> Comme vous ne l'avez peut-être pas remarqué, en cliquant sur l'image, celle-ci s'inscrit dans un cadre noir et non plus au format d'origine. Désolé pour les visiteurs cherchant le petit détail...
Merci d'avoir signalé la nouveauté pour l'agrandissement des photos, chose que blogger n'a pas pris la peine de faire. Il y a un avantage dans ce système, on peut faire défiler toutes les photos du billet. Quand il y en a beaucoup, comme chez Nathalie par exemple, ça peut être intéressant, bien que ça ne rende pas leur taille originale. Cependant, en faisant simplement un clic droit sur les photos (au lieu du clic gauche), on peut toujours revenir à l'ancienne présentation dans un nouvel onglet. Ouf !
J'habite au numéro 6. Ne cherchez pas de sonnette : il n'y en pas. Entrez, simplement. Empruntez le long couloir. Après une petite cour, tout au fond, vous trouverez mon atelier. D'écriture.
Bouche fermée, un peu pincée, les yeux, pourtant ouverts, attentifs, dissimulés derrière la barrière des cils, la maison veille ... J'espère qu'elle ne me gardera pas rancœur de l'avoir personnifiée.
> Tilia, je ne pense jamais au "clic gauche "! Merci d'avoir exploré toutes les possibilités. Alors qu'on se le dise : cliquez, de droite et de gauche. Ce qui permet d'observer de près ces ravissants télamons. De ne rien ajouter, de ne pas compléter, de ne pas faire du vrai-faux neuf,en un mot de nettoyer seulement a été le parti pris des restaurateurs. Et je trouve le travail admirable. Il laisse pour les parties manquantes tout loisir de rêver...
> Darthmagus, rêvons, par exemple, à ce petit jet d'eau qui animerait une vasque où viendra tout à l'heure s'abreuver une colombe...
> Nicolas Bleusher, le chiffre six, si l'on suit sa spirale de son dessin, symbolise la montée vers la lumière, mimant en cela la course apparente du soleil dans le ciel. C'est un nombre de la genèse qui ne peut qu'inciter à la création donc écriture.
> Mémoire du silence, j'entends comme un battement du coeur; l'émotion m'étreint. Mon impatience grandit de pousser la porte...
> Arlettart, la porte est restée telle avec son numéro dessiné à la main et souligné d'un trait blanc. Tout comme la peinture de la boiserie qui n'a pas été ravivée. Et telle qu'elle est, je l'aime cette porte en sa modeste apparence.
> Midolu, elle ne désire que vivre cette maison. D'ailleurs habitée, la rénovation s'étant déroulée en présence des habitants dans les lieux.
> Claudie, une façade est un décor. Elle affiche. Elle se montre. Elle symbolise
corridor oui
RépondreSupprimermais entre dentelle souriante
et jardin
juste un passage
> Comme vous ne l'avez peut-être pas remarqué, en cliquant sur l'image, celle-ci s'inscrit dans un cadre noir et non plus au format d'origine. Désolé pour les visiteurs cherchant le petit détail...
RépondreSupprimer> Brigetoun, cette porte avec sa peinture et son chiffre dessiné le pinceau tenu à la main est tout ce qui subsiste de la façade avant toilettage...
RépondreSupprimerMerci d'avoir signalé la nouveauté pour l'agrandissement des photos, chose que blogger n'a pas pris la peine de faire.
RépondreSupprimerIl y a un avantage dans ce système, on peut faire défiler toutes les photos du billet. Quand il y en a beaucoup, comme chez Nathalie par exemple, ça peut être intéressant, bien que ça ne rende pas leur taille originale.
Cependant, en faisant simplement un clic droit sur les photos (au lieu du clic gauche), on peut toujours revenir à l'ancienne présentation dans un nouvel onglet. Ouf !
Les détails de cette façade sont bien abimés, la petite cariatide de gauche en particulier. Un simple nettoyage de peau, pas de chirurgie esthétique !
RépondreSupprimerDans la lumière de la petite cour, le chant d'une fontaine berce les roses...
RépondreSupprimerJ'habite au numéro 6. Ne cherchez pas de sonnette : il n'y en pas. Entrez, simplement. Empruntez le long couloir. Après une petite cour, tout au fond, vous trouverez mon atelier. D'écriture.
RépondreSupprimerA la porte
RépondreSupprimerl'ombre frappe
l'entends-tu ?
Mystère toujours renouvelé d'une porte close
RépondreSupprimerBouche fermée, un peu pincée, les yeux, pourtant ouverts, attentifs, dissimulés derrière la barrière des cils, la maison veille ...
RépondreSupprimerJ'espère qu'elle ne me gardera pas rancœur de l'avoir personnifiée.
Des ombres chinoises
RépondreSupprimerToc, toc, tout n'est que spectacle
Entrée libre pour tous!
Bon jour, Pierre!
> Tilia, je ne pense jamais au "clic gauche "! Merci d'avoir exploré toutes les possibilités. Alors qu'on se le dise : cliquez, de droite et de gauche.
RépondreSupprimerCe qui permet d'observer de près ces ravissants télamons. De ne rien ajouter, de ne pas compléter, de ne pas faire du vrai-faux neuf,en un mot de nettoyer seulement a été le parti pris des restaurateurs. Et je trouve le travail admirable. Il laisse pour les parties manquantes tout loisir de rêver...
> Darthmagus, rêvons, par exemple, à ce petit jet d'eau qui animerait une vasque où viendra tout à l'heure s'abreuver une colombe...
> Nicolas Bleusher, le chiffre six, si l'on suit sa spirale de son dessin, symbolise la montée vers la lumière, mimant en cela la course apparente du soleil dans le ciel. C'est un nombre de la genèse qui ne peut qu'inciter à la création donc écriture.
> Mémoire du silence, j'entends comme un battement du coeur; l'émotion m'étreint. Mon impatience grandit de pousser la porte...
> Arlettart, la porte est restée telle avec son numéro dessiné à la main et souligné d'un trait blanc. Tout comme la peinture de la boiserie qui n'a pas été ravivée. Et telle qu'elle est, je l'aime cette porte en sa modeste apparence.
> Midolu, elle ne désire que vivre cette maison. D'ailleurs habitée, la rénovation s'étant déroulée en présence des habitants dans les lieux.
> Claudie, une façade est un décor. Elle affiche. Elle se montre. Elle symbolise