Exactement la surface d'une tombe. Je sais, ce n'est pas drôle, mais c'est à ça que j'ai pensé tout de suite ! Et puis, « Soleil déclinant cheminement dans l'herbe vers la nuit allant » n'est-ce pas une métaphore de la vieillesse ?
> Michel, je ferais mienne cette affirmation de Cartier-Bresson relevée dans " L'instant décisif " : " Je n'ai aucun message à délivrer, rien à prouver, voir et sentir et c'est l'oeil surpris qui décide " Ce rayon de soleil tel ma surprise native.
> Thierry, au pied du cerisier, tout au plus mon chat en sa demeure.
> Monie, l'encadrement d'une porte dessinée, un clin d'oeil, y a quelqu'un ? Et ce n'est pas un haïku bien que la vision soit fugitive !
> Brigetoun, être en phase, ne coupez pas ! disait-on à la dame du téléphone au temps jadis. La Voix humaine, Poulenc l'a merveilleusement accompagnée en musique.
> Enitram, et comme toute chose, ne dure pas longtemps.
> Tilia, le phénomène est observable juste avant ou après le coucher du soleil, le rouge virant au vert. Un effet d'optique que l'on peut aisément reproduire en fixant une surface rouge bien éclairée et en fermant aussitôt les yeux. Tout n'est qu'illusion et nous fait rêver. Jules Vernes en a fait un roman. Ici, j'ai pris une liberté encore plus grande avec cette image.
> Christineeeee, Eric Rohmer, dans son film éponyme, a filmé le phénomène. Une belle fin. La lumière rasante caresse l'herbe et la fait frissonner. Biseeeeeees à toi.
Dans cette levée de gazon j'ai vu monter un cadre surligné de tous les artifices du jour est il nécessaire que nous rasions ce qui n'est pas un édicule
Le moment de la journée où la lumière est si belle, où tout est magnifié...et la nuit est encore loin ! Profitons des derniers rayons...assis dans l'herbe...verte ! Bonne soirée et merci pour tes mots
Exactement la surface d'une tombe.
RépondreSupprimerJe sais, ce n'est pas drôle, mais c'est à ça que j'ai pensé tout de suite !
Et puis, « Soleil déclinant cheminement dans l'herbe vers la nuit allant » n'est-ce pas une métaphore de la vieillesse ?
In the green grave
RépondreSupprimerwere are buried our brave
sound an astonisihing wave
Serait-ce par l'entrebaillement d'une porte que le soleil est entré?
RépondreSupprimerLe soleil entrant
Déclinaison subtile
Entrebaillement
(C'est un petit haïku). Amitiés
la connexion m'avait fuit pendant que je contemplais cela
RépondreSupprimerporte dessinée
en lumière filtrante,
allongée, invitation,
flèche dans la nuit
Superbe !
RépondreSupprimerSi ma mémoire est bonne, le rayon vert se produirait au couchant. Et pourquoi pas au levant ?...
RépondreSupprimerBien rare sont ceux qui ont vu le rayon vert...
RépondreSupprimerMais celui-ci invite à suivre cette belle lumière qui s'insinue à travers les herbes vertes !
Biseeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeee
> Michel, je ferais mienne cette affirmation de Cartier-Bresson relevée dans " L'instant décisif " :
RépondreSupprimer" Je n'ai aucun message à délivrer, rien à prouver, voir et sentir et c'est l'oeil surpris qui décide "
Ce rayon de soleil tel ma surprise native.
> Thierry, au pied du cerisier, tout au plus mon chat en sa demeure.
> Monie, l'encadrement d'une porte dessinée, un clin d'oeil, y a quelqu'un ?
Et ce n'est pas un haïku bien que la vision soit fugitive !
> Brigetoun, être en phase, ne coupez pas ! disait-on à la dame du téléphone au temps jadis. La Voix humaine, Poulenc l'a merveilleusement accompagnée en musique.
> Enitram, et comme toute chose, ne dure pas longtemps.
> Tilia, le phénomène est observable juste avant ou après le coucher du soleil, le rouge virant au vert. Un effet d'optique que l'on peut aisément reproduire en fixant une surface rouge bien éclairée et en fermant aussitôt les yeux. Tout n'est qu'illusion et nous fait rêver. Jules Vernes en a fait un roman. Ici, j'ai pris une liberté encore plus grande avec cette image.
> Christineeeee, Eric Rohmer, dans son film éponyme, a filmé le phénomène. Une belle fin.
RépondreSupprimerLa lumière rasante caresse l'herbe et la fait frissonner.
Biseeeeeees à toi.
> venant de chez Maria,
RépondreSupprimerhttp://archivesdatelier.over-blog.com/ext/http://memoiredusilenceblogspotcom.blogspot.com/
la porte ouverte
sur le chemin de l'ange
la lumière répandue
> un soir,
RépondreSupprimern'avait-il pas dit
qu'il viendrait ?
Par des chemins de traverse
RépondreSupprimerje suis arrivée à ce bandeau lumineux
qui m'était obscur à première vue.
Beau, très beau... j'aime ces instants éphémères qui traversent les jardins.
Bonne soirée Pierre
Dans cette levée de gazon
RépondreSupprimerj'ai vu monter un cadre surligné
de tous les artifices du jour
est il nécessaire que nous rasions
ce qui n'est pas un édicule
c'est simple et pourtant si beau !
RépondreSupprimerc'est comme une fenetre qui s'ouvre ...
Le gazon n'est pas toujours maudit ais chargé de vert espoir.
RépondreSupprimerSoleil malicieux
RépondreSupprimerUn passage entre les ombres
La voie s'est ouverte
> Mémoire du silence, tel le rayon vert
RépondreSupprimerà saisir à l'instant
un moment de grâce.
> Thierry, contrairement à ce que l'on prête à Attila,
l'herbe obstinée
repousse toujours.
> Gérard, ni gazon ni pré, un jardin ensauvagé. A défaut d'un mouton, une tonte de temps à autre. Le soleil en liberté pour les cabrioles.
> Monique, l'ombre gagne,
quelques minutes encore
l'ombre triomphante.
Vers la source du silence ... la lumiére ...
RépondreSupprimerUn clair de fenêtre ouvert sur la terre ...
RépondreSupprimerc'est une belle lumière Jeandler, merci
RépondreSupprimerPorte étroite .....
RépondreSupprimerHeureux celui qui passe
> Pat, la source est silencieuse, un murmure dans l'herbe.
RépondreSupprimer> Midolu, la fenêtre ouverte, en attente du clair de lune.
> brigitte, lumière du matin, lumière du soir, les deux moments essentiels d'une journée.
> Arlettart, une référence très ... gidienne.
Telle une ombre errante
RépondreSupprimerla lumière se déploie
un court instant
vers un ailleurs
un lointain si proche.
Par la porte basse il faut être averti pour en franchir le seuil, vers un monde de lumière qui sourit aux initiés (pas seulement à la base)
RépondreSupprimer> Thierry, un passage initiatique
RépondreSupprimermontée vers la lumière
Mozart en accompagnement
sur un air de flûte.
Le moment de la journée où la lumière est si belle, où tout est magnifié...et la nuit est encore loin !
RépondreSupprimerProfitons des derniers rayons...assis dans l'herbe...verte !
Bonne soirée et merci pour tes mots
> Mireille, le moment rêvé pour le photographe, la lumière apaisée, les ombres étirées.
RépondreSupprimerTapis de lumière,
RépondreSupprimerProfiter encore...juste un peu !