Ravi de te retrouver dans ce nouvel espace! Car il est sage de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier... Bonne journée lumineuse et chaleureuse! (Too Banal)
"L'inscription « Nous passerons, ces pierres resteront », trouvée par André Cablat dans une cabane en pierre sèche du Larzac, participe de cette illusion, trop fréquemment rencontrée, d'une extraordinaire longévité de la pierre sèche. Ironiquement, avec le développement du tourisme rural et la multiplication des sentiers de la pierre sèche, c'est plutôt la devise « Nous passerons, ces pierres trépasseront» qui s'impose."
D'un coup de poing rageur l'Esprit du lieu fit tomber la muraille La Belle était partie ......... Chut!! les pierres le racontent en luisant les nuits de pleine lune
aille, ouille, ça fait mal aux pieds, ils sont trop gros ces cailloux !!!
J'ai enfin changé votre adresse de blog sur mon blog pour que "à mi voix" apparaissent au lieu de votre ancien blog !!! ça en fait des histoires de blog tout ça et j'ai pas dit blocs comme tous ces rochers qui les forment ! Mieux vaut tard que jamais !!!
> Tilia, merveilleuses constructions que ces bories. Un art de l'assemblage, les pierres longuement choisies , caressées de la main... Ici, la construction est de pierres liées. "Tu es pierre, et sur cette pierre je construirais..." mais rien n'est éternel en ce monde! La preuve, ici même.
> Monique, vestiges d'une longue histoire, remontant pour le moins à l'an Mille. C'était un bon heur pour le voyageur égaré dans le mauvais temps, en ces montagnes, de trouver un refuge. Un lieu de passage, de toujours, pour les hommes et les bêtes. Et puis le ruisseau qui porte ce nom: le Bonheur.
> Arlettart, point de nonnes en cette abbaye, que des hommes qui surent faire fructifier le domaine... Puis vinrent les malheurs de la Guerre de Cent Ans, passent plus tard les troupes de Rohan, puis les Camisards qui la mettent à sac et à feu... l'abandon pour finir.
> Bruno, des pierres qu'il est bien difficile de faire parler...
> Christineeeee, les romains préféraient fréquenter les plaines plutôt que ces âpres montagnes!
> Mathilde, ici les escarpins ne sont pas de mise... Merci pour la modification de l'adresse.
> Mimik, bonjour! Et quel plaisir de se retrouver! N'hésite pas à mêler ta voix à ce choeur bon enfant.
> Maria, merci de citer Guillevic. Encore, ceci:
"Que ferais-je "Si j’étais pierre et terre ?
"Tu l’as été "Tu le seras"
Mettre "de la lenteur qui restera". Entendre cela comme un écho qui perdure, au loin, dans le temps.
> Midolu, le dernier "chantier", la dernière campagne de fouille date de 1996, je crois. La responsable trop agée, le manque de jeunes volontaires et le site toujours pas classé. Un dossier complexe.
Du land art et même du stone arte, mais pas une chaussée des géants car même si on trime en Antrim il faut savoir progresse à son rythme et c'est souvent à petit pas, l'incrément est sacrément important et il convient de tailler sa pierre avant que de la polir.
> Briesing, pièces non identifiées, un puzzle à reconstituer si faire se peut...
> Annick, serait-ce cela vivre, faire et défaire ce que d'autres ont fait?
> Thierry, nous ne vivons que dans un champ de ruines. Du passé faisons table rase, dit-on mais encore faut-il qu'un projet existe. L'incrément, en ces lieux, est plutôt négatif et l'entropie maximale... et plus qu'un ajout il s'agit plutôt de retrait.
Il y a plus d'oeuvres humaines mises à bas par vengeance, convoitise, désir d'éradication, manifestation de pouvoir que par le seul effet des érosions naturelles. Outre la nécessité de faire oublier certains, il y a eu dans la réutilisation certes pas préservatrice une tradition de rebatisseurs, heureux ou pas mais bien content de trouver de la pierre taillée et entaillée.
> Thierry, c'est bien le cas ici, convoitises, éradication, rivalités religieuses au nom d'un même Dieu; chacun reconnaitra les siens. Les murs tombant sous les coups de butoirs, le feu faisant le reste... et l'usage se perdant, le lieu devient carrière où trouver facilement la pierre manquante à sa construction. Du temps de gagné, de la sueur épargnée.
à pas de géants
RépondreSupprimerils sautaient
de pierre en pierre
Ravi de te retrouver dans ce nouvel espace! Car il est sage de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier...
RépondreSupprimerBonne journée lumineuse et chaleureuse!
(Too Banal)
Chaos des hommes
RépondreSupprimervestiges des ancêtres
les marques du temps
les pierres semées
RépondreSupprimersouvenir écartelé
Les pierres peuvent faire... des murs ?
RépondreSupprimerMais des murs ouverts bien sûr...
RépondreSupprimerPierre sèche n'amasse pas mousse.
RépondreSupprimer"L'inscription « Nous passerons, ces pierres resteront », trouvée par André Cablat dans une cabane en pierre sèche du Larzac, participe de cette illusion, trop fréquemment rencontrée, d'une extraordinaire longévité de la pierre sèche. Ironiquement, avec le développement du tourisme rural et la multiplication des sentiers de la pierre sèche, c'est plutôt la devise « Nous passerons, ces pierres trépasseront» qui s'impose."
Voir la page Idées fausses
Mon idée sur ce champ de ruines est-elle la bonne hypothèse, ou est-elle fausse ?...
> Brigitte, un travail de patience...
RépondreSupprimer> Thami, heureux de te retrouver ici pour te dire ma fidèle amitié. Merci de ton passage.
> Maria, pierre après pierre, des hommes après avoir chassé d'autres hommes ont défait l'oeuvre. Une histoire d'abandons successifs.
> Lautreje, des sillons pour les voir germer?
> Avignon- Lémurien, il y a mur et mur; ceux fait pour protéger et ceux pour exclure. L'histoire nous le murmure.
Vestiges d'histoire
RépondreSupprimerDans cette vallée du bonheur
Au nom bien étrange
D'un coup de poing rageur l'Esprit du lieu fit tomber la muraille
RépondreSupprimerLa Belle était partie .........
Chut!! les pierres le racontent en luisant les nuits de pleine lune
Au bout du chemin
RépondreSupprimerla voix des pierres
découverte
Qui sait...
RépondreSupprimerEncore un coup des romains
Qui nous laissent des voies
Un peu partout dans les campagnes !
Ils sont fous, ces romains !
Biseeeeeeeeeeees de Christineeeeee
aille, ouille, ça fait mal aux pieds, ils sont trop gros ces cailloux !!!
RépondreSupprimerJ'ai enfin changé votre adresse de blog sur mon blog pour que "à mi voix" apparaissent au lieu de votre ancien blog !!!
ça en fait des histoires de blog tout ça et j'ai pas dit blocs comme tous ces rochers qui les forment !
Mieux vaut tard que jamais !!!
j'aime cette voie à mi-voix; j'y passe régulièrement même si je suis souvent muette...
RépondreSupprimermimik
" Viens encore une fois
RépondreSupprimerTe consacrer caillou
Sur la table dans la lumière
Qui te convient,
Regardons-nous
Comme si c'était
Pour ne jamais finir.
Nous aurons mis dans l'air
De la lenteur qui restera. "
Eugène Guillevic / Encoches
Une histoire riche, marquée par des " abandons successifs ", dont le dernier, celui des archéologues ... Manque de moyens, désintérêt, ... ?
RépondreSupprimerLes pierres nues, en résistance, sont-elles l'ultime " luxe " de ce lieu ?
> Tilia, merveilleuses constructions que ces bories. Un art de l'assemblage, les pierres longuement choisies , caressées de la main...
RépondreSupprimerIci, la construction est de pierres liées.
"Tu es pierre, et sur cette pierre je construirais..." mais rien n'est éternel en ce monde! La preuve, ici même.
> Monique, vestiges d'une longue histoire, remontant pour le moins à l'an Mille. C'était un bon heur pour le voyageur égaré dans le mauvais temps, en ces montagnes, de trouver un refuge. Un lieu de passage, de toujours, pour les hommes et les bêtes. Et puis le ruisseau qui porte ce nom: le Bonheur.
> Arlettart, point de nonnes en cette abbaye, que des hommes qui surent faire fructifier le domaine... Puis vinrent les malheurs de la Guerre de Cent Ans, passent plus tard les troupes de Rohan, puis les Camisards qui la mettent à sac et à feu... l'abandon pour finir.
> Bruno, des pierres qu'il est bien difficile de faire parler...
> Christineeeee, les romains préféraient fréquenter les plaines plutôt que ces âpres montagnes!
> Mathilde, ici les escarpins ne sont pas de mise... Merci pour la modification de l'adresse.
> Mimik, bonjour! Et quel plaisir de se retrouver! N'hésite pas à mêler ta voix à ce choeur bon enfant.
> Maria, merci de citer Guillevic. Encore, ceci:
"Que ferais-je
"Si j’étais pierre et terre ?
"Tu l’as été
"Tu le seras"
Mettre "de la lenteur qui restera". Entendre cela comme un écho qui perdure, au loin, dans le temps.
> Midolu, le dernier "chantier", la dernière campagne de fouille date de 1996, je crois. La responsable trop agée, le manque de jeunes volontaires et le site toujours pas classé. Un dossier complexe.
Jeandler : mais je ne porte jamais d'escarpins, que du plat, les hauts talons uniquement pour le tango !
RépondreSupprimer> Mathilde, le tango sur le sable fin d'une plage, à la rigueur, mais ici, je doute. Les talons hauts ne seraient pas de mise.
RépondreSupprimerMosaïque de pierres
RépondreSupprimerPierres installées
Champ-Musée
Il y a eu une fondation
RépondreSupprimerLa création des hommes
Ils vont le rebâtir
LEUR MONDE
Puis tout anéantir
La vie son éternel recommencement
Qui occupe la voix de l'homme
Car il s'ennuie bien trop
Et pourtant le grain de la vie
Cela maintient vivant
Du land art et même du stone arte, mais pas une chaussée des géants car même si on trime en Antrim il faut savoir progresse à son rythme et c'est souvent à petit pas, l'incrément est sacrément important et il convient de tailler sa pierre avant que de la polir.
RépondreSupprimer> Briesing, pièces non identifiées, un puzzle à reconstituer si faire se peut...
RépondreSupprimer> Annick, serait-ce cela vivre, faire et défaire ce que d'autres ont fait?
> Thierry, nous ne vivons que dans un champ de ruines. Du passé faisons table rase, dit-on mais encore faut-il qu'un projet existe. L'incrément, en ces lieux, est plutôt négatif et l'entropie maximale... et plus qu'un ajout il s'agit plutôt de retrait.
mini Pompéi ?
RépondreSupprimer> Gérard, des murs détruits de mains d'hommes et non par incurie...
RépondreSupprimerUn retrait à la ligne quand la tour se démonte
RépondreSupprimerpas dans une tour d'ivoire nous ne pouvons ignorer l'effet du temps et des intempéries,
Il y a plus d'oeuvres humaines mises à bas par vengeance, convoitise, désir d'éradication, manifestation de pouvoir que par le seul effet des érosions naturelles. Outre la nécessité de faire oublier certains, il y a eu dans la réutilisation certes pas préservatrice une tradition de rebatisseurs, heureux ou pas mais bien content de trouver de la pierre taillée et entaillée.
RépondreSupprimer> Thierry, c'est bien le cas ici, convoitises, éradication, rivalités religieuses au nom d'un même Dieu; chacun reconnaitra les siens. Les murs tombant sous les coups de butoirs, le feu faisant le reste... et l'usage se perdant, le lieu devient carrière où trouver facilement la pierre manquante à sa construction. Du temps de gagné, de la sueur épargnée.
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