« Les œuvres d'art sont d'une infinie solitude. Rien n'est pire que la critique pour les aborder. Seul l'amour peut y parvenir, les garder, être juste avec elles. » Rainer Maria Rilke
Se laisser emporter par la beauté, y trouver un chemin de paix le temps d'en savourer l'étendu bien-être. J'aime cette photo dans ce qu'elle représente le silence et la quiétude malgré l'ampleur de la montée des eaux.
La solitude en beauté ou la beauté de la solitude.
RépondreSupprimer« Les œuvres d'art sont d'une infinie solitude. Rien n'est pire que la critique pour les aborder. Seul l'amour peut y parvenir, les garder, être juste avec elles. »
RépondreSupprimerRainer Maria Rilke
Se laisser emporter par la beauté, y trouver un chemin de paix le temps d'en savourer l'étendu bien-être. J'aime cette photo dans ce qu'elle représente le silence et la quiétude malgré l'ampleur de la montée des eaux.
RépondreSupprimerSilence et solitude pour que s'accomplisse la beauté, Monique.
SupprimerPortée par des mots, la photo n'en est que plus belle.
RépondreSupprimerPour moi, Thérèse, ce sont plutôt les mots qui devaient porter l'image...
Supprimerlui donner du sens, l'orner en un mot. Merci.
L'arbre cerné par les flots, isolé, solitaire, méditatif. Sublime dans son désarroi.
RépondreSupprimerDans son poème, Marc-Antoine Girard de Saint-Amant a célébré la beauté de la solitude, et Purcell l'a sublimée.
Ô que j’ayme la solitude !
SupprimerQue ces lieux sacrez à la nuit,
Esloignez du monde et du bruit,
Plaisent à mon inquietude !...
Merci Tilia.