> Brigetoun, des boutiques à la mode de ce temps. Un des représentants de la famille Androuet (du Cerceau), pas moins, en serait le Mître d'oeuvre.
> Pat, il faut choisir et l'angle et l'heure pour la prise de vue. Vers les trois heures de l'après-midi, en août, le soleil passant déjà à l'ouest. Un moment qui me convient. Mais j'aime aussi la lumière du matin, en réflexion, sur ces façades...
> Michel, la Pucelle elle est passée devant. Les a-t-elle contemplé ? En eût-elle le loisir ? C'est une autre histoire.
> Maria-d, il fait un beau soleil, l'été jetant son dernier sourire. Sans aucun danger tu t'y proméneras, la place etant piétonne; on va, on vient, on prend un pot, on fait des photos, on y fait également ses courses, l'endroit de tout temps dévolu aux halles! et le mercredi après-midi, un petit marché paysan...
Un même plan pour ces maisons, le côté pratique avant tout, mais sans oublier les marques de richesse, de prestige qui, aussi, " posent son homme " ...
> Midolu, je pense que ces façades ont, à la Renaissance, remplacé les façades à colombages médiévales de ces mêmes logis, soit qu'elles étaient devenues vétustes soit que les maîtres de céans aient désiré se mettre à la mode. Une question de prestige.
> Gérard, l'heure de la sieste, la rue apaisée, les persiennes fermées.
d'arc en arc rebondissant,
RépondreSupprimerforce et parure de la cité,
la richesse des marchands,
le labeur
Allées
RépondreSupprimerLe soleil se balade
Ombrage du temps
D'arc en arc, on pense à Jehanne.
RépondreSupprimerAh ! le brouillard s'est levé
RépondreSupprimeret dans la rue je marche tranquille
entre ombre et lumière sur le pavé
> Brigetoun, des boutiques à la mode de ce temps. Un des représentants de la famille Androuet (du Cerceau), pas moins, en serait le Mître d'oeuvre.
RépondreSupprimer> Pat, il faut choisir et l'angle et l'heure pour la prise de vue. Vers les trois heures de l'après-midi, en août, le soleil passant déjà à l'ouest. Un moment qui me convient. Mais j'aime aussi la lumière du matin, en réflexion, sur ces façades...
> Michel, la Pucelle elle est passée devant. Les a-t-elle contemplé ? En eût-elle le loisir ? C'est une autre histoire.
> Maria-d, il fait un beau soleil, l'été jetant son dernier sourire. Sans aucun danger tu t'y proméneras, la place etant piétonne; on va, on vient, on prend un pot, on fait des photos, on y fait également ses courses, l'endroit de tout temps dévolu aux halles! et le mercredi après-midi, un petit marché paysan...
Flâner sur la place
RépondreSupprimerAu passé rasséréné
Un livre de pierre
Ces arbres ont l'air bien jeunots. Est-ce pour mieux les séduire que ces vieilles demeures se sont fait ravaler la façade ?
RépondreSupprimerUn superbe patrimoine !
RépondreSupprimerOn ferme les yeux et on imagine...
> Monique, par l'effet d'une baguette magique, le passé retrouvé.
RépondreSupprimer> Tilia, de très jeunes arbres. Y en avait-il par le passé ?
> Cocole, une histoire des rues à réécrire.
Un même plan pour ces maisons, le côté pratique avant tout, mais sans oublier les marques de richesse, de prestige qui, aussi, " posent son homme " ...
RépondreSupprimerla rue endormie par le soleil éclatant
RépondreSupprimer> Midolu, je pense que ces façades ont, à la Renaissance, remplacé les façades à colombages médiévales de ces mêmes logis, soit qu'elles étaient devenues vétustes soit que les maîtres de céans aient désiré se mettre à la mode. Une question de prestige.
RépondreSupprimer> Gérard, l'heure de la sieste, la rue apaisée, les persiennes fermées.