> Brigetoun, l'angle de prise de vue la rend altière mais il y a foncièrement quelque chose de cela en elle. Les colonnes, les pilastres (de divers ordres) lui donnent des allures de palais.
> Arlettart, une façade princière. La bourgeoisie conquérante de cette époque. La réussite dans le négoce (Orléans à égale distance entre Nantes et Marseille et le Levant)donne des ailes (d'aigle). A cette époque, la Loire était une voie de passage très active et le port d'Orléans ravitaillait Paris
La décoration est partout. L'étroitesse (relative) des ouvertures laisse la place à la pierre et au " support " pour enrichir la décoration et permettre à la maison (à son propriétaire) de s'afficher.
Et le ciel bleu s'invite chez la belle bourgeoise orléanaise. Il y a donc aussi à Orléans de ces maisons à 3 étages au moins où chaque niveau avait son affectation, jusqu'au dernier réservé aux "gens de maison"
Petit à petit la façade offre son visage et se laisse voir dans ses moindres rides, dévoilant ainsi son identité et son grand âge dans ses coquetteries.
> Midolu, ces petites ouvertures n'éclairent que l'escalier...
> Maïté, précisément, et nous le verrons prochainement, ce troisième étage (les combles) a subi de notables médifications comme la toiture et ses lucarnes le prouvent. A cette époque, la notion de gens de maison n'avait pas encore la signification que le XIXè siècle lui donnera.
> Monique, j'ai voulu effectivement faire découvrir cette façade en son entier développement vertical. Il y a tant à y découvrir.
> Anonyme, c'est l'architecte de l'époque qu'il faut admirer en cette oeuvre somme toute assez modeste en regard des châteaux (de Loire) qui commençaient à s'élever dans les alentours.
description parfaite - notabilité proclamée (et l'angle de vue la rend impériale)
RépondreSupprimerUn peu trop "affichée"
RépondreSupprimer> Brigetoun, l'angle de prise de vue la rend altière mais il y a foncièrement quelque chose de cela en elle. Les colonnes, les pilastres (de divers ordres) lui donnent des allures de palais.
RépondreSupprimer> Arlettart, une façade princière. La bourgeoisie conquérante de cette époque. La réussite dans le négoce (Orléans à égale distance entre Nantes et Marseille et le Levant)donne des ailes (d'aigle). A cette époque, la Loire était une voie de passage très active et le port d'Orléans ravitaillait Paris
La décoration est partout.
RépondreSupprimerL'étroitesse (relative) des ouvertures laisse la place à la pierre et au " support " pour enrichir la décoration et permettre à la maison (à son propriétaire) de s'afficher.
Et le ciel bleu s'invite chez la belle bourgeoise orléanaise.
RépondreSupprimerIl y a donc aussi à Orléans de ces maisons à 3 étages au moins où chaque niveau avait son affectation, jusqu'au dernier réservé aux "gens de maison"
Petit à petit la façade offre son visage et se laisse voir dans ses moindres rides, dévoilant ainsi son identité et son grand âge dans ses coquetteries.
RépondreSupprimeréquilibre, harmonie, élancement
RépondreSupprimernul n'est devin en son pays, mis c'est divin !
> Midolu, ces petites ouvertures n'éclairent que l'escalier...
RépondreSupprimer> Maïté, précisément, et nous le verrons prochainement, ce troisième étage (les combles) a subi de notables médifications comme la toiture et ses lucarnes le prouvent. A cette époque, la notion de gens de maison n'avait pas encore la signification que le XIXè siècle lui donnera.
> Monique, j'ai voulu effectivement faire découvrir cette façade en son entier développement vertical. Il y a tant à y découvrir.
> Anonyme, c'est l'architecte de l'époque qu'il faut admirer en cette oeuvre somme toute assez modeste en regard des châteaux (de Loire) qui commençaient à s'élever dans les alentours.