On ne peut retourner un feston même s'il n'est pas infesté de corniches et de clochetons, rien ne cloche qui essaime mais dans ces courbes glissantes on se laisserait aller.
> Thierry, on se laisse aller et rebondir. Au bout, l'inconnu... Mais dans l'uatre sens, il faut remonter la pente? Faut-il le faire en rappel ?
> Naline, un ciel typique des bords de Loire et sa lumière. Turner, le peintre de la lumière se s'y est pas trompé. Remontant, en 1826, la Loire de Nantes à Orléans, il a saisi, en de multiples aquerelles, ces vibrations où le jaune domine.
Autant que les arabesques, j'admire le cadrage qui les met en valeur, ainsi que les teintes contrastées de la pierre et du ciel. Je ne suis pas certaine que j'aurais facilement remarqué les festons de la façade sans la prise de vue particulière ...
Parce que c'est peut-être le mur du cimetière... ?
RépondreSupprimer> Michel, et non (le cimetière ne cerne plus l'église) mais le mur de l'église elle même, allongeant la façade.
RépondreSupprimerrebondir avec grâce, de volute en volute se hisser joyeusement vers le ciel
RépondreSupprimerBel haïku pour souligner , s'il le fallait' la beauté de ces volutes.
RépondreSupprimerTanette
Rocking-chair pour angelots
RépondreSupprimerUne vague de pierre, arabesque sur la plage du ciel.
RépondreSupprimerLa tierce vers le ciel ...
RépondreSupprimerAu ciel, Ô Ciel, haut ciel ...
RépondreSupprimer;-))
Belle image festonnée prise ainsi ressemble aux toits des palais en chine avec oiseaux et autres volatils à chaque décrochement
RépondreSupprimer> Brigetoun, en montée comme en descente...
RépondreSupprimer> Tanette, en trois mouvements, crescendo, la ligne droite à la fin.
> Tilia, bien vu. Pour ma part, jy verrais un toboggan.
> Monique, des vagues pour surfer. J'imagine que les anges n'hésitent pas certains soirs...
> Pat, la tierce, petite heure du l'office divin qui se dit à la troisième heure, soit à 9 heures du matin.
> Mémoire du silence, oh, oh ! Les pensées s'élèvent toujours vers le ciel.
> Arlettart, un feston que je dirais " sec " par rapport aux festons chinois, si colorés et agrémentés de tuiles vernissées.
On ne peut retourner un feston même s'il n'est pas infesté de corniches et de clochetons, rien ne cloche qui essaime mais dans ces courbes glissantes on se laisserait aller.
RépondreSupprimerS'élever vers le ciel... surtout quand le ciel serein nous y invite !
RépondreSupprimer> Thierry, on se laisse aller et rebondir. Au bout, l'inconnu... Mais dans l'uatre sens, il faut remonter la pente? Faut-il le faire en rappel ?
RépondreSupprimer> Naline, un ciel typique des bords de Loire et sa lumière. Turner, le peintre de la lumière se s'y est pas trompé. Remontant, en 1826, la Loire de Nantes à Orléans, il a saisi, en de multiples aquerelles, ces vibrations où le jaune domine.
accolade avec un ange !
RépondreSupprimerjoli cadrage !
RépondreSupprimerbelle diagonale avec des formes toutes douces.
bonsoir Pierre et bonne nuit
Autant que les arabesques, j'admire le cadrage qui les met en valeur, ainsi que les teintes contrastées de la pierre et du ciel.
RépondreSupprimerJe ne suis pas certaine que j'aurais facilement remarqué les festons de la façade sans la prise de vue particulière ...