"Vert, noir, argent... Comment dire, comment toucher la note juste, la note intérieure ? Dryades...le nom sonne, vraiment, comme ces couleurs sur les troncs qui, jadis, en auraient abrité les porteuses : il est dru, il brille sur fond sombre ; elles soeurs des naïades, rappellent l'alliance des eaux et forêts.(...) Vert, noir, argent...Ces trois couleurs ensemble ici, je ne doute pas qu'elles aient un sens.(...)Les troncs ressemblent aux vieilles pierres des murs....." Philippe Jaccottet dans Paysage avec figures absentes. Pierre, cette image est poésie.
> Brigitte, un beau grain de peau, un peu rugueux pour le gros chêne mais si lisse et tendre pour les hêtres.
> Michel, entre les fûts, elle joue, la lumière ,
La nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers (...) Charles Baudelaire
> Monique, trois couleurs, trois notes, telles les trois âges de la vie. Merci pour la citation de Jaccottet.
> J'aimerais, Mathilde, qu'il soit chaud et bouillant ce printemps, ne donnant encore que dans le tiède.
> Pat, toutes les peaux sont sensuelles comme un appel, un clin d'oeil.
> Gérard, tous ces troncs, au soleil, soudain respirent et s'enflent d'une fierté nouvelle.
> Lautreje, au printemps, une impatience bouillonne en chaque êtres, animaux ou plantes... Les arbres comme tout un chacun, ces grands corps qi s'animent soudain.
> Maria,
Ainsi l'esprit jaillit de la terre fertile le géant s'éveille
> Brigitte, je voudrais bien retrouver cette verticalité juvénile qui me fait bien défaut ce matin : lombalgie féroce !
caresse
RépondreSupprimersur le grain
de ta peau
Et la lumière fût !
RépondreSupprimer"Vert, noir, argent... Comment dire, comment toucher la note juste, la note intérieure ? Dryades...le nom sonne, vraiment, comme ces couleurs sur les troncs qui, jadis, en auraient abrité les porteuses : il est dru, il brille sur fond sombre ; elles soeurs des naïades, rappellent l'alliance des eaux et forêts.(...) Vert, noir, argent...Ces trois couleurs ensemble ici, je ne doute pas qu'elles aient un sens.(...)Les troncs ressemblent aux vieilles pierres des murs....."
RépondreSupprimerPhilippe Jaccottet dans Paysage avec figures absentes.
Pierre, cette image est poésie.
C'est chaud bouillant le printemps avec vous !!!
RépondreSupprimerSensualité du bois ... la nature en eveille ...
RépondreSupprimercaresse sylvestre de printemps
RépondreSupprimerChaque printemps est une merveille, le renouveau est là partout et dans nos corps !
RépondreSupprimerCorps lisses et sveltes
RépondreSupprimerla force de la terre
au printemps se rhabille
très belle photo
bonsoir Jeandler, c'est la verticale qui me touche ce soir et...me redresse:)
RépondreSupprimer> Brigitte, un beau grain de peau, un peu rugueux pour le gros chêne mais si lisse et tendre pour les hêtres.
RépondreSupprimer> Michel, entre les fûts, elle joue, la lumière ,
La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers (...)
Charles Baudelaire
> Monique, trois couleurs, trois notes, telles les trois âges de la vie.
Merci pour la citation de Jaccottet.
> J'aimerais, Mathilde, qu'il soit chaud et bouillant ce printemps, ne donnant encore que dans le tiède.
> Pat, toutes les peaux sont sensuelles comme un appel, un clin d'oeil.
> Gérard, tous ces troncs, au soleil, soudain respirent et s'enflent d'une fierté nouvelle.
> Lautreje, au printemps, une impatience bouillonne en chaque êtres, animaux ou plantes... Les arbres comme tout un chacun, ces grands corps qi s'animent soudain.
> Maria,
Ainsi l'esprit jaillit
de la terre fertile
le géant s'éveille
> Brigitte, je voudrais bien retrouver cette verticalité juvénile qui me fait bien défaut ce matin : lombalgie féroce !
Douceur de la caresse timide
RépondreSupprimerEncore un peu de l'hiver s'attarde
par ces petites feuilles sèches
Chacun apprivoise alors
ce renouveau promis
Belle image des trois âges de la vie
> Arlettart, sempervirentes
RépondreSupprimerou marcescentes,
les feuilles se renouvellent
l'arbre se soumet au printemps
Chez les arbres, toutes les couleurs de peau vivent harmonieusement ensemble, flattées par la lumière, ou délaissées un temps ...
RépondreSupprimerParfois cependant, un conflit de " territoire " : l'un cachant la lumière du ciel, l'autre le disputant en essayant de le pousser ... ;-)
Image d'un trio solidaire. Merci Pierre.
> Midolu, chacun cherchant sa place, à l'ombre comme à la lumière, des besoins personnels.
RépondreSupprimerLa nature gémissante
RépondreSupprimerélevée à la dure
toutes les tailles existent
qui cohabitent
> Thierry, avec plaisir, te retrouvant.
RépondreSupprimerLa nature gémissante, malheureusement de notre fait, de plus en plus, inexorablement.
caresse tranche avec le houx !
RépondreSupprimerla lumiere caresse
le houx pique ...
bisous Pierre et bonne nuit