> Pensées au fil de l'eau, le vide appelle le plein. Une place nouvelle en bordure du fleuve que la ville voudrait animer. Une librairie, des cinémas, trois ou quatre terrasses en attente de fêtes et de touristes.
> Brigitte Celerier, prévoir son coussin avec soi. La place, bien que plein Sud, n'a pas encore rencontré cette année ni beau temps ni chaleur. Et les touristes se font désirer...
> Michel, et ceci étant sans doute insuffisant, on construit un autre complexe, à deux pas (le trou de ma note "Chantier", c'est cela !). Où sont les salles d'Art et d'Essai de ma jeunesse et la Cinémathèque hébergée en son temps rue d'Ulm ?
Nous avons la grande chance d'avoir les Cinémas Utopia. Une grande histoire commencée à Avignon au milieu des années 70 et qui depuis essaime en France... À quand un Utopia Orléans ???
> Michel, un Utopia à Orléans ne dépend pas que de moi. Le culturel n'est pas l'enfant gâté de nos édiles. Paris est bien trop proche. S'il n'y avait la Loire et mon jardin, je m'exilerai volontiers à Avignon qui est un pôle culturel sensationnel.
> Tilia, le photographe attiré par ces reflets des tables comme des chaises. Un cliché métallique à défaut d'être argentique ! Personne pour prendre un bain de soleil. Il faut dire qu'avec l'été que nous avons, il n'y a rien d'étonnant. Nous reviendrons lorsque les jours seront meilleurs.
> Dominique, j'étais plutôt rive gauche, que veux-tu, par obligation professionnelle. Flâner parmi les bouquinistes, du côté de Notre-Dame, un plaisir que je ne m'offre plus souvent.
J'apprécie l'aspect graphique rendu par cette photo et la présentation in situ (le contraste des matières, pierres des pavés, verre et métal), ainsi que le dénivelé du sol qui forme une cuvette, appelant (rappelant) l'eau toute proche ...
> Gérard, mais tu qais fort bien que l'eau de la Loire n'est pas fameuse pour s'y baigner d'autant qu'en ce moment elle a une bien sale couleur. Sans parler de la fraîcheur de l'air.
> Christineeee, je vois, tu as abordé ces lieux une jour de Fête de Loire. La foule s'y presse. Cette place est toute récente. Cet espace libéré par l'ancien marché est resté bien longtemps sans destination précise. Les travaux ne sont d'ailleurs pas encore terminés pour redessiner l'ancienne rue des Halles et animer le quartier et les quais.
> Arlettart, ton commmentaire me fait penser à ce Monsieur qui attendait... dans une chanson de Georges Ulmer
Un monsieur attendait Au café du Palais Devant un Dubonnet La femme qu´il aimait La pendule tournait Et les mouches volaient Et toujours le monsieur attendait...
Mon fils a été à Paris, Il m’a dit le même que Dominique, sur les bouquinistes et Il a acheté. pour me donner, une mini-tour Eiffel!] C'est une place que ne m'attire pas. Peut être qu'il manque de vegetation, c'est froide.
> Neyde, l'été n'était pas encore-là quand j'ai fait cette image. Alors un manège de chevaux de bois s'y installe et la ville sort ses palmiers dans de grands pots et des bacs fleuris. A défaut d'ombre, les palmiers donnent un peu de verdure. Orléans est une ville très fleurie.
> Un grand merci, Mémoire du silence. Figure-toi, que de Jeanne, à cette époque, j'étais tombé amoureux... J'allais voir tous ces films sans un manquer un seul. Et Jules et Jim, n'est-ce pas un film mythique ? Dans le Tourbillon de la vie.
Encore bien vide
RépondreSupprimerle soleil timide
les gens arrivent
> Pensées au fil de l'eau, le vide appelle le plein. Une place nouvelle en bordure du fleuve que la ville voudrait animer. Une librairie, des cinémas, trois ou quatre terrasses en attente de fêtes et de touristes.
Supprimerprévoir un tissu pour s'asseoir si le beau temps et la chaleur insistent !
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, prévoir son coussin avec soi. La place, bien que plein Sud, n'a pas encore rencontré cette année ni beau temps ni chaleur. Et les touristes se font désirer...
SupprimerEncore un multiplexe de déculturation !
RépondreSupprimerCe désert m'enchante !
> Michel, et ceci étant sans doute insuffisant, on construit un autre complexe, à deux pas (le trou de ma note "Chantier", c'est cela !). Où sont les salles d'Art et d'Essai de ma jeunesse et la Cinémathèque hébergée en son temps rue d'Ulm ?
RépondreSupprimerNous avons la grande chance d'avoir les Cinémas Utopia.
SupprimerUne grande histoire commencée à Avignon au milieu des années 70 et qui depuis essaime en France...
À quand un Utopia Orléans ???
> Michel, un Utopia à Orléans ne dépend pas que de moi. Le culturel n'est pas l'enfant gâté de nos édiles. Paris est bien trop proche.
SupprimerS'il n'y avait la Loire et mon jardin, je m'exilerai volontiers à Avignon qui est un pôle culturel sensationnel.
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
RépondreSupprimerils sont tous au cinema-fil-à-la-pathe.com
RépondreSupprimer> JEA, les séances viennent tout juste de débuter et je suis arrivé trop tard. Personne sur le pont; le temps de jeter un regard sur la Loire.
SupprimerRéverbération aveuglante (vite mes lunettes d soleil !) et salles obscures.
RépondreSupprimerUn contraste saisissant, mais qui ne m'éPATHE pas :)
> Tilia, le photographe attiré par ces reflets des tables comme des chaises. Un cliché métallique à défaut d'être argentique ! Personne pour prendre un bain de soleil. Il faut dire qu'avec l'été que nous avons, il n'y a rien d'étonnant. Nous reviendrons lorsque les jours seront meilleurs.
SupprimerCela ressemble au quai de la Loire (à Paris, 19e).
RépondreSupprimerLe minitel, lui aussi, a disparu... La vie n'en est-elle pas moins belle ?
> Dominique, j'étais plutôt rive gauche, que veux-tu, par obligation professionnelle. Flâner parmi les bouquinistes, du côté de Notre-Dame, un plaisir que je ne m'offre plus souvent.
Supprimer@ jeandler : je voulais dire "quai de Loire" (MK2).
Supprimer"Rive gauche", les bouquinistes sont encore là mais vendent trop de cartes postales et de mini-tours Eiffel !
J'apprécie l'aspect graphique rendu par cette photo et la présentation in situ (le contraste des matières, pierres des pavés, verre et métal), ainsi que le dénivelé du sol qui forme une cuvette, appelant (rappelant) l'eau toute proche ...
RépondreSupprimer> Midolu, la place se peuple et les terrasses augmentent. Une toute nouvelle, les fauteuils en rouge. Réverbération atténuée. Une prochaine photo.
SupprimerCe n'est pas au bord mais dans l'eau qu'il fait frais
RépondreSupprimer> Gérard, mais tu qais fort bien que l'eau de la Loire n'est pas fameuse pour s'y baigner d'autant qu'en ce moment elle a une bien sale couleur. Sans parler de la fraîcheur de l'air.
SupprimerVu la foule "intense et serrée" qui envahit cette terrasse, je me croyais presque à Montréal pendant l'automne dernier !
RépondreSupprimerBiseeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeee
> Christineeee, je vois, tu as abordé ces lieux une jour de Fête de Loire. La foule s'y presse.
SupprimerCette place est toute récente. Cet espace libéré par l'ancien marché est resté bien longtemps sans destination précise. Les travaux ne sont d'ailleurs pas encore terminés pour redessiner l'ancienne rue des Halles et animer le quartier et les quais.
Au bord de l'eau je les ai perdus
RépondreSupprimerBeau dimanche Pierre
> Mémoire du silence, tant la foule était dense, tu les as perdus et je les ai retrouvés. Comme dans la chanson
SupprimerOn s'est connu, on s'est reconnu,
On s'est perdu de vue, on s'est r'perdu d'vue
On s'est retrouvé, on s'est réchauffé,
Puis on s'est séparé.
J'aime Jeanne Moreau chantant cela.
Espoir
RépondreSupprimerje l'attendais sur la terrasse
Elle n'est pas venue
La place était vide tristement vide
peut-être demain
Espoir Espoir
> Arlettart, ton commmentaire me fait penser à ce Monsieur qui attendait... dans une chanson de Georges Ulmer
SupprimerUn monsieur attendait
Au café du Palais
Devant un Dubonnet
La femme qu´il aimait
La pendule tournait
Et les mouches volaient
Et toujours le monsieur attendait...
La place rouge était vide.....
RépondreSupprimer> Monique, une autre chanson avec Bécaud, une autre époque aussi...
SupprimerLa place Rouge était vide
Devant moi marchait Nathalie
Il avait un joli nom, mon guide
Nathalie
Mon fils a été à Paris, Il m’a dit le même que Dominique, sur les bouquinistes et Il a acheté. pour me donner, une mini-tour Eiffel!]
RépondreSupprimerC'est une place que ne m'attire pas. Peut être qu'il manque de vegetation, c'est froide.
> Neyde, l'été n'était pas encore-là quand j'ai fait cette image. Alors un manège de chevaux de bois s'y installe et la ville sort ses palmiers dans de grands pots et des bacs fleuris. A défaut d'ombre, les palmiers donnent un peu de verdure. Orléans est une ville très fleurie.
Supprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=kjJqHF0mb_k
RépondreSupprimer> Un grand merci, Mémoire du silence. Figure-toi, que de Jeanne, à cette époque, j'étais tombé amoureux... J'allais voir tous ces films sans un manquer un seul. Et Jules et Jim, n'est-ce pas un film mythique ? Dans le Tourbillon de la vie.
Supprimerhttp://www.youtube.com/watch?v=kjJqHF0mb_k
RépondreSupprimer> Mémoire su silence, j'étais jeune... C'est tout dire. Aujourd'hui, c'est une grande dame.
SupprimerJ'y ai pris de beaux poissons aujourd'hui ...dans cette Loire
RépondreSupprimer> Gérard, une bourriche bien remplie, jour de chance. Sur les rives orléanaises, les pêcheurs se font rares...
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