samedi 15 janvier 2011

Philippe Jaroussky : Cara la dolce fiamma (J.C. Bach) - 2



Aplanir les aspérités de la route
une voix divine
montant vers les cieux

"Cara, la dolce flamma
dell'alma mia tu sei;
e negli affetti miei
costante ognor sarô.

Cher amour, tu es la douce flamme
de mon âme;
et je serai toujours constant
dans mes sentiments.

18 commentaires:

  1. Un instant de beatitude

    Une voix si pure
    Echo de l'âme du violon
    Expression divine

    RépondreSupprimer
  2. Tel un ange sur l'échelle de Jacob, Philippe Jaroussky nous transporte aux cieux.

    RépondreSupprimer
  3. "et je serai toujours constant
    dans mes sentiments."

    Et comment ne point l'être !!!

    magnifique

    RépondreSupprimer
  4. La musique porte en son sein milles émois en devenir ... La voix en accompagne l'essence, miroir de nos âmes et du temps qui s'égraine doucement en éternité de vie ...

    RépondreSupprimer
  5. vraiment, une voix incroyable! Elle semble fondre dans la musique.

    RépondreSupprimer
  6. Si haut perchée
    comme les aspérités semblent loin
    la flamme continue de monter

    RépondreSupprimer
  7. Dans Jaroussky il y a sky
    et de fait il nous transporte
    à l'égal de Farinelli
    haut de contre magique

    RépondreSupprimer
  8. Et Bach, «La musique : une harmonie agréable célébrant Dieu et les plaisirs permis de l’âme.»
    [ Jean Sébastien Bach ] - Music Quotations

    Une merveille cette note

    RépondreSupprimer
  9. Cette voix extraordinaire et magnifique je l'ai découverte depuis peu car entendue une fois à la radio sans avoir retenu le nom du chanteur je l'ai retrouvé dans un blog il y a quelques semaines
    La voix humaine est vraiment indépassable

    RépondreSupprimer
  10. Et l'homme semble à la hauteur de sa voix. Il nous fait découvrir un répertoire peu connu, merci à lui pour le cadeau de sa voix et pour le partage.

    RépondreSupprimer
  11. Je l'apprécie depuis ses débuts où il était passé pour la première fois à la télé, un choc très agréable !!

    RépondreSupprimer
  12. *** Je n'ai qu'un mot après avoir écouté cette vidéo : MAGNIFIQUE !
    Merci à toi et GROS BISOUS ***

    RépondreSupprimer
  13. > Monique,
    parvenu au plus haut
    une halte dans la promenade
    charmé d'une voix céleste.

    > Andreas,
    avec Bach
    le fils tel le père
    un air de pureté.

    > Tilia,
    de telles intonations
    avec tant de gravité!

    > Maria, la fidélité, quel plus beau sentiment, preuve de la permanence de ce que l'on aime.

    > Kaïkan, la voix, ici, porte, ô combien, ces mille émois au sommet.

    > Renée, la voix instrumentalisée, se fondant dans l'orchestre, le Cercle de l'Harmonie, dirigé par Jérémie Rhorer. Jaroussky à la recherche des perles rares.

    > Thierry, avec ce Bach, nous sommes à la fin de l'époque des castrats que l'on réinterprète aujourd'hui grâce aux voix de haute-contre. La flamme jamais éteinte. Dans le fameux film " Farinelli ", la voix est recomposée artificiellement pour s'approcher (retrouver?) au plus près de la tessiture des castrats. Jaroussky s'est prêté à ce jeu, preuve de sa modestie.

    > En chemin, un fils prodige, le dix-huitième sur une fraterie de vingt enfants! J'ai enfin réussi à poser de la musique comme un peu de vie en ce blog!

    > Dominique, plus haute que la voix de ténor. C'est la voix naturelle du chanteur, sa voix de tête. Surprenante au début mais si expressive, si emplie de charme!

    > Fardoise, Jean-Chrétien Bach s'est démarqué non seulement de son père mais également de ses frères en la matière. Ne l'a-t-on pas considéré longtemps comme un compositeur superficiel ? Et cependant, à sa mort, Mozart se serait écrié en l'apprenant, " Quelle perte pour la musique! ".

    > Gérard, Jaroussky conduit une carrière sans beaucoup de bruit mais de main de maître. Ici, il participe avec brio à une musique "subtile et pétillante" entre toute. Une véritable dévotion pour cet auteur.

    > ""°o.O Nancy O.o°"", c'est l'interprète qui nous donne ce moment de bonheur... Un grand bonheur.

    RépondreSupprimer
  14. Voluptés et volutes dévolues au chant montant
    tout contre et bien haut, élevée à la douceur du plaisir cette voix de tête résonne si bien; désolé pour mon erreur orthographique, nul n'est parfait !

    RépondreSupprimer
  15. > Thierry, on confond souvent ce type de voix avec celle de contre-ténor qui est une voix masculine d'alto ou de soprano. Celle de haute-contre, à part entière, se situe donc au-dessus de celles-ci, plus aiguë encore que celle de ténor.

    Tes mots créent une certaine musicalité dans ta phrase, un rythme, sans fausse note.

    RépondreSupprimer
  16. Vous avez dû vous apercevoir de ma passion pour Philippe Jaroussky puisque vous venez sur mon blog. Je suis tardive sur le vôtre mais j'aime beaucoup ce que j'y découvre, ces superbes photos d'endroits sereins ... Merci

    RépondreSupprimer
  17. > Artemisia, j'avais noté au passage cette passion. Un tout nouveau disque de Jaroussky vient de paraître : "Caladara in Vienna ". Sublime !

    RépondreSupprimer