Heureuse coïncidence, hier je regardais le bouleau planté au coin de notre résidence. Vue de loin, sa ramure fait comme un brouillard grisâtre sur lequel se détache les pièces d'or des quelques feuilles qui s'y accrochent encore.
J'aime beaucoup l'idée du vent fatigué de souffler, venant se reposer entre les branches du bouleau. Merci, Jeandler, pour cette belle image.
Au creux de ton épaule, il y a le vent, au creux du vent, toutes les confidences du monde et cela fait une bien belle musique. Belles fêtes de fin d'année. Amitiés.
"Auprès de mon arbre.... je vivais heureux...." Avec notre ami Brassens
RépondreSupprimerpour cette note d'espoir.
" J'aurais jamais dû m'éloigner de mon arbre...
SupprimerAuprès de mon arbre,
Je vivais heureux,
J'aurais jamais dû le quitter des yeux... "
Refuge en la nature, indispensable ressource...
RépondreSupprimerLa nature a autant besoin de nous que nous d'elle.
SupprimerSavoir s'arrêter et se ressourcer.
RépondreSupprimerS'arrêter sur le chemin, respirer profondément, regarder autour de soi, écouter le vent, sourire aussi à la rencontre. C'est cela vivre !
SupprimerHeureuse coïncidence, hier je regardais le bouleau planté au coin de notre résidence. Vue de loin, sa ramure fait comme un brouillard grisâtre sur lequel se détache les pièces d'or des quelques feuilles qui s'y accrochent encore.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup l'idée du vent fatigué de souffler, venant se reposer entre les branches du bouleau. Merci, Jeandler, pour cette belle image.
L'écorce en attente de la neige, les feuilles frileuses.Le bouleau, un phare lumineux dans l'hiver.
SupprimerLes oiseaux se cachent et s'endorment sous la caresse du vent Veillent encore les feuilles -soleil
RépondreSupprimerLes jardins sont un paradis pour les oiseaux, à la ville comme à la campagne. Mais qui aime encore les oiseaux aujourd'hui pour leur offrir un havre ?
SupprimerUn beau et doux Noël à toi cher Pierre
RépondreSupprimerMerci Mémoire du silence; à toi de même une belle fin d'année pour préparer la nouvelle.
SupprimerAu creux de ton épaule, il y a le vent, au creux du vent, toutes les confidences du monde et cela fait une bien belle musique. Belles fêtes de fin d'année.
RépondreSupprimerAmitiés.
Roger
Le vent, ce grand bavard. Le souffle de la planète...
SupprimerRabelais y entendait des paroles gelées.
Bonnes fêtes de fin d'année, ami.