Sur les quais de la Loire Je suis la courbe nostalgique Agrippée à la rambarde Pour ralentir le temps Celui où j'aime m'attarder Qui parle de mes jeunes amours Perdus dans le courant des eaux Et dont le souvenir encore Glisse au fil de l'eau Le coeur suspendu Aux voiles d'une gabare
Anche mal embouchée ancre âge en partage des plots et pas des bittes qui rythment et débitent selon les pas les rives et puis une vision comme depuis un promontoire qui rend presque barde dans le tumulte des mélanges
Magie et quiétude de l'instant... Magnifique arbre ancré là et le ciel bleu se reflète sur l'eau. N'y-a-t-il pas un bâteau en contrebas, on voit le haut de son mât.
> Mes commentaires se sont dissous et disparus... Sur Blogger ou sur Le Monde, ce n'est pas mieux. demain matin aurais-je le courage de reprendre la plume ?
> Brigitte, de bon matin, aurais-je plus de chance ? Les lignes dessinent la limite entre l'élément terre et l'élément eau. Une frontière entre deux mondes.
> Michel, embarquement sans retard, larguer les amarres, hisser la voile. Celui qui part pense-t-il au retour ?
> Pat, le temps à cloche-pied, des notes égrenées, sans hésiter.
> Annick, l'arbre comme un amer, à la pointe des terres, un repère dans les tempêtes.
> Maria, l'image fugitive, Arlésienne sur les bords de Loire.
> Monique, c'est ici que le Canal dit d'Orléans, s'ouvre vers la Loire, une dernière écluse dont les portes ne s'ouvrent plus, retenant l'eau.
Messages partis et arrivés à bon port. Poursuivons donc pour une seconde tentative
> Naline, ombres projetées, premiers rayons d'un soleil printanier, un peu pâle mais j'aime cette lumière si douce.
> Thierry, nous nous retrouvons au port. Face à la maison de l'éclusier vient t'asseoir un instant à la terrasse de la Marine pour le verre de l'amitié. Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire... Oh ! Dieu !... Bien des choses en somme. En variant le ton, -par exemple, tenez : Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez Il faudrait sur-le-champ que je l'amputasse !" Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse : Pour boire, faites-vous fabriquer un Hanape !" Descriptif : "C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!... Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!" (Cyrano)
> Neyde, tout en courbe sans pour autant être rond, le haut mur du môle...
> Lautreje, si je me souviens bien, deux lignes parallèles ne se rejoignent qu'à l'infini. Prolongeons nos rêves jusque là.
> Philoplume, de cet arbre, cet hiver, j'avais photographié son ombre projettée par un soleil maigrichon. Sa ramure à ses pieds comme une image de ses racines ancrées dans le sol.
> Tilia, dans la terre comme au ciel. Un fanal au port.
> Ulysse, bien imprudent celui qui l'enjambe et risque la chute dans l'eau. Il est vrai que tu es du genre téméraire: alors pour un petit coup d'oeil... voire une photo des barques amarrées à son pied.
> Ariaga, je l'ai toujours connue cette rambarde et elle est faite pour résister aux siècles.
l'eau en mouvance secrète
RépondreSupprimerla lumière et les ombres
dessinent du monde
la géométrie
Serions-nous comme ces plots de béton, enchaînés d'un métal et ne rêvant que d'appareillages ?
RépondreSupprimerCourbes de lumière
RépondreSupprimerLe temps passe son chemin
poésie
Un chemin doux son cours
RépondreSupprimerParfois son agité
Et lui
Reste planté là
Immuable son être
La vigie est absente...
RépondreSupprimerJe n'accède plus à aucune de tes photos
Il fait beau, beau jour à toi
Sur les quais de la Loire
RépondreSupprimerJe suis la courbe nostalgique
Agrippée à la rambarde
Pour ralentir le temps
Celui où j'aime m'attarder
Qui parle de mes jeunes amours
Perdus dans le courant des eaux
Et dont le souvenir encore
Glisse au fil de l'eau
Le coeur suspendu
Aux voiles d'une gabare
Jeux d'ombres et de lumières, un monde infini pour les photographes, en perpétuelle mouvance...
RépondreSupprimerBeau week-end ensoleillé !
Anche mal embouchée
RépondreSupprimerancre âge en partage
des plots et pas des bittes
qui rythment et débitent
selon les pas les rives
et puis une vision
comme depuis un promontoire
qui rend presque barde
dans le tumulte des mélanges
Embout sûr
RépondreSupprimeren bout d'azur
une proue sans figure
et des remous qui durent
Un jour la Terre était ronde
RépondreSupprimermaintenant elle est
une pomme-de-terre
Et le mole, Pierre,
c’est il rond?
douceur de la ligne
RépondreSupprimerMagie et quiétude de l'instant... Magnifique arbre ancré là et le ciel bleu se reflète sur l'eau. N'y-a-t-il pas un bâteau en contrebas, on voit le haut de son mât.
RépondreSupprimerL'arbre en majesté s'enracine dans le ciel
RépondreSupprimerJe la trouve provocante cette rambarde ! par défi je l'enjamberais !
RépondreSupprimerLa rambarde protectrice peut s'effondrer ...
RépondreSupprimer> Mes commentaires se sont dissous et disparus... Sur Blogger ou sur Le Monde, ce n'est pas mieux. demain matin aurais-je le courage de reprendre la plume ?
RépondreSupprimer> Brigitte, de bon matin, aurais-je plus de chance ? Les lignes dessinent la limite entre l'élément terre et l'élément eau. Une frontière entre deux mondes.
RépondreSupprimer> Michel, embarquement sans retard, larguer les amarres, hisser la voile. Celui qui part pense-t-il au retour ?
> Pat, le temps à cloche-pied, des notes égrenées, sans hésiter.
> Annick, l'arbre comme un amer, à la pointe des terres, un repère dans les tempêtes.
> Maria, l'image fugitive, Arlésienne sur les bords de Loire.
> Monique, c'est ici que le Canal dit d'Orléans, s'ouvre vers la Loire, une dernière écluse dont les portes ne s'ouvrent plus, retenant l'eau.
Messages partis et arrivés à bon port. Poursuivons donc pour une seconde tentative
RépondreSupprimer> Naline, ombres projetées, premiers rayons d'un soleil printanier, un peu pâle mais j'aime cette lumière si douce.
> Thierry, nous nous retrouvons au port. Face à la maison de l'éclusier vient t'asseoir un instant à la terrasse de la Marine pour le verre de l'amitié.
Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... Bien des choses en somme.
En variant le ton, -par exemple, tenez :
Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez
Il faudrait sur-le-champ que je l'amputasse !"
Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un Hanape !"
Descriptif : "C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!...
Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!"
(Cyrano)
> Neyde, tout en courbe sans pour autant être rond, le haut mur du môle...
> Lautreje, si je me souviens bien, deux lignes parallèles ne se rejoignent qu'à l'infini. Prolongeons nos rêves jusque là.
> Philoplume, de cet arbre, cet hiver, j'avais photographié son ombre projettée par un soleil maigrichon. Sa ramure à ses pieds comme une image de ses racines ancrées dans le sol.
> Tilia, dans la terre comme au ciel. Un fanal au port.
> Ulysse, bien imprudent celui qui l'enjambe et risque la chute dans l'eau. Il est vrai que tu es du genre téméraire: alors pour un petit coup d'oeil... voire une photo des barques amarrées à son pied.
> Ariaga, je l'ai toujours connue cette rambarde et elle est faite pour résister aux siècles.
Sentinelle vigilante, surveillant les plaisants jeux de courbes entre la lice et le cours d'eau ...
RépondreSupprimer> Midolu, jeux changeant tout au long du jour...
RépondreSupprimerJe joue l'équilibriste, arriverai-je au bout de la rembarde ?
RépondreSupprimer> Enitram, les enfants ne s'en privent pas, les bras tendus à l'horizontale...
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