Les herbes, les petites fleurs, qui dansent enchevêtrées, apportent une fantaisie qui adoucit l'abandon. Conjuguée à l'évasement de l'escalier, il y a comme un sourire, lucide, et cependant léger ...
" L'Asiatique tolérant ", traité à l'usage de Zéokinizul (Louis quinze), roi des Kofirans(françois), surnommé le Chéri, ouvrage traduit de l'arabe du voyageur Bekrinoll, par M. de **** Auteur : Laurent Angliviel de La Beaumelle (1727-1773) Éditeur : Durand (Paris)1748 Contributeur : Claude-Prosper Jolyot de Crébillon,(1707-1777). (Longtemps auteur présumé du texte) Monographie imprimée, identifiant : ark:/12148/bpt6k82267x, Bibliothèque nationale de France, 8-Lb38-596 http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30702713b
Ce Laurent, de Valleraugue, à Alais, à Genève, au Danemark, a ferraillé avec Voltaire, pensons à Gal-Pomaret, pasteur, en contact avec Voltaire et Rousseau. Et plus tard, ce Valleraugue, refuge de Claude Lévy-Strauss, et terre de Germaine Dieterlein, que les "Dogons" portaient sur une chaise.
Quel pays, couronné de son Aigoual.
Au désert Gal-Pomaret, promettait le bâton à ceux qui fuiraient les dragons de Villars, cette tolérance est résolue en résistance.
Pensez vous cher Pierre quelque chose des "Châtaigniers du désert" ?
C'est une proue, c'est un soc c'est un éperon qui arde et invite, retourne et soulève et dans cet évasement l'évasion vient avec, la montée aux délices de la vis, la mise en grain sans malice.
> Maria, Montée de biais sacs sur l'épaule la porte grande ouverte.
> Brigitte, une architecture dite rurale qui ne manque cependant pas d'atout En limite cadastrale, en bordure de chemin.
> Lautreje,j'ai cherché mais n'ai pas trouvé d'autre mot plus approprié: majestueux.
> Bruno,on entre pas ici comme dans un moulin! Au bas de la porte, une chatière... carrée!
> Thierry, un peu d'espace, à l'arrivée, pour souffler, posant les sacs.
> Saravati, il n'y a plus rien à moudre! Je me demande d'ailleurs ce que l'on pouvait bien y moudre en ce moulin. Des châtaignes, sans doute. La farine de châtaigne est douce et goûteuse.
> Laurence, j'en ai une belle collection de vieilles portes: tu peux faire ton choix.
> Tilia, un sac de châtaignons est pesant. Il faut bien souffler un peu après l'effort!
> Gérard, les rampes ont quelque peu souffert. Je les imagine, à l'origine, avec un bel arrondi.
> Tanette, comme toute les choses anciennes, elles ont du charme et une histoire qui malheureusement se dilue et se perd doucement...
> Midolu, je pense au printemps quand toutes ces herbes sont fleuries. Un petit monde qui s'installe dans l'escalier où l'on peut herboriser.
> Michel, à franquevaux, pourquoi cuistre? Le "château" situé un peu plus bas, au bord de l'Hérault, lui appartenait. Mais il n'y avait pas encore de moulin, du moins celui-ci. Une vieille famille de ces terres cévenoles que celle des Angliviels! Les châtaigniers du désert? Le livre ou le télé-film? J'avoue préférer le livre. La mise en images est belle (j'étais au courant du tournage sur les lieux, au printemps 2010) parce qu'il rend bien à Valleraugue ce qui lui est dû. Mais à part cela, la petite voiture rouge est vraiment par trop omniprésente. Des longueurs qui occultent et shématisent "l'âme" d'un terroir et l'évolution psychologique de l'héroïne.
Vous avez trouvé une porte, une ouverture plus large et accueillante : vos photos et textes sur fond noir en ressortent (sans partir) de jolie manière.
Un escalier qui monte .......plus souvent évoqué que celui qui descend Image symbolique mais grimper lourdement chargé devant porte fermée....sans pouvoir s'en retourner ????? cauchemar assuré
En noir et blanc le contraste est saisissant et ces zones grisées ont de quoi laisser émoustillé, tu nous offres du grain à moudre après de la neige l'offrande de la poudre et ces guirlandes de mots dansent en cadence
Majestueux... mais il y a longtemps que personne n'est plus venu y porter son grain. Charme des vieilles pierres et sous le soleil, ce qui ne gâche rien ! Beau dimanche.
> Thierry, neuf degrés que le chat (ou la chatte, sinon ensemble) en deux ou trois sauts escalade...
> D. Hasselmann, une porte de sortie, occasion peut-être de se maintenir jusqu'à la prochaine avanie...
> Joseph, elle est franchie la porte, et moi, affranchi du Monde et surtout de Wordpress.
> Arlettart, curieux ce symbole de montée comme, à l'opposé, dire que l'on "descend" au jardin.
> Monique, une escalier qui se tortille un brin, prend de l'ampleur, s'élargit et souffle parvenu au palier.
> Gérard, une envie de se refaire un masque. "Le noir est le refuge de la couleur" disait Bachelard.
> Thierry, si Delacroix affirme que "L'ennemi de toute peinture est le gris", Paul Klee lui rétorque que "Pour un peintre, le gris est la couleur la plus riche, celle qui fait parler toutes les autres."
> Naline, le schiste est gris, de tous les gris parfois allant jusqu'au bleu et fait chanter la Cévenne schisteuse.
Chuuuttt!!! Sans parler trop fort, je te souhaite à mi-voix une bonne route pour ton tout noouveau blog dans les profondeurs de la terre outreMonde, Pierre;-) Pas question de se perdre de vue, je t'ai mis en lien sur L'Oeil qui veille encore malgré tout... amitiés à toi ainsi qu'à tous tes passagers!
> Ossiane, pour te dire le plaisir de te croiser sur cette nouvelle route et te remercier du lien posé sur L'Oeil ouvert. De nouveaux horizons, ensemble, à découvrir.
> Jj Dorio, les souvenirs comme farine du temps émondés à la meule dans un rai de lumière volent un instant
Magnifique image qui me procure un sentiment d'évasion, portée par quelques ailes... Je ne sais si ce sont celles du temps, des souvenirs ou tout simplement celles du moulin....
> Colette, il faudra d'abord retrouver la clé de la porte. Peut-être qu'en septembre, elle s'ouvrira lors de la journée du patrimoine. Merci pour le lien.
Aux herbes folles
RépondreSupprimerun ancêtre de pierre
majestueuse beauté
l'escalier s'évase
RépondreSupprimerpour appeler les pas.
La porte en majesté
accueillante
majestueux !
RépondreSupprimerAu sommet des marches
RépondreSupprimerla porte en attente
mystère
Toujours canaliser une énergie qui ne demande qu'à s'épanouir
RépondreSupprimerIl a vécu et pour s'abriter a fini par rétrécir et se laisser envahir par des herbes folles ou pas.
RépondreSupprimerje vais te piquer ta collection de portes !!!
RépondreSupprimer;-)
En haut de l'escalier
RépondreSupprimerla dernière marche bien large
pour y déposer ses sacs
avant de pousser la porte...
Porte qui ne paraît pas très haute,
comment la passer avec un sac sur l'épaule ?
..et la rampe on en parle pas
RépondreSupprimerBeaucoup de charme !
RépondreSupprimerLes herbes, les petites fleurs, qui dansent enchevêtrées, apportent une fantaisie qui adoucit l'abandon.
RépondreSupprimerConjuguée à l'évasement de l'escalier, il y a comme un sourire, lucide, et cependant léger ...
" L'Asiatique tolérant ",
RépondreSupprimertraité à l'usage de Zéokinizul (Louis quinze), roi des Kofirans(françois), surnommé le Chéri, ouvrage traduit de l'arabe du voyageur Bekrinoll, par M. de ****
Auteur : Laurent Angliviel de La Beaumelle (1727-1773)
Éditeur : Durand (Paris)1748
Contributeur : Claude-Prosper Jolyot de Crébillon,(1707-1777). (Longtemps auteur présumé du texte)
Monographie imprimée, identifiant :
ark:/12148/bpt6k82267x,
Bibliothèque nationale de France, 8-Lb38-596
http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30702713b
Ce Laurent, de Valleraugue, à Alais, à Genève, au Danemark, a ferraillé avec Voltaire, pensons à Gal-Pomaret, pasteur, en contact avec Voltaire et Rousseau. Et plus tard, ce Valleraugue, refuge de Claude Lévy-Strauss, et terre de Germaine Dieterlein, que les "Dogons" portaient sur une chaise.
Quel pays, couronné de son Aigoual.
Au désert Gal-Pomaret, promettait le bâton à ceux qui fuiraient les dragons de Villars, cette tolérance est résolue en résistance.
Pensez vous cher Pierre quelque chose des "Châtaigniers du désert" ?
http://www.youtube.com/watch?v=mMT7XYNNr74
Je vous suis dans votre transfert.
C'est une proue, c'est un soc c'est un éperon
RépondreSupprimerqui arde et invite, retourne et soulève et dans cet évasement l'évasion vient avec, la montée aux délices de la vis, la mise en grain sans malice.
> Maria,
RépondreSupprimerMontée de biais
sacs sur l'épaule
la porte grande ouverte.
> Brigitte,
une architecture dite rurale
qui ne manque cependant pas d'atout
En limite cadastrale, en bordure de chemin.
> Lautreje,j'ai cherché mais n'ai pas trouvé d'autre mot plus approprié: majestueux.
> Bruno,on entre pas ici comme dans un moulin!
Au bas de la porte, une chatière... carrée!
> Thierry, un peu d'espace, à l'arrivée, pour souffler, posant les sacs.
> Saravati, il n'y a plus rien à moudre! Je me demande d'ailleurs ce que l'on pouvait bien y moudre en ce moulin. Des châtaignes, sans doute. La farine de châtaigne est douce et goûteuse.
> Laurence, j'en ai une belle collection de vieilles portes: tu peux faire ton choix.
> Tilia, un sac de châtaignons est pesant. Il faut bien souffler un peu après l'effort!
> Gérard, les rampes ont quelque peu souffert. Je les imagine, à l'origine, avec un bel arrondi.
> Tanette, comme toute les choses anciennes, elles ont du charme et une histoire qui malheureusement se dilue et se perd doucement...
> Midolu, je pense au printemps quand toutes ces herbes sont fleuries. Un petit monde qui s'installe dans l'escalier où l'on peut herboriser.
> Michel, à franquevaux, pourquoi cuistre? Le "château" situé un peu plus bas, au bord de l'Hérault, lui appartenait. Mais il n'y avait pas encore de moulin, du moins celui-ci. Une vieille famille de ces terres cévenoles que celle des Angliviels!
Les châtaigniers du désert? Le livre ou le télé-film? J'avoue préférer le livre. La mise en images est belle (j'étais au courant du tournage sur les lieux, au printemps 2010) parce qu'il rend bien à Valleraugue ce qui lui est dû. Mais à part cela, la petite voiture rouge est vraiment par trop omniprésente. Des longueurs qui occultent et shématisent "l'âme" d'un terroir et l'évolution psychologique de l'héroïne.
Vous avez trouvé une porte, une ouverture plus large et accueillante : vos photos et textes sur fond noir en ressortent (sans partir) de jolie manière.
RépondreSupprimerUne étape à franchir...
RépondreSupprimerUn escalier qui monte .......plus souvent évoqué que celui qui descend
RépondreSupprimerImage symbolique
mais grimper lourdement chargé devant porte fermée....sans pouvoir s'en retourner ?????
cauchemar assuré
Et le temps avec générosité déploie pour lui un tapis de verdure, devant sa majesté l'escalier je m'incline, belle photo lui rendant honneur !
RépondreSupprimerJ'ai omis de te dire que ton nouveau blog est très agréable de conception notamment cette couleur grise
RépondreSupprimerEn noir et blanc le contraste est saisissant
RépondreSupprimeret ces zones grisées ont de quoi laisser émoustillé, tu nous offres du grain à moudre
après de la neige l'offrande de la poudre
et ces guirlandes de mots dansent en cadence
Majestueux... mais il y a longtemps que personne n'est plus venu y porter son grain.
RépondreSupprimerCharme des vieilles pierres et sous le soleil, ce qui ne gâche rien !
Beau dimanche.
> Thierry, neuf degrés que le chat (ou la chatte, sinon ensemble) en deux ou trois sauts escalade...
RépondreSupprimer> D. Hasselmann, une porte de sortie, occasion peut-être de se maintenir jusqu'à la prochaine avanie...
> Joseph, elle est franchie la porte, et moi, affranchi du Monde et surtout de Wordpress.
> Arlettart, curieux ce symbole de montée comme, à l'opposé, dire que l'on "descend" au jardin.
> Monique, une escalier qui se tortille un brin, prend de l'ampleur, s'élargit et souffle parvenu au palier.
> Gérard, une envie de se refaire un masque.
"Le noir est le refuge de la couleur" disait Bachelard.
> Thierry, si Delacroix affirme que "L'ennemi de toute peinture est le gris", Paul Klee lui rétorque que "Pour un peintre, le gris est la couleur la plus riche, celle qui fait parler toutes les autres."
> Naline, le schiste est gris, de tous les gris parfois allant jusqu'au bleu et fait chanter la Cévenne schisteuse.
9 marches à gravir
RépondreSupprimerPour venir ouvrir
La porte des souvenirs
Du moulin d'antan
Endormi maintenant !
Biseeeeeeeeeees de Christineeeee
> Christineeeee, tu l'as - je n'en doute pas - reconnu. Moulinons, moulinons, les châtaignons.
RépondreSupprimerChuuuttt!!! Sans parler trop fort, je te souhaite à mi-voix une bonne route pour ton tout noouveau blog dans les profondeurs de la terre outreMonde, Pierre;-) Pas question de se perdre de vue, je t'ai mis en lien sur L'Oeil qui veille encore malgré tout... amitiés à toi ainsi qu'à tous tes passagers!
RépondreSupprimerLE MOULIN DE JÉZEAU
RépondreSupprimerJ’ai aussi habité solitaire un moulin
Avec sa grande roue de bois
Ses aubes qui n’étaient plus là
que pour le décor
C’était au pied d’une montagne
D’une vallée étroite qu’un torrent avait grignotée
J’avais un poële blanc à odeur de mazout
Et le reste des lieux s’est déjà effacé
Évoquer ce moulin est d’ailleurs devenu
ridicule Mais c’est le Grand Chariot
Orion de cette nuit qui dans le ciel
l’ont reflété
La roue à aubes se réenclenche
Graines s’écrasent sur la meule
Et fleure bon finalement cette farine imaginaire
Que j’offre volontiers à tous les Effarés…
> Ossiane, pour te dire le plaisir de te croiser sur cette nouvelle route et te remercier du lien posé sur L'Oeil ouvert. De nouveaux horizons, ensemble, à découvrir.
RépondreSupprimer> Jj Dorio,
les souvenirs comme farine du temps
émondés à la meule
dans un rai de lumière
volent un instant
Magnifique image qui me procure un sentiment d'évasion, portée par quelques ailes... Je ne sais si ce sont celles du temps, des souvenirs ou tout simplement celles du moulin....
RépondreSupprimer> Pierre De Lune, voyage dans le temps
RépondreSupprimerla vie recollant ses images
Neuf marches montées
RépondreSupprimerUne porte entrebâillée
Senteurs du passé
Ai rajouté ton joli site dans mes liens
> Colette, il faudra d'abord retrouver la clé de la porte. Peut-être qu'en septembre, elle s'ouvrira lors de la journée du patrimoine.
RépondreSupprimerMerci pour le lien.
L'escalier qui monte
RépondreSupprimerl'escalier qui descend
une porte fermé
cache le passé
> Neyde, un passage vers ce qui fût.
RépondreSupprimerDevons-nous pousser cette porte
sur les ombres s'ouvrant ou laisser en paix ces lieux ?