Ce blog me donne toujours l'impression d'être comme un havre de bonheur et de simplicité. Pas seulement pour moi, mais aussi pour les autres; ceux qui laissent des commentaires se plongent dans la poésie et le plaisir des mots.
> Midolu, elles sont en fleurs, un parfum de vanille, sur les bords de Loire, à deux pas, me retournant, la découvrant.
> Monique, il en existe également des blanches et des mauves; certaines à fleurs doubles, d'autres dont les grappes dépassent le mètres ! Toutes agréablement parfumées.
> Naline, des noires et des blanches, pointées et ponctuées de quelques soupirs, attendant le printemps.
nuages filant
RépondreSupprimerderrière la grille de l'arbre
Les gousses de la glycine glissent.
RépondreSupprimerlabyrinthe du vent
RépondreSupprimerLarmes des branches
RépondreSupprimerle ciel déplie son mouchoir
chagrin essuyé
Quand les glycines fleuriront alors le printemps sera définitivement installé
RépondreSupprimerPS Pierre j'ai posté un article sur Mourèze que vous aviez récemment évoqué dans un commentaire sur mon blog
belle tonnelle en devenir !
RépondreSupprimerCe blog me donne toujours l'impression d'être comme un havre de bonheur et de simplicité. Pas seulement pour moi, mais aussi pour les autres; ceux qui laissent des commentaires se plongent dans la poésie et le plaisir des mots.
RépondreSupprimerDerrière la pluie
RépondreSupprimerLes nuages voyagent
Place au soleil
> Brigetoun, la glycine funambule
RépondreSupprimersur le fil tendu
le chemin montré.
> Michel, gris souris et douces, les gousses de la glycine conquérante.
> Pat, le vent prendrait-il plaisir à fôlatrer et faire se balancer ces fruits ?
> Mémoire du silence,
le ciel essuyé
les gousses se sèchent
les graines abritées.
> Ulysse, nous y sommes, je viens d'en voir à l'instant, plein sud, le long d'un mur, les premières éclosions.
> Lautreje, on se donne rendez-vous, quelques années suffisent pour cacher le ciel et nous mettre à l'ombre.
> Webiane, pourquoi noircir encore plus le ciel quand il porte déjà tant de nuées qui ne sont pas seulement giboulées de mars ?
> Bernard,
le vent les pousse
les déchire et les fouette
le soleil s'ensuit
Prémices d'un parfum. Les gousses et les tiges forment un gracieux rideau de pendeloques oblongues.
RépondreSupprimer" On dirait le Sud " ... " et toujours en été ... "
Elles sont en fleurs sur les murs et les tonnelles, les bourdons et les abeilles se régalent.
RépondreSupprimerLampions du printemps
Grappes de fleurs abondantes
Bruit de fond bleuté.
J'aime le rythme de ces cosses, comme des notes sur une partition. Musique de la nature !
RépondreSupprimer> Midolu, elles sont en fleurs, un parfum de vanille, sur les bords de Loire, à deux pas, me retournant, la découvrant.
RépondreSupprimer> Monique, il en existe également des blanches et des mauves; certaines à fleurs doubles, d'autres dont les grappes dépassent le mètres ! Toutes agréablement parfumées.
> Naline, des noires et des blanches, pointées et ponctuées de quelques soupirs, attendant le printemps.
Parfums de glycine
RépondreSupprimeraprès soleil de printemps
C'est le soir qui respire mauve
Précoce, elle se fane déjà
> Danièle, les fleurs de printemps se hâtent, le soleil les éveille, le soleil les tue.
RépondreSupprimer