« La nature, je ne sais pas si vous le savez, vit d'espoir. Elle cache une grande attente dans son sein. Hé oui, elle est un peu rêveuse, elle aussi, elle ne perd pas courage. Elle compte y parvenir, un jour. Y revenir plutôt. Le retour au paradis, à l'Éden de ses débuts. Elle compte beaucoup sur l'homme pour cela. Sur sa disparition, je veux dire. »
La danse de Gengis Cohn, Romain Gary, Éditions Gallimard, 1995.
Bonjour Pierre. Je ne sais trop pourquoi, je m'attendais à une citation extraite du roman de Georges Perec ... Mais celle-ci est plus adaptée à la situation et à l'image ...
RépondreSupprimerJ'ai intitulé cette brève "disparition" et non "La disparition" comme j'avais été tenté de le faire.
SupprimerAu bord du gouffre!
RépondreSupprimerou à la croisée des chemins. Mais, peut-être n'avons plus le choix.La nature choisira pour nous.
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