eau faiblement ridée se perdant vers la lumière deux cercles se rencontrent en frémissant, s'élargissent démesurément, s'unissent avant de disparaître, dissous dans l'immense
Il y a dans la rencontre et la découverte, au delà de la recomposition additive au sens (et pas addictive) des franges d'Young, la possibilité d'assumer bien plus et sans le montrer, puisque le lien qui se crée comme une liaison avec son orbitale consomme et concentre, investit aussi, car nous nous investissons dans certaines relations, (pas dans le sens capitaliste mais heuristique) et celà compte, cela correspond à du matériel impalpable qui peut se révêler ensuite et bien plus tard quand on casse et libère et mesure et se rend compte de ce que c'était vraiment. La multiplication d'émoi c'est plus que moi et toi réuni, c'est le magnificat et l'agrandissement du coeur avec ou sans raison.
Le Grand Bleu !!! On a envie d'y plonger et d'y rencontrer des sirènes, des princes poissons et peut être aussi quelques dauphins !!! Avec un peu de chance, on croisera une amie tortue, des coraux nous feront de l'œil et on pêchera des oursins pour les manger dans la joie et la bonne humeur du partage !!! Puis après, petite sieste et partie de pétanque !!! Quel programme, quel équipe et tout ça rien qu'avec l'évocation d'une photo et d'une citation !!! C'est pas top ???
Intersection, mise en commun, théorie des ensembles, fin du singleton, ne sanglotons pas, faire des ronds dans l'eau, pas servir d'appât inclusion et ces portes et/ou mais où ça autrement qu'en se jetant à l'eau pour vérifier des ondes la recomposition. Les amplitudes de l'affect se mesurent elles aux vagues que l'on fait quand on s'ébroue de concert dans une recherche d'harmonie ?
Inférences aussi sans porter le fer et les vagues tueuses sont de la même eau qui combinent des trains qui se suivent et se cumulent quand des courants ralentissent celles de devant, des monstres démoniaques qui engloutissent tout. Alors qu'on tisse des liens et que cette addi(c)tion porte au sommet ainsi l'union peut donner le climax au plus haut mais après vient le temps de la refraction et de la raréfaction, pas d'effraction sinon ni d'infraction aux codes , ensemble on se laisse porter et même (ré)conforter.
Ah ce bleu, cette moire bleue... on s'y perd, c'est magnifique. Très belle citation de François Cheng. (J'ai acheté ces méditations il y a deux jours.) Belle journée.
Rend moi contre, donne moi cette accolade embrasse moi et brasse avec l'émoi de deux et dans cet adossement, cette surjection naîtra peut être une régle de trois porte moi sur la crête , au sommet et fait de cet acmé à nul autre pareil le renfort et la soutenance sans appareil profile moi sur le fil et tirons partie de cette joie intense et partagée dominant pour un temps toutes les difficultés partis sur des hauteurs telles que la où la vie est belle tout nous est épargné
Des cercles pas olympiques qui s'entrouvrent comme ceux des magiciens, des figures composées pas d'invagination mais beaucoup d'imagination un clapotis aussi et des instants en suspension à voir le résultats, une vie de ronds dans l'eau mais pas de ronds de cuir.
Des interférences Une propagation des ondes Un lien qui se créé
Il est est ainsi de votre blog Pierre, des rencontres, des mots qui se frôlent, des échanges avec des images, des pensées qui, jetés comme des petits cailloux font de jolis ronds dans l'eau.
> Brigitte, les unes vers les autres allant porteuses de quels signes ?
> Avignon, une multiplication pour éviter la division.
> Thierry, jusqu'à l'amortissement, l'aplatissement des ondes jusqu'au signal blanc le silence.
> Mémoire du silence, quelques ricochets (loupés !) dans l'eau, troublant le bleu du ciel.
> Ulysse, sur tes chemins, nous nous sommes rencontrés, pour les miens en partie, mais sur la même longueur d'onde.
> Mathilde, tu es en phase et en verve. Le bleu t'inspire. Le rouge te sied. Quelle couleur n'aimes-tu pas et qui ne te ferait pas vibrer ?
> Thierry, il vaut mieux éviter les déferlentes, des vagues certes mais de douce amplitude venant gentiment mourir sur le rivage...
> Tilia, repousser les forces de répulsion. Braver nos réticences. Aller au-devant de l'autre, la main tendue.
> Arlettart, au creux succède un ventre, une oscillation, un émoi, la surface de l'eau un moment perturbée .
> Thierry, un transport d'énergie sans transport de matière, une vibration périodique. La cause disparaissant, le champ ondulatoire s'apaise et s'endort.
> Araucaria, cette surface moirée, un champ d'ondes multiples qui viennent de partout, s'amplifient ou s'annulent, se fragmentent, se contrarient mutuellement, troublant la surface de l'eau. En radio, on parlerait de "friture" pour dire ces superpositions, ces interférences.
> Pat, un orage électromagnétique...ou électroaccoustique. Nono, Ligeti, Maderna, Bério...
> Thierry, tu surfes, mon ami, sur le haut de la vague. Puisses-tu t'y tenir longtemps.
> Philoplume, un jeu d'enfants apprentis physiciens.
> Laurence, un huit de coeur pour amoureux!
> Annick, une vraie rencontre ne s'oublie jamais, tant de choses partagées, avoir des atomes crochus, être en phase, être sur la même longueur d'onde.
> Thierry, des images bien rondes, en rafale, un train d'ondes, émission sans rémission, le tout reçu cinq sur cinq, sans interférences ni ingérences.
Nous ne nous soulevons que par ce qui nous fait vibrer ; ce n'est pas l'effet "danette" mais il y a comme une petite siréne et dans ce processus parfois les trains se suivent qui communiquent impulsions, flattent les pulsions mais en définitive nous font changer de niveau et voir d'autres horizons et cela dans la conjonction bref dans la vague il y a le pied de vague et il sert à mesurer l'amplitude de la perturbation , pourquoi pas aussi celle de la satisfaction. La concentricité en guise de motricité pour s'écarter de soi et toucher le monde, il y a plus mal comme objectif.
> Gérard, avec le brouillard anglais et le brouillage, en interférences...
> Thierry, un caillou dans la mare fait des vagues. L'eau troublée un instant, un train d'ondes s'ensuit et tout retourne au silence.
> Midolu, Hilbert n'a-t-il pas affirmé que la théorie des ensembles constituait pour les matheux un "paradis" posant-là un axiome fameux qui fît bien des vagues dans le monde des mathématiques ?
eau faiblement ridée se perdant vers la lumière
RépondreSupprimerdeux cercles se rencontrent en frémissant,
s'élargissent démesurément,
s'unissent avant de disparaître,
dissous dans l'immense
Le produit des choses
RépondreSupprimerProduit un produit
-`(0_o)´-
Il y a dans la rencontre et la découverte, au delà de la recomposition additive au sens (et pas addictive) des franges d'Young, la possibilité d'assumer bien plus et sans le montrer, puisque le lien qui se crée comme une liaison avec son orbitale consomme et concentre, investit aussi, car nous nous investissons dans certaines relations, (pas dans le sens capitaliste mais heuristique) et celà compte, cela correspond à du matériel impalpable qui peut se révêler ensuite et bien plus tard quand on casse et libère et mesure et se rend compte de ce que c'était vraiment.
RépondreSupprimerLa multiplication d'émoi c'est plus que moi et toi réuni, c'est le magnificat et l'agrandissement du coeur avec ou sans raison.
O bleu
RépondreSupprimermurmure des eaux
O bleu
interaction de l'eau
O bleu
une encontre cela peut être la découverte d'un univers...et ton blog, Pierre, est un bel univers
RépondreSupprimerLe Grand Bleu !!! On a envie d'y plonger et d'y rencontrer des sirènes, des princes poissons et peut être aussi quelques dauphins !!! Avec un peu de chance, on croisera une amie tortue, des coraux nous feront de l'œil et on pêchera des oursins pour les manger dans la joie et la bonne humeur du partage !!! Puis après, petite sieste et partie de pétanque !!! Quel programme, quel équipe et tout ça rien qu'avec l'évocation d'une photo et d'une citation !!! C'est pas top ???
RépondreSupprimerIntersection, mise en commun, théorie des ensembles, fin du singleton, ne sanglotons pas, faire des ronds dans l'eau, pas servir d'appât
RépondreSupprimerinclusion et ces portes et/ou mais où ça autrement qu'en se jetant à l'eau pour vérifier des ondes la recomposition. Les amplitudes de l'affect se mesurent elles aux vagues que l'on fait quand on s'ébroue de concert dans une recherche d'harmonie ?
Au delà de la collision, la rencontre est une interpénétration. Tout dépend de la force d'attraction...
RépondreSupprimerQuand une onde se propage
RépondreSupprimerune autre se forme
et la ronde des pensées
s'enroule et s'amplifie
Inférences aussi sans porter le fer
RépondreSupprimeret les vagues tueuses sont de la même eau qui combinent des trains qui se suivent et se cumulent quand des courants ralentissent celles de devant, des monstres démoniaques qui engloutissent tout. Alors qu'on tisse des liens et que cette addi(c)tion porte au sommet ainsi l'union peut donner le climax au plus haut mais après vient le temps de la refraction et de la raréfaction, pas d'effraction sinon ni d'infraction aux codes , ensemble on se laisse porter et même (ré)conforter.
Ah ce bleu, cette moire bleue... on s'y perd, c'est magnifique. Très belle citation de François Cheng. (J'ai acheté ces méditations il y a deux jours.)
RépondreSupprimerBelle journée.
Une rencontre est une poésie de lumiére où un orage d'ombres
RépondreSupprimerRend moi contre, donne moi cette accolade
RépondreSupprimerembrasse moi et brasse avec l'émoi de deux
et dans cet adossement, cette surjection
naîtra peut être une régle de trois
porte moi sur la crête , au sommet
et fait de cet acmé à nul autre pareil
le renfort et la soutenance sans appareil
profile moi sur le fil et tirons partie
de cette joie intense et partagée
dominant pour un temps toutes les difficultés
partis sur des hauteurs telles
que la où la vie est belle
tout nous est épargné
Ô qui fait des ronds dans l'eau si douce.
RépondreSupprimerDuo d'ondes pensives...
lorsque les ondes s'entrechoquent ...
RépondreSupprimerça fait presque un 8 !
Une rencontre
RépondreSupprimerC'est quand on oublie jamais
Qu'elle a eu lieu
Et changé son cours de vie
A jamais
Des cercles pas olympiques qui s'entrouvrent
RépondreSupprimercomme ceux des magiciens, des figures composées
pas d'invagination mais beaucoup d'imagination
un clapotis aussi et des instants en suspension
à voir le résultats, une vie de ronds dans l'eau
mais pas de ronds de cuir.
Des interférences
RépondreSupprimerUne propagation des ondes
Un lien qui se créé
Il est est ainsi de votre blog Pierre, des rencontres, des mots qui se frôlent, des échanges avec des images, des pensées qui, jetés comme des petits cailloux font de jolis ronds dans l'eau.
> Brigitte, les unes vers les autres allant
RépondreSupprimerporteuses de quels signes ?
> Avignon, une multiplication pour éviter la division.
> Thierry, jusqu'à l'amortissement, l'aplatissement des ondes
jusqu'au signal blanc
le silence.
> Mémoire du silence, quelques ricochets (loupés !) dans l'eau, troublant le bleu du ciel.
> Ulysse, sur tes chemins, nous nous sommes rencontrés, pour les miens en partie, mais sur la même longueur d'onde.
> Mathilde, tu es en phase et en verve. Le bleu t'inspire. Le rouge te sied. Quelle couleur n'aimes-tu pas et qui ne te ferait pas vibrer ?
> Thierry, il vaut mieux éviter les déferlentes, des vagues certes mais de douce amplitude venant gentiment mourir sur le rivage...
> Tilia, repousser les forces de répulsion. Braver nos réticences. Aller au-devant de l'autre, la main tendue.
> Arlettart, au creux succède un ventre, une oscillation, un émoi, la surface de l'eau un moment perturbée .
> Thierry, un transport d'énergie sans transport de matière, une vibration périodique. La cause disparaissant, le champ ondulatoire s'apaise et s'endort.
> Araucaria, cette surface moirée, un champ d'ondes multiples qui viennent de partout, s'amplifient ou s'annulent, se fragmentent, se contrarient mutuellement, troublant la surface de l'eau. En radio, on parlerait de "friture" pour dire ces superpositions, ces interférences.
> Pat, un orage électromagnétique...ou électroaccoustique. Nono, Ligeti, Maderna, Bério...
> Thierry, tu surfes, mon ami, sur le haut de la vague. Puisses-tu t'y tenir longtemps.
> Philoplume, un jeu d'enfants apprentis physiciens.
> Laurence, un huit de coeur pour amoureux!
> Annick, une vraie rencontre ne s'oublie jamais, tant de choses partagées, avoir des atomes crochus, être en phase, être sur la même longueur d'onde.
> Thierry, des images bien rondes, en rafale, un train d'ondes, émission sans rémission, le tout reçu cinq sur cinq, sans interférences ni ingérences.
> Monique, il faut donc suivant votre démonstration que je change illico le nom du blog, barrant " A mi-voix " pour " Interférences ". Un joli titre!
RépondreSupprimerDes interférences
des rencontres multiples
une chaîne humaine
ici l'onde les français .....
RépondreSupprimerNous ne nous soulevons que par ce qui nous fait vibrer ; ce n'est pas l'effet "danette" mais il y a comme une petite siréne et dans ce processus parfois les trains se suivent qui communiquent impulsions, flattent les pulsions mais en définitive nous font changer de niveau et voir d'autres horizons et cela dans la conjonction
RépondreSupprimerbref dans la vague il y a le pied de vague et il sert à mesurer l'amplitude de la perturbation , pourquoi pas aussi celle de la satisfaction.
La concentricité en guise de motricité pour s'écarter de soi et toucher le monde, il y a plus mal comme objectif.
Ondes sur l'onde ...
RépondreSupprimerEn démonstration mathématique, on pourrait s'appuyer sur cette représentation de l'intersection de deux ensembles ... ;-)
> Gérard, avec le brouillard anglais et le brouillage, en interférences...
RépondreSupprimer> Thierry, un caillou dans la mare fait des vagues. L'eau troublée un instant, un train d'ondes s'ensuit et tout retourne au silence.
> Midolu, Hilbert n'a-t-il pas affirmé que la théorie des ensembles constituait pour les matheux un "paradis" posant-là un axiome fameux qui fît bien des vagues dans le monde des mathématiques ?