les jour viennent l'air en frémit, les hommes et les arbres, les branches et les corps guettent, veulent que la douceur pointe, advienne pour donner nouvelle vie
Ahhhhh.... les fourmis dans les jambes : cela fait bientôt un an qu'elles me turlupinent... Mais j'arriverai à bout de ces satanées "bestioles" qui grouillent dans mes mollets, jusqu'à la pointe du pied... (il paraît que ce sont des symptômes de jambes sans repos). J'espère que les arbres n'ont pas tout à fait le même problème !
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeee
PS / ça va quand même un peu mieux depuis quelques temps !
Face-à-face, conciliabule entre l'arbre et l'église, sous l'arbitrage serein d'un coin de ciel bleu qui se concentre en transparence dans la lanterne du réverbère ...
L'image n'est pas sans " couleur ", ne serait-ce qu'en promesse ...
> Brigitte, de l'eau à puiser, rue du Petit Puits, l'arbre irrigué.
> Maria, une rue étroite un arbre venu d'ailleurs sa place faite.
> Pat, le printemps, en ville comme en campagne. Les gens tout guillerets.
> M. Verdois, les verrières bien armées, sur la défensive.
- Ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ? - Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie.
> Tilia, la voile hissée pour un court voyage, d'ici à l'automne.
> Christineeeee, les arbres aussi sont remplis d'impatience... Dans mon jardin j'ai un vieux pommier perclu de rhumatismes qui n'en finit pas de se relever mais qui sourit au printemps.
> Midolu, un espace d'intimité entre l'arbre et la façade, la Loire au bas de la rue, le large espéré.
> Corinne, le froid émoustille et le corps et l'esprit mais il fait bon faire le lézard au coin du feu.
> Naline, vivre c'est frissonner. La vie est une vibration.
> Monique, elles montent les sèves. L'arbre sous pression, ses bourgeons éclatent de sens.
les jour viennent
RépondreSupprimerl'air en frémit,
les hommes et les arbres,
les branches et les corps
guettent,
veulent que la douceur
pointe, advienne pour donner
nouvelle vie
La nature et l'homme
RépondreSupprimerface à face
en dialogue sur l'avenir
Se promener par les chemins pour respirer le printemps
RépondreSupprimerQui finiront bien par briser quelque vitrail.
RépondreSupprimerUn petit bout de toile verte vole au vent
RépondreSupprimercomme pour inciter les feuilles à se déployer enfin
Ahhhhh.... les fourmis dans les jambes :
RépondreSupprimercela fait bientôt un an qu'elles me turlupinent... Mais j'arriverai à bout de ces satanées "bestioles" qui grouillent dans mes mollets, jusqu'à la pointe du pied... (il paraît que ce sont des symptômes de jambes sans repos).
J'espère que les arbres n'ont pas tout à fait le même problème !
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeee
PS / ça va quand même un peu mieux depuis quelques temps !
Face-à-face, conciliabule entre l'arbre et l'église, sous l'arbitrage serein d'un coin de ciel bleu qui se concentre en transparence dans la lanterne du réverbère ...
RépondreSupprimerL'image n'est pas sans " couleur ", ne serait-ce qu'en promesse ...
le froid est vivifiant ...
RépondreSupprimerEt cela n’empêchera pas la sève de monter bien au contraire!
Ils frissonnent tous, pleins de vie et de renouveau !
RépondreSupprimerBientôt les beaux jours
RépondreSupprimerEt sentir monter la sève
Puissance et vigueur
Au vent des derniers frimas
Quand le nez picote encore
> Brigitte, de l'eau à puiser, rue du Petit Puits, l'arbre irrigué.
RépondreSupprimer> Maria, une rue étroite
un arbre venu d'ailleurs
sa place faite.
> Pat, le printemps, en ville comme en campagne. Les gens tout guillerets.
> M. Verdois, les verrières bien armées, sur la défensive.
- Ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
- Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie.
> Tilia, la voile hissée pour un court voyage, d'ici à l'automne.
> Christineeeee, les arbres aussi sont remplis d'impatience... Dans mon jardin j'ai un vieux pommier perclu de rhumatismes qui n'en finit pas de se relever mais qui sourit au printemps.
> Midolu, un espace d'intimité entre l'arbre et la façade, la Loire au bas de la rue, le large espéré.
> Corinne, le froid émoustille et le corps et l'esprit mais il fait bon faire le lézard au coin du feu.
> Naline, vivre c'est frissonner. La vie est une vibration.
> Monique, elles montent les sèves. L'arbre sous pression, ses bourgeons éclatent de sens.
Les branches griffues font peur aux enfants bientôt de tendres feuillages cacheront les oiseaux
RépondreSupprimer> Arlettart, la pluie printanière
RépondreSupprimerun peu de douceur
pour publier la peur.
Les rameaux secs
RépondreSupprimerfont des arabesques
contre le ciel
contre le mur
Ils atendent
le printemps
pour montrer
leur beau feuillage.
> Neyde, le printemps vient (ici - chez toi,par contre, l'automne !) et le voici en maître...
RépondreSupprimerAprès tout ce blanc vient le vert,
Le printemps vient après l’hiver.
Après le grand froid le soleil,
Après la neige vient le nid ,
Après le noir vient le réveil,
L’ histoire n’est jamais finie.
Après tout ce blanc vient le vert,
Le printemps vient après l’hiver,
Et après la pluie le beau temps.
Claude Roy