Un jour qui s'éteint Dans l'ombre d'une prairie Des vers de Ronsard... ____
ou des paroles de Charles Trenet (...) "Que reste-t-il de nos amours Que reste-t-il de ces beaux jours Une photo, vieille photo De ma jeunesse Que reste-t-il des billets doux Des mois d' avril, des rendez-vous Un souvenir qui me poursuit Sans cesse Bonheur fané, cheveux au vent Baisers volés, rêves mouvants Que reste-t-il de tout cela Dites-le-moi
Les mots les mots tendres qu'on murmure Les caresses les plus pures Les serments au fond des bois Les fleurs qu'on retrouve dans un livre Dont le parfum vous enivre Se sont envolés pourquoi?" (...)
Toute nue, cette herbe est jolie aussi, à plus forte raison si elle conserve l'odeur exquise du passage des amoureux !!! Et dire que je voulais m'y allonger !!! Pour ma part, cela aurait été toute seule, pas gênant, mais beaucoup, beaucoup, beaucoup moins romantique !!! C'est comme ça !!!
Un petit bout de terre où se chante toute une histoire
RépondreSupprimerdouce pente
RépondreSupprimerse recueille
va s'endormir
pétrie
de lumière
d'humanité
Un peu de sperme séché dans l'herbe...
RépondreSupprimerSoir de printemps
RépondreSupprimerle parfum qui ne s'estompe pas
garanti sans paraben
...que reste-t-il d'eux
RépondreSupprimer____
Un jour qui s'éteint
Dans l'ombre d'une prairie
Des vers de Ronsard...
____
ou des paroles de Charles Trenet
(...)
"Que reste-t-il de nos amours
Que reste-t-il de ces beaux jours
Une photo, vieille photo
De ma jeunesse
Que reste-t-il des billets doux
Des mois d' avril, des rendez-vous
Un souvenir qui me poursuit
Sans cesse
Bonheur fané, cheveux au vent
Baisers volés, rêves mouvants
Que reste-t-il de tout cela
Dites-le-moi
Les mots les mots tendres qu'on murmure
Les caresses les plus pures
Les serments au fond des bois
Les fleurs qu'on retrouve dans un livre
Dont le parfum vous enivre
Se sont envolés pourquoi?"
(...)
Que reste-t-il d'eux ?
RépondreSupprimerune empreinte sur l'herbe
un souffle amoureux.
> Pat, un terrain de jeu pour d'autres histoires, les ombres s'étirant, l'arbre témoin.
RépondreSupprimer> Brigitte, au creux du vallon, trouver la douceur maternelle de la nuit.
> Michel, le printemps est l'époque des dispersions séminales, une pluie de souffre, les pollens, par millions, au grè des vents.
> Tilia, un parfum sans adjuvent, une pure sensation.
> Monique, et ce peu lui-même finira par rejoindre tous les parfums du monde, s'y diluant, les fleurs le concentrant à leur tour, nous l'offrant.
> Maria, l'herbe foulée, ce soir, demain se redressera et un oiseau, dans l'arbre, lancera son appel vers sa belle.
Toute nue, cette herbe est jolie aussi, à plus forte raison si elle conserve l'odeur exquise du passage des amoureux !!!
RépondreSupprimerEt dire que je voulais m'y allonger !!!
Pour ma part, cela aurait été toute seule, pas gênant, mais beaucoup, beaucoup, beaucoup moins romantique !!! C'est comme ça !!!
Mais Pierre sont-ils vraiment partis? ne se sont-ils pas cachés dans le repli des ombres ?
RépondreSupprimerCOMME C'EST JOLI D'IMAGE ET DE MOTS!
RépondreSupprimerdouce soirée,Pierre!
Que reste-t-il ?
RépondreSupprimerUn parfum d'herbe foulée, des essences dévoilées qui s'interrogent : reviendront-ils ?