Bon allez, je ne vais pas renier mes origines, avec une herbe si verte, si tendre, si belle, je prendrais bien un coussin et un plaid pour y faire une sieste !!! C'est comme si j'y étais déjà !!! C'est fou ce qu'une seule photo peut amener comme détente !!!
Silhouettes d'arbres, courbes douces, parfaites de la terre, comme un écrin protecteur qui laisserait de l'espace pour la discrétion. Pudeur, et cependant intérêt curieux ...
Bien engageante au repos cette belle prairie, avec la douce lumière.
RépondreSupprimerMoment de détente
RépondreSupprimerle soleil au zenith
Ombrelle
un vert d'une stridence agaçante
RépondreSupprimerpour se sentir vivre
une douceur des pentes et des ombres
pour savourer vivre
Ombre et lumière
RépondreSupprimerflirter à la lisière
s'enivrer de vert
douceur du moment, le soleil en clin d'oeil repose sur nos prairies
RépondreSupprimerSur l'herbe vert cru
RépondreSupprimerentre ombre et lumière
l'heure est au flirt
délice de l'herbe tendre
RépondreSupprimerY'a du printemps dans l'air !
RépondreSupprimerHumer le printemps
RépondreSupprimerSur le drap vert des prairies
La douceur d'aimer
Le romantisme est de mise
Damoiseaux et damoiselles
> Fardoise, douce est la lumière rasante, le soleil déjà déclinant.
RépondreSupprimer> Pat, la partie jouée
le ballon au repos
passons aux choses sérieuses.
> Brigetoun, un vert printanier, les herbes neuves, acidité sur les dents.
> Tilia, elle pousse drue, l'herbe de mars et d'abondance.
> Philoplume, la douceur des courbes du vallon, s'ajoutant à celle de la tête des arbres toutes en rondeur.
> Maria, je crains que l'herbe soit encore bien fraîche pour un flirt prolongé...
> Lautreje, l'herbe si tendre, si pleine d'une ardeur nouvelle, s'éclatant au soleil de mars.
> Naline, les arbres en sont tout émoustillés de cette lumière qui les ranime et les rajeunit.
> Monique, sur l'herbe, selon Verlaine :
L’abbé divague. - Et toi, marquis,
Tu mets de travers ta perruque.
- Ce vieux vin de Chypre est exquis
Moins, Camargo, que votre nuque.
- Ma flamme... - Do, mi, sol, la, si.
L’abbé, ta noirceur se dévoile !
- Que je meure, Mesdames, si
Je ne vous décroche une étoile !
- Je voudrais être petit chien !
- Embrassons nos bergères, l’une
Après l’autre. - Messieurs, eh bien ?
- Do, mi, sol. - Hé ! bonsoir, la Lune !
Bonjour printemps
RépondreSupprimerAvec lui soleil revenu
Le temps des calins.
Bon allez, je ne vais pas renier mes origines, avec une herbe si verte, si tendre, si belle, je prendrais bien un coussin et un plaid pour y faire une sieste !!! C'est comme si j'y étais déjà !!! C'est fou ce qu'une seule photo peut amener comme détente !!!
RépondreSupprimerBonjour de "ma verte" campagne pas encore épanouie et comme tout ce calme est apaisant (Pas trop longtemps quand même pour une citadine)
RépondreSupprimer> Bernard, le temps des calineries revenu...dans la nature.
RépondreSupprimer> Mathilde, le sol humide, de grande fraîcheur, un plaid étendu sur l'herbe nécessaire en tampon.
> Arlettart, la campagne s'épanouit comme une impatience qui gagne.
Silhouettes d'arbres, courbes douces, parfaites de la terre, comme un écrin protecteur qui laisserait de l'espace pour la discrétion.
RépondreSupprimerPudeur, et cependant intérêt curieux ...