Les voyages imaginaires sont comme le chemin tortueux mais comme sur celui-ci on vagabonde en rêvassant. Ce sont des moments d'éternité. Merci et bonne journée
Le chemin dont tu parles Pierre, je le reconnais, c'est le même que celui que j'ai suivi quand j'ai traversé le Rhône pour venir vivre en Île de France.
Sous la cendre des souvenirs le feu couve toujours et le chemin que je vois en rêve et un sentier qui serpente entre les hautes herbes d'une verte prairie.
> Brigitte, merci d'y avoir laissé l'empreintes de vos pas.
> Tanette, sans fin? Je dirais jusqu'au bout de l'envie.
> Caphadoc, il y a beaucoup de cailloux sur le chemin. Attention où l'on pose les pieds.
> Bruno, loin du temps, loin de la civilisation. Mis à part vaches et brebis, il n'y a plus âmes qui vivent ici, les hameaux désertés.
> Ulysse, une belle promenade, un peu courte pour toi mais, le col atteint, tout là-bas, l'on peut faire un circuit en revenant par la forêt. Je prends note pour le chêne vert.
> Arlettart, un autre chemin, peut-être? A imaginer car il n'est dans les guides patentés.
> Midolu, suit Arlettart, elle n'a pas encore passé le gué.
> Tilia, tu ne t'es pas perdue? J'ai bien tenté mais dans les bois, une année, je me suis égaré...
> Gérard, en VTT, mon ami, peut-être. La vallée est plate mais brutalement, au fond, ça monte rudement. Crois-moi. Et que de la caillasse!
> Avignon, un footing matinal, pourquoi pas. 8 km, au bas mot.Le double avec le retour!
> Fugitive, un paysage assez différent de l'Aigoual et cependant, il est tout au fond, au-delà du col que l'on devine. Amitiés.
> Maria, c'est ainsi que nous l'appelons et c'est le vrai nom de cette vallée: la vallée du Bonheur, du nom du petit cours d'eau qui descend du col, droit devant nous.
> Annick, seuls les premiers pas coûtent. Le chemin se trace à mesure, à la mesure de nos pas.
Joli ce nom "la vallée du bonheur" mais tout aussi beau que soit ce chemin je partage les mots de Stevenson : "...ce monde n'est véritablement qu'une vallée de larmes, et le bonheur durable, tout bien réfléchi, ne vient que de l'intérieur" Cependant ces ballades sur ces chemins sont des moments de pur bonheur, certes éphémères mais très réels.
Le chemin se dédouble. Quelle voie choisir ? Sachant que, quel que soit l'option prise, il restera un manque, un ressenti de perte, un regret ... Mais aussi la " satisfaction " d'avoir été en état de pouvoir choisir, le sentiment d'être responsable, et donc encore maître de sa vie ...
> Laurence, une ancienne draille dite du "Parc aux loups". Aujourd'hui sans risque d'en rencontrer la queue d'un, alors tu peux venir ...
> Monique, un lieu autrefois fréquenté, disputé aussi, témoin des guerres de religion. Pacifique, aujourd'hui, GR 62!
> Midolu, celui du haut, de pente douce, dans la hêtraie, celui du bas (que nous choisirons), sous le soleil, en montée plus rude mais courte, vers le col. Choisir selon l'humeur du moment. De toute manière, on se retrouve là-haut.
Le Bonheur ! Quel nom merveilleux pour une rivière ! Le Bonheur qui va s'engouffrer sous le Causse, se lamenter en tombant dans l'abîme de Bramabiau et ressortir huit cent mètres plus loin.
> Colette, les blessures se sont à jamais refermé, une longue histoire de guerre des religions...
> Danièle, une vaste étendue d'herbe où paissent encore quelques troupeaux. Autrefois un vaste domaine convoîté et disputé.
> Webiane, Paul Fort connaissait-il ce ruisseau lorsqu'il nous a convié à courir dans le pré? " Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer. "
> Neyde, le coeur, la terre, en gardent traces pour qui sait les faire revivre;
> Maria, on ne perd pas le chemin c'est la boussole que l'on égare, parfois.
Par la via aqua dont j'ai remonté le cours sans presse j'ai noté au passage les contours seul l'usage entretient la fonction seule la visite concrétise l'onction pas besoin de partir en courant détaler dans la pla(e)ine comme un faux fuyant ce n'est pas à perdre haleine qu'il convient d'avancer ses pions dans une vie qui connaîtra les mises en échec
J'aurais bien une nouvelle jamais finie sur ce thème du chemin comme parchemin à déchiffrer et des objets insolites qu'on peut y trouver, trop longue pour ici je te la ferais passer pour peu que tu m'envoies ton mail
Au bout du chemin
RépondreSupprimerd'autres traces s'ouvriront
braises sous la cendre
bonjour je croise votre chemin sur le blog arletart que j'aime beaucoup et je lis à l'instant
RépondreSupprimerce texte dont j'aime la trace merci à vous brigitte
Suivre la trace du chemin sans fin....
RépondreSupprimerLes voyages imaginaires sont comme le chemin tortueux mais comme sur celui-ci on vagabonde en rêvassant. Ce sont des moments d'éternité.
RépondreSupprimerMerci et bonne journée
Vers le chemin du temps
RépondreSupprimerdos à la civilisation
Vivre au son de la nature
Que j'aimerais suivre ce chemin....
RépondreSupprimerPierre j'ai trouvé un autre arbre vénérable (un chêne vert) près de Puéchabon , il figurera dans ma prochaine note)
Une fois passé sur l'autre rive
RépondreSupprimerne plus se retourner
un autre chemin nous invite.....
Je vais suivre Arlettart ...
RépondreSupprimerIl faudra faire un choix, le chemin a fait des petits ...
Le chemin dont tu parles Pierre,
RépondreSupprimerje le reconnais, c'est le même que celui que j'ai suivi quand j'ai traversé le Rhône pour venir vivre en Île de France.
Sous la cendre des souvenirs le feu couve toujours et le chemin que je vois en rêve et un sentier qui serpente entre les hautes herbes d'une verte prairie.
je me vois déjà le parcourir à vélo ce chemein
RépondreSupprimerÇa me donne envie de courir, c'est l'été.
RépondreSupprimerJ'ai cessé de courir après les posts fantômes...
Que c'est beau, par ici ! Je suis heureuse d'avoir retrouvé ta trace ! :)
RépondreSupprimerSentier d'un été
RépondreSupprimerentre ciel, sève et pierre
chemin du bonheur
Quand le chemin derrière
RépondreSupprimerPermet de vivre celui devant
C'est la magie de la vie
Quand Aujourd'hui se vit
> Maria, au bout du chemin, le repos.
RépondreSupprimer> Brigitte, merci d'y avoir laissé l'empreintes de vos pas.
> Tanette, sans fin? Je dirais jusqu'au bout de l'envie.
> Caphadoc, il y a beaucoup de cailloux sur le chemin. Attention où l'on pose les pieds.
> Bruno, loin du temps, loin de la civilisation. Mis à part vaches et brebis, il n'y a plus âmes qui vivent ici, les hameaux désertés.
> Ulysse, une belle promenade, un peu courte pour toi mais, le col atteint, tout là-bas, l'on peut faire un circuit en revenant par la forêt. Je prends note pour le chêne vert.
> Arlettart, un autre chemin, peut-être? A imaginer car il n'est dans les guides patentés.
> Midolu, suit Arlettart, elle n'a pas encore passé le gué.
> Tilia, tu ne t'es pas perdue? J'ai bien tenté mais dans les bois, une année, je me suis égaré...
> Gérard, en VTT, mon ami, peut-être. La vallée est plate mais brutalement, au fond, ça monte rudement. Crois-moi. Et que de la caillasse!
> Avignon, un footing matinal, pourquoi pas. 8 km, au bas mot.Le double avec le retour!
> Fugitive, un paysage assez différent de l'Aigoual et cependant, il est tout au fond, au-delà du col que l'on devine. Amitiés.
> Maria, c'est ainsi que nous l'appelons et c'est le vrai nom de cette vallée: la vallée du Bonheur, du nom du petit cours d'eau qui descend du col, droit devant nous.
> Annick, seuls les premiers pas coûtent. Le chemin se trace à mesure, à la mesure de nos pas.
il me plait ton chemin ...
RépondreSupprimerje me verrais bien le parcourir avec mes appareils photos ...
bonne nuit Pierre
Joli ce nom "la vallée du bonheur" mais tout aussi beau que soit ce chemin je partage les mots de Stevenson :
RépondreSupprimer"...ce monde n'est véritablement qu'une vallée de larmes, et le bonheur durable, tout bien réfléchi, ne vient que de l'intérieur"
Cependant ces ballades sur ces chemins sont des moments de pur bonheur, certes éphémères mais très réels.
Les mots de Stevenson sont extraits de "Un roi barbare - Essai sur Henry David Thoreau"
RépondreSupprimerLe chemin se dédouble. Quelle voie choisir ?
RépondreSupprimerSachant que, quel que soit l'option prise, il restera un manque, un ressenti de perte, un regret ...
Mais aussi la " satisfaction " d'avoir été en état de pouvoir choisir, le sentiment d'être responsable, et donc encore maître de sa vie ...
Bonne journée, Pierre.
" quelle que soit l'option " ...
RépondreSupprimer> Laurence, une ancienne draille dite du "Parc aux loups". Aujourd'hui sans risque d'en rencontrer la queue d'un, alors tu peux venir ...
RépondreSupprimer> Monique, un lieu autrefois fréquenté, disputé aussi, témoin des guerres de religion. Pacifique, aujourd'hui, GR 62!
> Midolu, celui du haut, de pente douce, dans la hêtraie, celui du bas (que nous choisirons), sous le soleil, en montée plus rude mais courte, vers le col. Choisir selon l'humeur du moment. De toute manière, on se retrouve là-haut.
suivre ce chemin vers le mystère solaire où les flammes du souvenir cautérisent les "plaies"
RépondreSupprimerLe chemin résonne et sa voix fait écho..
RépondreSupprimerEn a-t-il entendu des pas..
Belle photo qui me fait penser aux landes bretonnes..(avec le vert en moins!)
Le Bonheur !
RépondreSupprimerQuel nom merveilleux pour une rivière !
Le Bonheur qui va s'engouffrer sous le Causse, se lamenter en tombant dans l'abîme de Bramabiau et ressortir huit cent mètres plus loin.
Le chemin jamais s'efface
RépondreSupprimerRestent toujous les traces
dans le coeur
Chemin oublié ... chemin retrouvé
RépondreSupprimerLe Bonheur c'est le chemin
> Colette, les blessures se sont à jamais refermé, une longue histoire de guerre des religions...
RépondreSupprimer> Danièle, une vaste étendue d'herbe où paissent encore quelques troupeaux. Autrefois un vaste domaine convoîté et disputé.
> Webiane, Paul Fort connaissait-il ce ruisseau lorsqu'il nous a convié à courir dans le pré?
" Si tu veux le rattraper, cours-y vite, cours-y vite. Si tu veux le rattraper, cours-y vite. Il va filer. "
> Neyde, le coeur, la terre, en gardent traces pour qui sait les faire revivre;
> Maria, on ne perd pas le chemin c'est la boussole que l'on égare, parfois.
Par la via aqua dont j'ai remonté le cours
RépondreSupprimersans presse j'ai noté au passage les contours
seul l'usage entretient la fonction
seule la visite concrétise l'onction
pas besoin de partir en courant
détaler dans la pla(e)ine comme un faux fuyant
ce n'est pas à perdre haleine
qu'il convient d'avancer ses pions
dans une vie qui connaîtra les mises en échec
J'aurais bien une nouvelle jamais finie sur ce thème du chemin comme parchemin à déchiffrer et des objets insolites qu'on peut y trouver, trop longue pour ici je te la ferais passer pour peu que tu m'envoies ton mail
RépondreSupprimer> Thierry, ai-je moi-même ton adresse mail pour te faire suivre la mienne? Tu la trouves sur Pêle-mêle, en haut, à gauche "Ecrivez-moi".
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