> Brigitte Celerier, ce porche latéral est ce qui subsiste du transept nord par où l'on pénètre actuellement dans les lieux. La nef, assez courte cependant, se prolongeait à l'emplacement de la bâtisse mansardée.
> Mémoire du silence, les dieux ne t'aident pas. Je pense que tu l'auras compris, c'est l'église que je préfère. Un haut lieu de la ville, longtemps hors de la première enceinte, particulièrement choyé de Louis XI. Sous l'abside, une crypte merveilleuse, véritable sanctuaire souterrain. Nous irons y faire un tour après ce survol de la ville.
de haut en bas cela ne fait pas débats c'est dans les fonds que le fond réside tout ne se montre pas, ce serait trop facile il faut savoir découvrir pour s'ouvrir la voie secrète
> Françoise Dumon, en l'absence de la cathédrale, toujours en construction et démolie de nombreuses fois, cette église, sur les dessins ou estampes anciens de la Ville, domine la situation au-dessus des toits. Longtemps l'église la plus importante jusqu'à sa destruction partielle de 1562 et 1567 par les Huguenots.
Ce manque la rend d'autant plus touchante. Et permet d'admirer sans distraction les atours restants. Toute notre attention pour eux. Malgré la perte, l'église Saint-Aignan ne manque pas d'équilibre. Merci pour toutes ces découvertes et ces paysages urbains commentés.
> Midolu, s'en prendre à la pierre comme aux hommes, s'acharner au marteau comme au pic quand on ne recourt pas à la poudre. Des images, hélas, coutumières sinon journalières. Des symboles, tout doit disparaître mais ils ont la vie dure... et ce qui subsiste ressemble tant à une châsse gardant précieusement un trésor enfoui.
> Pensées au fil de l'eau, l'esprit élevé au-dessus des demeures des mortels mais aussi volonté de domination. Plus grand, plus haut, au plus près des dieux.
> Enitram, l'ardoise venant de la région d'Angers, par bateau, remontant la Loire jusqu'ici. Difficile d'imaginer ce que pouvait être l'ensemble mais je pense que la nef devait être assez courte.
Belle vue de la ville. On survole les toits et l'église se montre souveraine à nos yeux. Et les arbres que défilent sur la rive du fleuve me semblent colorés du soleil. J'aime connaître tout cela. Merci, Pierre. Trés, très beau!
mutilé, tronqué, reste pourtant l'élan de la nef qui se dessine dans celui du porche latéral, du toit, dans la proportion de ce rectangle qui s'élève
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, ce porche latéral est ce qui subsiste du transept nord par où l'on pénètre actuellement dans les lieux. La nef, assez courte cependant, se prolongeait à l'emplacement de la bâtisse mansardée.
Supprimeraveugle et mutilée je suis.
RépondreSupprimer> Mémoire du silence, les dieux ne t'aident pas. Je pense que tu l'auras compris, c'est l'église que je préfère. Un haut lieu de la ville, longtemps hors de la première enceinte, particulièrement choyé de Louis XI. Sous l'abside, une crypte merveilleuse, véritable sanctuaire souterrain. Nous irons y faire un tour après ce survol de la ville.
Supprimerde haut en bas cela ne fait pas débats
RépondreSupprimerc'est dans les fonds que le fond réside
tout ne se montre pas, ce serait trop facile
il faut savoir découvrir pour s'ouvrir la voie secrète
Bien entourée, abondance de cheminées d'un côté et de frondaisons de l'autre.
RépondreSupprimerComme Brigitte je lui trouve un bel élan, elle domine fièrement ses voisins.
RépondreSupprimer> Françoise Dumon, en l'absence de la cathédrale, toujours en construction et démolie de nombreuses fois, cette église, sur les dessins ou estampes anciens de la Ville, domine la situation au-dessus des toits. Longtemps l'église la plus importante jusqu'à sa destruction partielle de 1562 et 1567 par les Huguenots.
RépondreSupprimerCe manque la rend d'autant plus touchante. Et permet d'admirer sans distraction les atours restants. Toute notre attention pour eux.
RépondreSupprimerMalgré la perte, l'église Saint-Aignan ne manque pas d'équilibre.
Merci pour toutes ces découvertes et ces paysages urbains commentés.
> Midolu, s'en prendre à la pierre comme aux hommes, s'acharner au marteau comme au pic quand on ne recourt pas à la poudre. Des images, hélas, coutumières sinon journalières. Des symboles, tout doit disparaître mais ils ont la vie dure... et ce qui subsiste ressemble tant à une châsse gardant précieusement un trésor enfoui.
SupprimerPar dessus les toits
RépondreSupprimerles anges dansent
beauté d'une histoire
recueillement
> Pensées au fil de l'eau, l'esprit élevé au-dessus des demeures des mortels mais aussi volonté de domination. Plus grand, plus haut, au plus près des dieux.
Supprimeréglise... paratonnerre (mais pas de Brest)
RépondreSupprimer> JEA, une installation contre la foudre des dieux bien postérieure à l'édification des clochers.
SupprimerElle est fière mˆeme mutilée au milieu de ses ardoises...
RépondreSupprimer> Enitram, l'ardoise venant de la région d'Angers, par bateau, remontant la Loire jusqu'ici.
SupprimerDifficile d'imaginer ce que pouvait être l'ensemble mais je pense que la nef devait être assez courte.
Belle vue de la ville.
RépondreSupprimerOn survole les toits et l'église se montre souveraine à nos yeux.
Et les arbres que défilent sur la rive du fleuve me semblent colorés du soleil.
J'aime connaître tout cela.
Merci, Pierre. Trés, très beau!
> Neyde, un petit quart de la cité historique sous nos yeux. Une belle uniformité des toitures et un beau concours de cheminées.
Supprimer> neyde, la rangée des platanes marque les quais. La Loire coule de gauche à droite, d'Est en Ouest.
SupprimerSurvoler la ville
RépondreSupprimerY Décrypter son histoire
Peut-être son âme
> Monique, l'histoire inscrite dans le plan de la ville, en ses murs dessinée ou cachée en son sol.
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