> Tilia, une double géométrie puisque contrairement à la rue de Rivoli parisienne qui ne possède des arcades que d'un côté, ici la Rue Royale est bordée d'arcades côté pair et côté impair.
> Mémoire du silence, presqu'entièrement rasée par les bombardements de 1940, elle a été reconstruite à l'identique au sortir de la guerre. C'est à ce moment qu'il a été décidé d'ouvrir les arcades et de créer le passage à couvert en reculant les devantures des magasins. Toutes les façades sont classées. Elle se trouve dans le prolongement du Pont George V longtemps appelé Pont Royal en l'honneur de Louis XV qui en avait décidé la construction.
Altière dit Françoise Dumon j'aime beaucoup ce mot trop peu souvent employé, j'aime cette rue et ses arcades en enfilade, j'aime la lumière qui joue à cache cache entre les piliers, j'aime ce point de fuite qui vous entraîne loin là bas au bout je ne sais où dans cette rue de la ville rideaux encore baissés au petit matin d'un jour où sans aucun doute vous prenez plaisir à vous balader et immortaliser ces belles images pour notre plus grand plaisir entre lignes et lumière entre architectures et découvertes.
> Monique, une perspective voulue par édit royal dans le prolongement du Pont (autorisation donnée par l'édit du 21 mars 1752). La construction dure de 1754 à 1756. Elle n'est seulement pavée qu'en 1760. À la Révolution, la rue fut rebaptisée en "rue de l'Égalité ". Of course !
C'est à toute heure qu'il faut aller par les rues pour bien connaître une ville. Bien que le vieux centre soit magnifiquement illuminé tard le soir, je n'y suis pas encore allé m'y perdre...
Deux ombres-silhouettes se sont glissées sous les arcades, pour un tête-à-tête ... La galerie n'est pas très fréquentée, elles ne seront pas dérangées.
Ombres de panneaux indicateurs, ou de feux de signalisation, ... ?
> Midolu, ombres des feux tricolores de circulation. Un peu complexe, en cet endroit, le mitan de la rue étant réservé au tramway... Pour la fréquentation, nous sommes en tout début de la matinée et au début, côté Loire, de la rue.
Altières, elles scandent la lumière.
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, altères, et cependant on ne peut plus simples.
SupprimerLeçon de géométrie pour construction picturale.
RépondreSupprimerL'empire de la ligne de fuite !
> Michel, un problème de projection, en effet. En considérant l'heure au soleil, calculez l'angle que fait au sol l'ombre au pied de chaque pilier.
Supprimerzut, aujourd'hui je dois courir - ne pourrai flâner d'arcature en arcature
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, il y fait d'autant bon flâner que c'est la rue où les commerces sont les plus beaux...
SupprimerJ'adore ces effets de perspective agrémentés d'ombres et de lumières.
RépondreSupprimer> Pastelle, ce ne fut pas toujours le cas. À l'origine, les arcades étaient aveugles, les devantures des magasins arrivant jusqu'à la rue.
SupprimerBelle géométrie, Avignon me l'a ôté de la bouche !
RépondreSupprimerEntre Vasarely et Buren
> Tilia, une double géométrie puisque contrairement à la rue de Rivoli parisienne qui ne possède des arcades que d'un côté, ici la Rue Royale est bordée d'arcades côté pair et côté impair.
Supprimerl'image de la rue parisienne
RépondreSupprimerest dans une nuit épaisse
> Mémoire du silence, presqu'entièrement rasée par les bombardements de 1940, elle a été reconstruite à l'identique au sortir de la guerre. C'est à ce moment qu'il a été décidé d'ouvrir les arcades et de créer le passage à couvert en reculant les devantures des magasins. Toutes les façades sont classées. Elle se trouve dans le prolongement du Pont George V longtemps appelé Pont Royal en l'honneur de Louis XV qui en avait décidé la construction.
SupprimerAltière dit Françoise Dumon j'aime beaucoup ce mot trop peu souvent employé, j'aime cette rue et ses arcades en enfilade, j'aime la lumière qui joue à cache cache entre les piliers, j'aime ce point de fuite qui vous entraîne loin là bas au bout je ne sais où dans cette rue de la ville rideaux encore baissés au petit matin d'un jour où sans aucun doute vous prenez plaisir à vous balader et immortaliser ces belles images pour notre plus grand plaisir
RépondreSupprimerentre lignes et lumière entre architectures et découvertes.
> Monique, une perspective voulue par édit royal dans le prolongement du Pont (autorisation donnée par l'édit du 21 mars 1752). La construction dure de 1754 à 1756. Elle n'est seulement pavée qu'en 1760. À la Révolution, la rue fut rebaptisée en "rue de l'Égalité ". Of course !
SupprimerC'est à toute heure qu'il faut aller par les rues pour bien connaître une ville. Bien que le vieux centre soit magnifiquement illuminé tard le soir, je n'y suis pas encore allé m'y perdre...
Deux ombres-silhouettes se sont glissées sous les arcades, pour un tête-à-tête ... La galerie n'est pas très fréquentée, elles ne seront pas dérangées.
RépondreSupprimerOmbres de panneaux indicateurs, ou de feux de signalisation, ... ?
> Midolu, ombres des feux tricolores de circulation. Un peu complexe, en cet endroit, le mitan de la rue étant réservé au tramway... Pour la fréquentation, nous sommes en tout début de la matinée et au début, côté Loire, de la rue.
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