Ce mot est un virage sur la rive de la vie et comme il se déploie et pas en enfant sage qui guide et explicite ce que sont nos envies qui aide,conduit pour avancer et tourner la page qui rempare et accoste, bordure et poste alors que vigie mais pas tapi dans l'ombre la certitude flotte dans le matin incertain et que l'air chargé nous donne des nausées
Solarisation pour éviter d'être scolaire pas de sédentarisation dans ces irisations une trempe forte et des contrastes accentués il faut bien accepter la puissance des blancs démons du mélange des couleurs
"Rêveur de ciel, de feu, de mer. (...) un rêveur de mots, un rêveur de mots écrits. Je crois lire. Un mot m'arrête. Je quitte la page ." Bachelard / La Poétique de la rêverie ... p.15
mot de passe, vous n'allez pas le croire "crevist", non mais ça ne va pas, pourquoi pas "crever" tant qu'ils y sont, j'aurais préféré aussi "écrevisse" pour rouge écrevisse !!!
@ Mathilde comme je vous comprend ces mots de passe sont si surprenants parfois et presque de circonstance on aurait presque envie de les relever et d'en faire un bestiaire avec nos propres commentaires notre réactivité au sésame nous donne de la graine à moudre
Merci cher ami Pierre j'ai rendu hommage appuyé à Marie Curie cette semaine et tu te doutes bien du pourquoi
" Sans prendre garde à l’ouragan " Qui fouettait mes vitres fermées, " Moi, j’ai fait Émaux et Camées. "
> Bruno, à l'aube de nos rêves, un nouveau temps se lève.
> Thierry, un virage, en faisant tout pour qu'il ne devienne un mirage...
> Thierry, d'une eau forte, les couleurs mangées, dessinant de vagues silhouettes familières.
> Tilia, pas tout à fait une inversion, ni un décalque, tel le rêve nocturne n'est réel. Le songe d'une nuit lunaire...
> Maria, plus proche de la gravure que de la photographie, sans doute. Une image qui accepte sans broncher les mots de Bachelard... " Les rêves et les rêveries, les songes et les songeries, les souvenirs et la souvenance, autant d'indices d'un besoin de mettre au féminin tout ce qu'il y a d'enveloppant et de doux par delà les désignations trop simplement masculines de nos états d'âme. " Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie
> Arlettart, le monde flottant, un des thèmes de l'ukiyo-e, l'estampe japonaise, où la seule certitude réside dans l'impermanence des choses.
> Nina, le rêve comme un reste de verdure d'un souvenir d'automne.
> Thierry, quand l'aube blanchit, un frémissement sur l'eau, le cri étranglé du râle d'eau s'éveillant dans les roseaux.
> Mathilde, je m'éclate, je me gorge de couleurs tant l'hiver qui dure est gris et sale.
> Mathilde, rien ne m'agace plus que ces mots de passe...
> Araucaria, tu passes comme en un rêve déposant ton mot sur le rivage.
> Thierry, merci de cette passe avec Mathilde sur les mots de passe, des mots borgnes, pas très catholiques d'où l'orthodoxie lexicographique semble bannie à jamais, une machine choisissant des lettres (ou des chiffres), sorte de loto où l'on ne gagne rien qu'à se tromper à les recopiant de travers.
> Tanette, vous avez dit magique ? Comme c'est magique, en effet. Un mot de passe.
> Midolu, le feu et la glace comme dans l'omelette norvégienne. Ni inversion, ni solarisation, un mélange de ma composition.
> Monie, un paysage dans la clarté d'un rêve boréal.
"Le lac aux eaux dormantes est le symbole de ce sommeil total, de ce sommeil dont on ne veut pas se réveiller, de ce sommeil gardé par l'amour des vivants, bercé par les litanies du souvenir."
Eau forte qui attaque l'esprit et corrode les sens, dans cette empreinte là qui surjoue les contrastes il y a de la matière brute pour laisse prix jamais en repos, mais si le songe nous ronge peut être en est ce l'explication , il nous demande totale implication et nous remet en cause, déplace les lignes et se joue de notre gravité, il nous entraîne en dehors de nous même et là où il séme sa graine il y a découvrir des pistes nouvelles dans notre représentation du monde.
Merci ami Pierre de ces morceaux choisis, qui dès l'aube travaillent sans tarauder, consciences à peine sorties de la nuit
Le blanc diffuse la lumière, effet de projecteur sur la beauté du monde. Sans artifice,c'est une splendeur, est-il besoin de vouloir atteindre le pays des songes, lorsqu'autant de merveilles s'offrent à nos yeux là où le réel et l'irréel semblent se confondre.
Que fleurissent à Bagatelle Les roses de poudre et frimas, Mais que fleurissent surtout celles Que l’on aime jusqu’au trépas.
Robert Desnos, Bagatelles
> Mémoire du silence, de Bachelard on ne se lasse pas et on y revient comme à une source de vie. " Toute prise de conscience est un accroissement de conscience, une augmentation de lumière, un renforcement de cohérence psychique. " (Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie)
> Thierry, lumière des arbres radiographiés, émanant des arbres, transparents, dans toute leur pureté d'être.
> Christineeeee, dans le froid de l'hiver, les arbres ne frissonnent pas, endurcis qu'ils sont dans leur carapace. Ils brûlent de l'intérieur.
> Saravati, une danse des spectres, danse sauvage, incantatoire, aux frontières de l'invisible, là où résonnent, disait Victor Hugo, les échos de la " bouche d'ombre ".
> Monique, point de rencontre de l'obscur et de la clarté, en nous, ce que l'on nomme " inconscient "?
> Danièle, le blanc évoque la vacuité. L'hiver, cette saison que l'on dit morte, une saison vide.
Je ne suis plus très sûr de ce que je vois et mes sens me trahissent, enfin ils n'obéissent pas aveuglément à l'idée que je me fais des choses; Relisant des bouts de Bergson ces temps ci sous l'impulsion de mon fils, le doute m'envahit et je ne m'enhardis pas à interprêter plus avant ce que je crois discerner ou cerner tout court, c'est que les nuits blanches et les petits matins gris où l'on ne fait pas le malin sont des puissants freins à une imagination trop débordante, certes sans être épileptique on peut voir les couleurs baver, les zones se recouvrir et trouver à la fusion générale un maigre réconfort en comparaison de l'infusion qui nous attend.
En sophrologue patenté, mais presque, et avec le peu de mémoire photographique qu'il me reste je serais tenté d'évoquer le négatif et son sous tirage, pour les sous titres sans être gros ils ont parfois les vertus d'une loupe. Alors ce sophro déplacement du négatif voudrait il dire qu'en matière de droit de tirage rien n'est blanc ni noir mais qu'il faut toujours relativiser, dans une position inversée, nous refaisons le monde, duu moins vient il à nous incontinent et différent et dans ce surcroit de couleurs nous cherchons encore plus à traquer les ombres.
Y a t il déplacement du sens dans ce déphasement ? Les lignes se fusionnent, les limites s'abolissent, rien qui totalement n'aboutisse où sont les paneresses qui pourraient tenir l'ensemble ?
> En quelques minutes, tu nous offres Thierry, une réflexion matinale et néanmoins approfondie , fruit d'une nuit que j'espère avoir été paisible malgré ces arbres fantômatiques comme passés un peu trop longtemps à l'hypochlorite ou soufrant des ces pluies acides dont on parle tant. L'oeil ne voit bien que ce qu'il imagine. La vision souvent tient plus de la prévision sinon de l'illusion que d'une réalité toujours fuyante tant le désir qu'on a de voir les choses telles qu'on les désire. " La réalité - affirme Fuentes - est un flux de formes en perpétuelle transformation " ce que Héraclite déjà avait remarqué. " Tout est possible - ajoute Fuentes - Rien ne doit être négligé. Rien n'est incroyable. Rien n'est impossible ". (in Cervantès ou la critique de la lecture)
Oh mon cher Pierre merci de tes commentaires éclairés, tu sais que je suis est reste basique, terrien, j'ai un signe de terre très fort (vierge ascendant vierge) et de ce point de vue là j'ai la tête en bois (pas à la manière d'albert Raisner qui vient de nous quitter) Mes réflexions sont le fruit d'une période de trouble immense et de malaise aussi, mes nuits d'insomnie me regardent et me parlent , après je viens vers vous et j'essaie de traduire ce que j'ai ressenti.
> Thierry, et moi qui croyais que c'était seulement à l'âge tendre que l'on avait une tête de bois ! Donc pas de nuit paisible, hélas, mais qui ne trouble pas pour autant la clarté de l'esprit... A demain matin, donc, pour cueillir le fruit de tes pensées nocturnes.
rêve ciselé
RépondreSupprimerun camée
raffinement
Miroir de nos rêves
RépondreSupprimersensualité du temps
aurore
Ce mot est un virage sur la rive de la vie
RépondreSupprimeret comme il se déploie et pas en enfant sage
qui guide et explicite ce que sont nos envies
qui aide,conduit pour avancer et tourner la page
qui rempare et accoste, bordure et poste
alors que vigie mais pas tapi dans l'ombre
la certitude flotte dans le matin incertain
et que l'air chargé nous donne des nausées
Solarisation pour éviter d'être scolaire
RépondreSupprimerpas de sédentarisation dans ces irisations
une trempe forte et des contrastes accentués
il faut bien accepter la puissance des blancs
démons du mélange des couleurs
inversion de couleurs
RépondreSupprimerautre manière de voir
magie de l'image poétique
issue de la technologie
Le songe d'une nuit d'hiver
RépondreSupprimerUn ciel de cuivre
RépondreSupprimerpaysage de givre
rêve psychédélique
" Pour certaines âmes, ivres d'onirisme, les jours sont faits pour expliquer les nuits "
RépondreSupprimerBachelard / L'Air et les Songes p.37
"Rêveur de ciel, de feu, de mer. (...) un rêveur de mots, un rêveur de mots écrits. Je crois lire. Un mot m'arrête. Je quitte la page ."
RépondreSupprimerBachelard / La Poétique de la rêverie ... p.15
Monde flottant ...
RépondreSupprimeroù l'âme erre et ne se repose jamais
images éphémères d'un réel réinventé
La nuit cherche le jour égaré
RépondreSupprimerdans les ramifications arbustives
des songes inachevés
Alain Mabanckou
Si l'aube blanchit
RépondreSupprimeralors c'est bien là
où je franchis
et m'affranchis
contemple encore flou
cherchant un accord pas mineur
qui suspend la pâleur
waouh, vous faites dans la couleur vive en ce moment, la couleur éclatante, provocante, pleine de vie !!! Un régal pour les sens !!!
RépondreSupprimermot de passe, vous n'allez pas le croire "crevist", non mais ça ne va pas, pourquoi pas "crever" tant qu'ils y sont, j'aurais préféré aussi "écrevisse" pour rouge écrevisse !!!
RépondreSupprimerMagnifique, tout simplement...
RépondreSupprimerBonne journée, Jeandler.
@ Mathilde
RépondreSupprimercomme je vous comprend
ces mots de passe sont si surprenants parfois
et presque de circonstance
on aurait presque envie de les relever
et d'en faire un bestiaire
avec nos propres commentaires
notre réactivité au sésame
nous donne de la graine à moudre
Merci cher ami Pierre
j'ai rendu hommage appuyé à Marie Curie cette semaine et tu te doutes bien du pourquoi
Pour moi c'était mosugag, mathilde
RépondreSupprimerje vous laisse à penser...
puis aterlaie !!!
RépondreSupprimerArbres magiques qui font rêver.
RépondreSupprimerLe feu et la glace !
RépondreSupprimerL'eau flamboie, l'arbre se fige ...
Inversion de " rôles " ?
Je suis navrée d'avoir été absente. Mais je reviens et je trouve des bonheurs ici !
Merci, Pierre.
Paysage blanc de rêves. Superbe ! Songe et raffinement...de mots
RépondreSupprimer> Brigitte, penser à Théophile Gautier
RépondreSupprimer" Sans prendre garde à l’ouragan
" Qui fouettait mes vitres fermées,
" Moi, j’ai fait Émaux et Camées. "
> Bruno, à l'aube de nos rêves, un nouveau temps se lève.
> Thierry, un virage, en faisant tout pour qu'il ne devienne un mirage...
> Thierry, d'une eau forte, les couleurs mangées, dessinant de vagues silhouettes familières.
> Tilia, pas tout à fait une inversion, ni un décalque, tel le rêve nocturne n'est réel. Le songe d'une nuit lunaire...
> Maria, plus proche de la gravure que de la photographie, sans doute. Une image qui accepte sans broncher les mots de Bachelard...
" Les rêves et les rêveries, les songes et les songeries, les souvenirs et la souvenance, autant d'indices d'un besoin de mettre au féminin tout ce qu'il y a d'enveloppant et de doux par delà les désignations trop simplement masculines de nos états d'âme. "
Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie
> Arlettart, le monde flottant, un des thèmes de l'ukiyo-e, l'estampe japonaise, où la seule certitude réside dans l'impermanence des choses.
> Nina, le rêve comme un reste de verdure d'un souvenir d'automne.
> Thierry, quand l'aube blanchit, un frémissement sur l'eau, le cri étranglé du râle d'eau s'éveillant dans les roseaux.
> Mathilde, je m'éclate, je me gorge de couleurs tant l'hiver qui dure est gris et sale.
> Mathilde, rien ne m'agace plus que ces mots de passe...
> Araucaria, tu passes comme en un rêve déposant ton mot sur le rivage.
> Thierry, merci de cette passe avec Mathilde sur les mots de passe, des mots borgnes, pas très catholiques d'où l'orthodoxie lexicographique semble bannie à jamais, une machine choisissant des lettres (ou des chiffres), sorte de loto où l'on ne gagne rien qu'à se tromper à les recopiant de travers.
> Tanette, vous avez dit magique ? Comme c'est magique, en effet. Un mot de passe.
> Midolu, le feu et la glace comme dans l'omelette norvégienne. Ni inversion, ni solarisation, un mélange de ma composition.
> Monie, un paysage dans la clarté d'un rêve boréal.
spectacle que je découvre aussi dans les Alpes, arbres poudrés de blancs
RépondreSupprimer"Le lac aux eaux dormantes est le symbole de ce sommeil total, de ce sommeil dont on ne veut pas se réveiller, de ce sommeil gardé par l'amour des vivants, bercé par les litanies du souvenir."
RépondreSupprimerBachelard /L'eau et les rêves ...p.91
N'est-ce-pas, Bachelard on ne s'en lasse pas.
Bonne nuit, beau dimanche.
Eau forte qui attaque l'esprit et corrode les sens, dans cette empreinte là qui surjoue les contrastes il y a de la matière brute pour laisse prix jamais en repos, mais si le songe nous ronge peut être en est ce l'explication , il nous demande totale implication et nous remet en cause, déplace les lignes et se joue de notre gravité, il nous entraîne en dehors de nous même
RépondreSupprimeret là où il séme sa graine il y a découvrir des pistes nouvelles dans notre représentation du monde.
Merci ami Pierre de ces morceaux choisis, qui dès l'aube travaillent sans tarauder, consciences à peine sorties de la nuit
Arbres dépouillés
RépondreSupprimerSur ciel flamboyant
Chaud froid d'hiver
Biseeeeeeeeeees de Chrisineeeee
Spectres dans le petit matin rougeoyant !
RépondreSupprimerJolie phrase.
Le blanc diffuse la lumière, effet de projecteur sur la beauté du monde.
RépondreSupprimerSans artifice,c'est une splendeur, est-il besoin de vouloir atteindre le pays des songes,
lorsqu'autant de merveilles s'offrent à nos yeux là où le réel et l'irréel semblent se confondre.
Si beau le givre sur les branches
RépondreSupprimerSi bêtes les mots de passe givrés !
Superbes photo et mots - Merci Pierre!
> Gérard, poudrés à frimas...
RépondreSupprimerQue fleurissent à Bagatelle
Les roses de poudre et frimas,
Mais que fleurissent surtout celles
Que l’on aime jusqu’au trépas.
Robert Desnos, Bagatelles
> Mémoire du silence, de Bachelard on ne se lasse pas et on y revient comme à une source de vie.
" Toute prise de conscience est un accroissement de conscience, une augmentation de lumière, un renforcement de cohérence psychique. " (Gaston Bachelard, La poétique de la rêverie)
> Thierry, lumière des arbres radiographiés, émanant des arbres, transparents, dans toute leur pureté d'être.
> Christineeeee, dans le froid de l'hiver, les arbres ne frissonnent pas, endurcis qu'ils sont dans leur carapace. Ils brûlent de l'intérieur.
> Saravati, une danse des spectres, danse sauvage, incantatoire, aux frontières de l'invisible, là où résonnent, disait Victor Hugo, les échos de la " bouche d'ombre ".
> Monique, point de rencontre de l'obscur et de la clarté, en nous, ce que l'on nomme " inconscient "?
> Danièle, le blanc évoque la vacuité. L'hiver, cette saison que l'on dit morte, une saison vide.
Féerique ! Jolie citation de Bachelard. Bon début de semaine.
RépondreSupprimerAux rivages du symbole je rêve avec toi...
RépondreSupprimer> Belle expression, chère Ariaga, que ces rivages aux symboles. Les arbres symboles !
RépondreSupprimerJe ne suis plus très sûr de ce que je vois
RépondreSupprimeret mes sens me trahissent, enfin ils n'obéissent pas aveuglément à l'idée que je me fais des choses; Relisant des bouts de Bergson ces temps ci sous l'impulsion de mon fils, le doute m'envahit et je ne m'enhardis pas à interprêter plus avant ce que je crois discerner ou cerner tout court, c'est que les nuits blanches et les petits matins gris où l'on ne fait pas le malin sont des puissants freins à une imagination trop débordante, certes sans être épileptique on peut voir les couleurs baver, les zones se recouvrir et trouver à la fusion générale un maigre réconfort en comparaison de l'infusion qui nous attend.
En sophrologue patenté, mais presque, et avec le peu de mémoire photographique qu'il me reste
RépondreSupprimerje serais tenté d'évoquer le négatif et son sous tirage, pour les sous titres sans être gros ils ont parfois les vertus d'une loupe. Alors ce sophro déplacement du négatif voudrait il dire qu'en matière de droit de tirage rien n'est blanc ni noir mais qu'il faut toujours relativiser, dans une position inversée, nous refaisons le monde, duu moins vient il à nous incontinent et différent et dans ce surcroit de couleurs nous cherchons encore plus à traquer les ombres.
Y a t il déplacement du sens dans ce déphasement ?
RépondreSupprimerLes lignes se fusionnent, les limites s'abolissent, rien qui totalement n'aboutisse
où sont les paneresses qui pourraient tenir l'ensemble ?
> En quelques minutes, tu nous offres Thierry, une réflexion matinale et néanmoins approfondie , fruit d'une nuit que j'espère avoir été paisible malgré ces arbres fantômatiques comme passés un peu trop longtemps à l'hypochlorite ou soufrant des ces pluies acides dont on parle tant.
RépondreSupprimerL'oeil ne voit bien que ce qu'il imagine. La vision souvent tient plus de la prévision sinon de l'illusion que d'une réalité toujours fuyante tant le désir qu'on a de voir les choses telles qu'on les désire.
" La réalité - affirme Fuentes - est un flux de formes en perpétuelle transformation " ce que Héraclite déjà avait remarqué. " Tout est possible - ajoute Fuentes - Rien ne doit être négligé. Rien n'est incroyable. Rien n'est impossible ". (in Cervantès ou la critique de la lecture)
Oh mon cher Pierre merci de tes commentaires éclairés, tu sais que je suis est reste basique, terrien, j'ai un signe de terre très fort (vierge ascendant vierge) et de ce point de vue là j'ai la tête en bois (pas à la manière d'albert Raisner qui vient de nous quitter)
RépondreSupprimerMes réflexions sont le fruit d'une période de trouble immense et de malaise aussi, mes nuits d'insomnie me regardent et me parlent , après je viens vers vous et j'essaie de traduire ce que j'ai ressenti.
> Thierry, et moi qui croyais que c'était seulement à l'âge tendre que l'on avait une tête de bois ! Donc pas de nuit paisible, hélas, mais qui ne trouble pas pour autant la clarté de l'esprit... A demain matin, donc, pour cueillir le fruit de tes pensées nocturnes.
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