait la chocolaterie Menier de Noisiel avec un superbe travail d'habillage de la brique en décors mais des assises en losange tenant toute l'ossature.

    RépondreSupprimer
  12. ectne voilà ce que j'ai eu à taper mais j’ai lu etche et j'ai pensé à la maison en basque !

    RépondreSupprimer
  13. et maintenant c'est triessi, comme si trier n'était pas nécessaire, pour bien approcher les choses

    RépondreSupprimer
  14. > Nicole T, déjà tu penses pinceau et travail... Mais la brique ne bouge pas beaucoup et sa couleur varie peu avec le temps.

    > Brigetoun, du beau travail, une belle conception. Presque un immeuble. On a beaucoup de peine à imaginer l'environnement de l'époque. Des jardins, des vergers, de grands vergers... C'est à peu près tout que je sais.

    > Michel, les dominantes te plaisent peu, trop sombres sans doute, un peu trop chocolat. En harmonie cependant avec la teinte du bois.

    > Gérard Méry, un certain charme, original à l'époque, se démarquant de ses voisins. Peut-être dans une propriété plus importante qu'aujourd'hui.

    > Tilia, distante, elle a voulu jouer l'originalité, se distinguer. Une idée d'ingénieur : cela m'y fait penser.

    > Tanette, et du solide. Force et contreforce au calcul près. C'est net, clair, scientifiquement conduit...

    > Neyde, les lignes se cherchent et se conjuguent...

    > Maïté/Aliénor, et cependant la montagne est lointaine. Vrai: chalet bavarois, suisse peut-être. Mon ingénieur aurait-il été de nationalité hélvétique ? Je pense à ces petites horloges dites "Coucou"... en forme de chalet suisse.

    > Arlettart, une vanité ? Sûr que la construction est solidement assise sur ses bases et que rien ne semble devoir l'atteindre. Elle a plus d'un siècle.

    > Pat, elle a de l'allure, c'est certain. Dommage que la construction soit aujourd'hui noyée entre des immeubles de béton qui sont loin d'avoir ce charme...

    > Lautreje, j'aime ces petits motifs semés ici et là sur la façade. Quelqu'un qui avait un certain goût.

    > Maria-D, ici, la brique est peu courante en tant que matériaux de construction. On utilise plutôt la meulière qui a également un certain charme.

    RépondreSupprimer
  15. J'aime beaucoup ces rehauts bleus et l'élégance générale de cette bâtisse !

    RépondreSupprimer
  16. > Thierry, mais tu as tout à fait raison d'évoquer Noisiel et la chocolaterie Menier. Je suis impardonnable de n'y avoir pensé d'autant que Noisiel, c'est tout à côté... L'époque est la même: le moulin a été construit de 1869 à 1872.Une image ici :
    http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8d/Moulin_Saulnier.jpg/628px-Moulin_Saulnier.jpg

    > Thierry, que dire des captchas sinon qu'ils m'agacent !

    RépondreSupprimer
  17. > Naline, visiteuse du soir, aimant le bleu qui n'est pas encore de nuit, je te salue. Un bleu en harmonie avec les persiennes, les briques et la toiture. Un concepteur de goût.

    RépondreSupprimer
  18. Des demeures agréables à admirer et où il doit faire bon vivre !

    RépondreSupprimer
  19. Les formes dures et froides surtout...

    RépondreSupprimer
  20. Un cadre , un berceau, une entretoisement , un entrecroisement, des lignes obliques pour une montée, des portées apportées, à portée de main et d'yeux pour tous !
    L'allégement des structures doit à l'acier corroyé qui fut courroie de transmission de la modernité héritée , et le premier building en fer de new york, le steel flat, en était la démonstration, toujours plus ces charpentes en IPN aux sections variables et de formes diverses
    cette montée aux nues, ce John l'enfer du Goncourt, tout concourait à alléger, mais il fallait ensuite habiller et remplir comme avec les colombages et la brique pour laquelle on s'est tant enflammé remplissait ce rôle et cette espace à merveille, car calibrée elle se posait et se fondait dans le décor, permettant tout les luxes et toutes les folies de dessins compliqués. Pas de porte d'Ishtar ce n'est pas sur le tard que s'est généralisé la poutrelle et ses élevons élancés, mais on a amélioré la technique du rivetage à chaud sans plus être l'otage de jonctions branlantes.
    L'histoire de la tour Eiffel est à ce point édifiante, même si d'acier il ne fut pas question pour des raisons de tenue et de stabilité, de compromis entre souplesse et raideur à dresser un tel monument à la gloire du progrès et des arts, de la technique sans créer la panique !

    RépondreSupprimer