" Les événements graves, heureux ou malheureux, ne changent pas l'âme d'un homme mais ils la précisent, comme un coup de vent en balayant les feuilles mortes révèle la forme d'un arbre. "
Irène Némirowsky, Suite française, Éditions Gallimard, 2006.
beau (et raffinement tu assortis les lettres aux feuilles)
RépondreSupprimerPréciser son âme, n'est-ce pas un peu l'affiner ? Cette métaphore arborée me parle.
RépondreSupprimerEn ce moment je souhaiterais bien que le vent tombe, je n'ai plus de feuilles sur mon arbre, la chimio de ma fille les a fait tomber...
RépondreSupprimerTrès beau texte !!!
RépondreSupprimerLes chênes n'ont pas encore perdu toutes leurs feuilles, tant mieux !!!
Après une ébauche au ciseau à bois, la longue finition par le ponçage manuel...la vie. Cordialement.
RépondreSupprimerUn peu comme les rides d'un visage ... qui révèlent l'âme en fin de parcours
RépondreSupprimerUn petit toit au loin pour donner à la croisée des chemins une ambiance du centre où trône avec grandeur l'arbre en tenue de transition, un travail de mue tout en douceur avant de voir au sol choir sa guipure.
RépondreSupprimer"L'or du temps"
RépondreSupprimerDouceur du temps
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