vendredi 8 avril 2011

embouchure


Jeux d'ombres sur le môle
une vigie  au port
la rambarde protectrice


22 commentaires:

  1. l'eau en mouvance secrète
    la lumière et les ombres
    dessinent du monde
    la géométrie

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  2. Serions-nous comme ces plots de béton, enchaînés d'un métal et ne rêvant que d'appareillages ?

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  3. Courbes de lumière
    Le temps passe son chemin
    poésie

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  4. Un chemin doux son cours
    Parfois son agité
    Et lui
    Reste planté là
    Immuable son être

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  5. La vigie est absente...

    Je n'accède plus à aucune de tes photos

    Il fait beau, beau jour à toi

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  6. Sur les quais de la Loire
    Je suis la courbe nostalgique
    Agrippée à la rambarde
    Pour ralentir le temps
    Celui où j'aime m'attarder
    Qui parle de mes jeunes amours
    Perdus dans le courant des eaux
    Et dont le souvenir encore
    Glisse au fil de l'eau
    Le coeur suspendu
    Aux voiles d'une gabare

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  7. Jeux d'ombres et de lumières, un monde infini pour les photographes, en perpétuelle mouvance...
    Beau week-end ensoleillé !

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  8. Anche mal embouchée
    ancre âge en partage
    des plots et pas des bittes
    qui rythment et débitent
    selon les pas les rives
    et puis une vision
    comme depuis un promontoire
    qui rend presque barde
    dans le tumulte des mélanges

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  9. Embout sûr
    en bout d'azur
    une proue sans figure
    et des remous qui durent

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  10. Un jour la Terre était ronde
    maintenant elle est
    une pomme-de-terre
    Et le mole, Pierre,
    c’est il rond?

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  11. Magie et quiétude de l'instant... Magnifique arbre ancré là et le ciel bleu se reflète sur l'eau. N'y-a-t-il pas un bâteau en contrebas, on voit le haut de son mât.

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  12. L'arbre en majesté s'enracine dans le ciel

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  13. Je la trouve provocante cette rambarde ! par défi je l'enjamberais !

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  14. La rambarde protectrice peut s'effondrer ...

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  15. > Mes commentaires se sont dissous et disparus... Sur Blogger ou sur Le Monde, ce n'est pas mieux. demain matin aurais-je le courage de reprendre la plume ?

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  16. > Brigitte, de bon matin, aurais-je plus de chance ? Les lignes dessinent la limite entre l'élément terre et l'élément eau. Une frontière entre deux mondes.

    > Michel, embarquement sans retard, larguer les amarres, hisser la voile. Celui qui part pense-t-il au retour ?

    > Pat, le temps à cloche-pied, des notes égrenées, sans hésiter.

    > Annick, l'arbre comme un amer, à la pointe des terres, un repère dans les tempêtes.

    > Maria, l'image fugitive, Arlésienne sur les bords de Loire.

    > Monique, c'est ici que le Canal dit d'Orléans, s'ouvre vers la Loire, une dernière écluse dont les portes ne s'ouvrent plus, retenant l'eau.

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  17. Messages partis et arrivés à bon port. Poursuivons donc pour une seconde tentative

    > Naline, ombres projetées, premiers rayons d'un soleil printanier, un peu pâle mais j'aime cette lumière si douce.

    > Thierry, nous nous retrouvons au port. Face à la maison de l'éclusier vient t'asseoir un instant à la terrasse de la Marine pour le verre de l'amitié.
    Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
    On pouvait dire... Oh ! Dieu !... Bien des choses en somme.
    En variant le ton, -par exemple, tenez :
    Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez
    Il faudrait sur-le-champ que je l'amputasse !"
    Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse :
    Pour boire, faites-vous fabriquer un Hanape !"
    Descriptif : "C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!...
    Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!"
    (Cyrano)

    > Neyde, tout en courbe sans pour autant être rond, le haut mur du môle...

    > Lautreje, si je me souviens bien, deux lignes parallèles ne se rejoignent qu'à l'infini. Prolongeons nos rêves jusque là.

    > Philoplume, de cet arbre, cet hiver, j'avais photographié son ombre projettée par un soleil maigrichon. Sa ramure à ses pieds comme une image de ses racines ancrées dans le sol.

    > Tilia, dans la terre comme au ciel. Un fanal au port.

    > Ulysse, bien imprudent celui qui l'enjambe et risque la chute dans l'eau. Il est vrai que tu es du genre téméraire: alors pour un petit coup d'oeil... voire une photo des barques amarrées à son pied.

    > Ariaga, je l'ai toujours connue cette rambarde et elle est faite pour résister aux siècles.

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  18. Sentinelle vigilante, surveillant les plaisants jeux de courbes entre la lice et le cours d'eau ...

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  19. > Midolu, jeux changeant tout au long du jour...

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  20. Je joue l'équilibriste, arriverai-je au bout de la rembarde ?

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  21. > Enitram, les enfants ne s'en privent pas, les bras tendus à l'horizontale...

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