le 18ème a investi le centre, les lieux de pouvoirs, les restes de la ville ancienne sont suivis en couronnes des siècles de plus en plus récents - du moins me semble, du moins c'est ce qui se passe généralement dans nos villes de France (ici la marque du rempart, enjambé par le 19ème et le 20ème ou 21ème, sauf quelques îlots centraux dans des démolitions, en grande étendue au delà)
> Brigitte Celerier, et ces " couronnes des siècles " sont en cette ville bien reconnaissables. À nos pieds, le XVIè avec l'Hôtel Groslot, puis le XVIIè avec les hôtels de la rue d'Escure, les XVIIIè et XIX ème , d'une manière centrifuge et le XXIè à l'horizon avec la Médiathèque devinée, à gauche de l'église.
> mémoire du silence, si je comprends, aujourd'hui l'image ne t'échappe pas ! Une vieille ville qui cherche, malgré ses cheveux blancs, à se refaire une jeunesse.
De quel côté soufflera le vent demain ? De bien belles images très représentatives de tous les styles de bâtiments à Orléans à travers les siècles passés et présent, pour l'avenir croisons les doigts qu'ils restent tous ainsi profilés se respectant mutuellement autant que faire se peut.
Il faut quelqu'un me guider les yeux pour reconaître quelque chose. Mais j'aime voir l'horizont au loin aprés apprecier les maisons anciennes. C'est un autre regard sur la ville d'Orléans.
> Neyde, je vais tenter de te guider parmi ces toits. Au premier plan, à gauche, les bâtiments modernes du nouvel Hôtel de Ville; à droite, plus classiques, ceux de l'Institut, rendez-vous des mélomanes. Entre les deux, une place fermée par l'Hôtel Groslot, ancien Hôtel de Ville, époque Renaissance, façades de briques et de pierre. Tout de suite à droite mais perpendiculairement, les Hôtels construits par le Maréchal d'Escure , un fidèle de Henri IV, sur le modèle de la Place des Vosges parisienne. Les arbres qui dominent sont ceux du jardin de l'Hôtel Groslot et qui donnent un peu de verdure dans le paysage. Au-delà, il faudrait flécher pour te montrer l'emplacement de la place du Martroi (sur l'extrême gauche), et à l'horizon la Médiathèque et l'église Saint-Paterne (à l'extrême gauche)... Tout cela sans entrer dans le détail. En espérant que tu ne te sois par perdue en cours de chemin.
> Arlettart, originale cette comparaison avec un orchestre. Mais on se demande, dans ces problèmes d'urbanisme, s'il y a toujours un chef dans l'orchestre... ou même un premier violon.
> Tilia, plus loin, les derniers arrivants pour ne rien perdre du spectacle, se hissent sur la pointe des pieds. Toujours plus hauts, toujours plus arrogants.
On ne sait pas si à sainte Paterne il y avait des listes de vieilles badernes et si une poterne était proche pour favoriser les échappées belles un jour on reparlera de sainte Radegonde et de sa source dans la forêt d'Orléans du côté de Chambon au pays d'oligo métalic
> Thierry, exploitée depuis les Romains, la source sainte Radegonde, au milieu de la Forêt d'Orléans, me fournit toujours en eau que je ramène jusqu'à Paris. Le prénom Paterne est mixte. Et notre Saint en question, né en Normandie, n'a que peu à faire en Orléanais. Ce sont des Bretons fuyant les Normands qui, s'établissant en ces lieux, ont donné le nom à la paroisse et à l'église.
> Thierry, mis à part les nouvelles constructions (ou reconstructions) dans la ville historique, les habitations contemporaines n'ont plus de toit à charpente aujourd'hui...
le 18ème a investi le centre, les lieux de pouvoirs, les restes de la ville ancienne sont suivis en couronnes des siècles de plus en plus récents - du moins me semble, du moins c'est ce qui se passe généralement dans nos villes de France (ici la marque du rempart, enjambé par le 19ème et le 20ème ou 21ème, sauf quelques îlots centraux dans des démolitions, en grande étendue au delà)
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, et ces " couronnes des siècles " sont en cette ville bien reconnaissables. À nos pieds, le XVIè avec l'Hôtel Groslot, puis le XVIIè avec les hôtels de la rue d'Escure, les XVIIIè et XIX ème , d'une manière centrifuge et le XXIè à l'horizon avec la Médiathèque devinée, à gauche de l'église.
SupprimerPfff... je ne reconnais plus rien...
RépondreSupprimerBleu sur noir : désespoir !
> Jehanne, le texte en harmonie avec les ardoises des toits.
Supprimer> Jehanne, texte éclairci, mais dans la même tonalité. Vois-tu venir ainsi - non pas sœur Anne - le texte ?
SupprimerLes pinacles font face à des flèches modernes, grues, tourelles contemporaines, ...
RépondreSupprimer> Midolu, la Cité historique face à la ville moderne; encore heureux que celle-ci ait été préservée.
SupprimerUne ville coiffée de gris.
RépondreSupprimer> mémoire du silence, si je comprends, aujourd'hui l'image ne t'échappe pas ! Une vieille ville qui cherche, malgré ses cheveux blancs, à se refaire une jeunesse.
SupprimerDe quel côté soufflera le vent demain ? De bien belles images très représentatives de tous les styles de bâtiments à Orléans à travers les siècles passés et présent, pour l'avenir croisons les doigts qu'ils restent tous ainsi profilés se respectant mutuellement autant que faire se peut.
RépondreSupprimer> Monique, actuellement le vent nous a conduit au nord-ouest de la ville. L'histoire par vagues dessine la ville.
SupprimerCertains l'on touché...mais juste des yeux
RépondreSupprimer> Thierry, l'idée va plus vite que les doigts sur le clavier. Touché n'est pas jouer.
Supprimeront, pardon et pas par don !
RépondreSupprimer> T, le repentir me semble sincère. Seulement une minute plus tard: un bon temps de chronaxie. On te pardonne.
SupprimerUne belle vue d'ensemble et un bon plan récapitulé chez Brigitte.
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, Brigitte a tout décrypté. L'œil " architecte " si je puis dire.
SupprimerJ'aime bien cette série vue d'en haut ! Le regard embrasse la ville d'une autre façon !
RépondreSupprimerBelle soirée à toi !
> Enitram, prendre un peu de hauteur, un peu de recul. les choses relativisées.
SupprimerIl faut quelqu'un me guider les yeux pour reconaître quelque chose.
RépondreSupprimerMais j'aime voir l'horizont au loin aprés apprecier les maisons anciennes.
C'est un autre regard sur la ville d'Orléans.
> Neyde, je vais tenter de te guider parmi ces toits. Au premier plan, à gauche, les bâtiments modernes du nouvel Hôtel de Ville; à droite, plus classiques, ceux de l'Institut, rendez-vous des mélomanes. Entre les deux, une place fermée par l'Hôtel Groslot, ancien Hôtel de Ville, époque Renaissance, façades de briques et de pierre. Tout de suite à droite mais perpendiculairement, les Hôtels construits par le Maréchal d'Escure , un fidèle de Henri IV, sur le modèle de la Place des Vosges parisienne. Les arbres qui dominent sont ceux du jardin de l'Hôtel Groslot et qui donnent un peu de verdure dans le paysage. Au-delà, il faudrait flécher pour te montrer l'emplacement de la place du Martroi (sur l'extrême gauche), et à l'horizon la Médiathèque et l'église Saint-Paterne (à l'extrême gauche)... Tout cela sans entrer dans le détail. En espérant que tu ne te sois par perdue en cours de chemin.
SupprimerMerci, Pierre! Avec ton aide, je continue à découvrir la Ville sous les toits et je ne me suis pas perdue. Magnifique photo. J'aime cela.
RépondreSupprimer> Neyde, à tire-d'aile, suivons Peter Pan avant qu'Asmodée ne soulève les toits.
SupprimerTous les styles Oui!! mais belle harmonie où tous les instruments jouent ensemble
RépondreSupprimerOu la grâce certaine du photographe
> Arlettart, originale cette comparaison avec un orchestre. Mais on se demande, dans ces problèmes d'urbanisme, s'il y a toujours un chef dans l'orchestre... ou même un premier violon.
SupprimerSous le dais de l'ardoise, tous les âges convolent en justes noces.
RépondreSupprimerPlus loin, les nouveaux venus jouent les témoins
> Tilia, plus loin, les derniers arrivants pour ne rien perdre du spectacle, se hissent sur la pointe des pieds. Toujours plus hauts, toujours plus arrogants.
RépondreSupprimerOn ne sait pas si à sainte Paterne il y avait des listes de vieilles badernes
RépondreSupprimeret si une poterne était proche pour favoriser les échappées belles
un jour on reparlera de sainte Radegonde et de sa source dans la forêt d'Orléans du côté de Chambon au pays d'oligo métalic
> Thierry, exploitée depuis les Romains, la source sainte Radegonde, au milieu de la Forêt d'Orléans, me fournit toujours en eau que je ramène jusqu'à Paris.
SupprimerLe prénom Paterne est mixte. Et notre Saint en question, né en Normandie, n'a que peu à faire en Orléanais. Ce sont des Bretons fuyant les Normands qui, s'établissant en ces lieux, ont donné le nom à la paroisse et à l'église.
de toit à moi l'humeur n'est pas moite et les couvertures encore bien droites
RépondreSupprimer> Thierry, mis à part les nouvelles constructions (ou reconstructions) dans la ville historique, les habitations contemporaines n'ont plus de toit à charpente aujourd'hui...
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