vendredi 25 mars 2011

verdeur


Air vif et piquant
dans le courant d'air
l'arbre frissonne
la sève au bout des doigts
des fourmis dans les jambes


15 commentaires:

  1. les jour viennent
    l'air en frémit,
    les hommes et les arbres,
    les branches et les corps
    guettent,
    veulent que la douceur
    pointe, advienne pour donner
    nouvelle vie

    RépondreSupprimer
  2. La nature et l'homme
    face à face
    en dialogue sur l'avenir

    RépondreSupprimer
  3. Se promener par les chemins pour respirer le printemps

    RépondreSupprimer
  4. Qui finiront bien par briser quelque vitrail.

    RépondreSupprimer
  5. Un petit bout de toile verte vole au vent
    comme pour inciter les feuilles à se déployer enfin

    RépondreSupprimer
  6. Ahhhhh.... les fourmis dans les jambes :
    cela fait bientôt un an qu'elles me turlupinent... Mais j'arriverai à bout de ces satanées "bestioles" qui grouillent dans mes mollets, jusqu'à la pointe du pied... (il paraît que ce sont des symptômes de jambes sans repos).
    J'espère que les arbres n'ont pas tout à fait le même problème !

    Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeee

    PS / ça va quand même un peu mieux depuis quelques temps !

    RépondreSupprimer
  7. Face-à-face, conciliabule entre l'arbre et l'église, sous l'arbitrage serein d'un coin de ciel bleu qui se concentre en transparence dans la lanterne du réverbère ...

    L'image n'est pas sans " couleur ", ne serait-ce qu'en promesse ...

    RépondreSupprimer
  8. le froid est vivifiant ...
    Et cela n’empêchera pas la sève de monter bien au contraire!

    RépondreSupprimer
  9. Ils frissonnent tous, pleins de vie et de renouveau !

    RépondreSupprimer
  10. Bientôt les beaux jours
    Et sentir monter la sève
    Puissance et vigueur

    Au vent des derniers frimas
    Quand le nez picote encore

    RépondreSupprimer
  11. > Brigitte, de l'eau à puiser, rue du Petit Puits, l'arbre irrigué.

    > Maria, une rue étroite
    un arbre venu d'ailleurs
    sa place faite.

    > Pat, le printemps, en ville comme en campagne. Les gens tout guillerets.

    > M. Verdois, les verrières bien armées, sur la défensive.

    - Ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
    - Je ne vois rien que le soleil qui poudroie et l'herbe qui verdoie.

    > Tilia, la voile hissée pour un court voyage, d'ici à l'automne.

    > Christineeeee, les arbres aussi sont remplis d'impatience... Dans mon jardin j'ai un vieux pommier perclu de rhumatismes qui n'en finit pas de se relever mais qui sourit au printemps.

    > Midolu, un espace d'intimité entre l'arbre et la façade, la Loire au bas de la rue, le large espéré.

    > Corinne, le froid émoustille et le corps et l'esprit mais il fait bon faire le lézard au coin du feu.

    > Naline, vivre c'est frissonner. La vie est une vibration.

    > Monique, elles montent les sèves. L'arbre sous pression, ses bourgeons éclatent de sens.

    RépondreSupprimer
  12. Les branches griffues font peur aux enfants bientôt de tendres feuillages cacheront les oiseaux

    RépondreSupprimer
  13. > Arlettart, la pluie printanière
    un peu de douceur
    pour publier la peur.

    RépondreSupprimer
  14. Les rameaux secs
    font des arabesques
    contre le ciel
    contre le mur
    Ils atendent
    le printemps
    pour montrer
    leur beau feuillage.

    RépondreSupprimer
  15. > Neyde, le printemps vient (ici - chez toi,par contre, l'automne !) et le voici en maître...

    Après tout ce blanc vient le vert,
    Le printemps vient après l’hiver.
    Après le grand froid le soleil,

    Après la neige vient le nid ,
    Après le noir vient le réveil,
    L’ histoire n’est jamais finie.


    Après tout ce blanc vient le vert,
    Le printemps vient après l’hiver,
    Et après la pluie le beau temps.

    Claude Roy

    RépondreSupprimer