> Brigetoun, les reliefs presque intacts, la pierre fragile salie et effritée. Une lecture rendue difficile.
> Pat, une riche décoration; à comparer avec celle du cabinet de la maison de la Coquille et pour cela gagner la rue de la Pierre-percée, au n° 7 (ou bien la note du 14 mars dernier de ce blog : http://jeandler.blogspot.com/2011/03/cabinet.html).
> Maria-d, de nombreuses décorations dont la symbolique devrait nous renseigner sur le commanditaire. Ces lions, gueules ouvertes, ponctuant toute la longueur de la façade, ont quelque chose de triomphant ...
> Tilia, ce cartouche muet, l'inscription gommée, m'intrigue moi aussi. Rien n'en subsiste. Le sieur D'Alibert était de la religion réformée et c'est en sa maison que la première assemblée protestante s'est tenue en novembre 1564. C'est donc en quelque sorte la première mention d'un temple en cette ville.
> Midolu, une restauration modérée, des temps conservant traces de outrages. Sans vouloir,, à tout prix, reconstituer...
> Lautreje, faut-il voir en ce soleil qui occupe l'emplacement de la coquille de la maison de la Coquille, un symbole protestant, un symbole de vie ?
> Thierry, je ne suis Orléanais (en ce moment) que virtuellement. Quel dommage ! Je n'y serais au mieux que la semaine prochaine si nos projets ne sont pas contrariés.
C'est la tête en l'air Que riche d'infinis détails L'histoire se raconte
Reste pour les passionnés à peaufiner par de précieuses recherches dans les archives lorsque la pierre à elle seule, fatiguée et mal menée par le temps ne peut plus tout dire.
> Monique, elle est livre ouvert, la façade. Elle ne perd pas si facilement la mémoire. Mais avant tout, pour nous, qui aujourd'hui la regardons, elle est une oeuvre en soi par delà les aléas du temps.
> Araucaria, et elles sont restées si longtemps dans l'ombre !
> Maïté/Aliénor, recherche d'harmonie selon la règle d'or. Mais il faut parfois composer avec les constructions voisines. Et l'asymétrie parfois n'est pas sans charme.
Verlaine, en son Art poétique, nous le rappelle :
" De la musique avant toute chose, Et pour cela préfère l’Impair, Plus vague et plus soluble dans l’air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
d'autant que tous les reliefs étaient intacts semble-t-il
RépondreSupprimerDétails du temps ... beauté ...
RépondreSupprimerBouche ouverte
RépondreSupprimeryeux morcelés
sur le monde
Imperturbables, les lions rugissant
RépondreSupprimeret le silencieux serpent,
cartouche à blanc.
Une restauration réussie, qui a " nourri " la pierre dans la discrétion et le respect, sans lui ôter sa personnalité et les signes du temps.
RépondreSupprimerle soleil au centre
RépondreSupprimer> Brigetoun, les reliefs presque intacts, la pierre fragile salie et effritée. Une lecture rendue difficile.
RépondreSupprimer> Pat, une riche décoration; à comparer avec celle du cabinet de la maison de la Coquille et pour cela gagner la rue de la Pierre-percée, au n° 7 (ou bien la note du 14 mars dernier de ce blog : http://jeandler.blogspot.com/2011/03/cabinet.html).
> Maria-d, de nombreuses décorations dont la symbolique devrait nous renseigner sur le commanditaire. Ces lions, gueules ouvertes, ponctuant toute la longueur de la façade, ont quelque chose de triomphant ...
> Tilia, ce cartouche muet, l'inscription gommée, m'intrigue moi aussi. Rien n'en subsiste. Le sieur D'Alibert était de la religion réformée et c'est en sa maison que la première assemblée protestante s'est tenue en novembre 1564. C'est donc en quelque sorte la première mention d'un temple en cette ville.
> Midolu, une restauration modérée, des temps conservant traces de outrages. Sans vouloir,, à tout prix, reconstituer...
> Lautreje, faut-il voir en ce soleil qui occupe l'emplacement de la coquille de la maison de la Coquille, un symbole protestant, un symbole de vie ?
Ni de toilette, ni d'architecte, ni de réflexion, ni d'expérience il est solaire et la roue tourne
RépondreSupprimerPierre je viens sur Orléans, je ne sais pas s'il est possible de se voir, tu connais mon mail et peux me joindre
Thierry
> Thierry, je ne suis Orléanais (en ce moment) que virtuellement. Quel dommage ! Je n'y serais au mieux que la semaine prochaine si nos projets ne sont pas contrariés.
RépondreSupprimerC'est la tête en l'air
RépondreSupprimerQue riche d'infinis détails
L'histoire se raconte
Reste pour les passionnés à peaufiner par de précieuses recherches dans les archives lorsque la pierre à elle seule, fatiguée et mal menée par le temps ne peut plus tout dire.
Encore une magnifique architecture. Cette collection de façades est somptueuse.
RépondreSupprimerMerci Jeandler.
Bel après-midi.
> Monique, elle est livre ouvert, la façade. Elle ne perd pas si facilement la mémoire. Mais avant tout, pour nous, qui aujourd'hui la regardons, elle est une oeuvre en soi par delà les aléas du temps.
RépondreSupprimer> Araucaria, et elles sont restées si longtemps dans l'ombre !
Un bel équilibre dans les ouvertures et les sculptures.
RépondreSupprimer> Maïté/Aliénor, recherche d'harmonie selon la règle d'or. Mais il faut parfois composer avec les constructions voisines. Et l'asymétrie parfois n'est pas sans charme.
RépondreSupprimerVerlaine, en son Art poétique, nous le rappelle :
" De la musique avant toute chose,
Et pour cela préfère l’Impair,
Plus vague et plus soluble dans l’air,
Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.