Les arbres qui se dévoilent Corps et âmes à nu Inscrivent leur histoire A l'encre de l'hiver Et leur silhouette en fractales S'offre à tous les regards Sans faux-semblants Dans l'intégrité de leur Être Un chef-d'œuvre sur le pages du ciel.
En hiver, l’arbre se déshabille, ses branches nues embrassent les cieux. À ses pieds et ses racines d’ébène se déploie un tapis de feuilles, que les premières gelées taquinent. Doucement, elles recouvrent la terre parfois usée et fatiguée par des pluies torrentielles.
Au solstice d’hiver, l’astre majeur lutte contre la nuit. Elle dévore ses heures et ses rais de soleil, mange sa part diurne. Se trame alors, un combat silencieux entre deux temporalités
que l'on passe à la gravure, à la pointe sèche
RépondreSupprimerLa gravure, le paysage épuré
Supprimersans redite
ni repentir.
Comme les oiseaux, les arbres sont une consolation dans le paysage...
RépondreSupprimerLes oiseaux ne s'y trompent pas
Supprimerà chacun son arbre
ausculté pour y nicher
au printemps.
Arbres dentelles....
RépondreSupprimerPour finir
Supprimerne pas oublier la moindre brindille.
Chacune compte.
Sur la page grise du ciel, s'écrivent les rameaux de pensées.
RépondreSupprimerL'intime des arbres,
Des arbres mis à nu.
Pensées profuses
Supprimerà l'infini
irriguent le ciel
On en profite que plus de leurs ombres, de leur profil, de leur force autant que de leur fragilité.
RépondreSupprimerEn hiver, les arbres radiographiés.
SupprimerL'arbre dévêtu
RépondreSupprimerpour son sommeil hivernal
attend le printemps
Quand vient la saison où les arbres se déshabillent, nous nous couvrons. Et vice versa !
Rien de plus beau qu'un corps nu en sa native vêture.
SupprimerQuelques traits de fusain et un peu de brume, et l'ambiance est au mystère !
RépondreSupprimerAvec les Dinosaures, les arbres sont les plus grands mystères de cette planète.
SupprimerHiver blanc - écriture noire Les images s'incrustent dans les pensées plus profondément encore
RépondreSupprimerÀ l'œuvre, à l'encre, un dernier trait et qui sera de plume fine.
SupprimerLa dentelle des arbres nus, luxe des infortunés ...
RépondreSupprimerPlus fine que la dentelle d'Alençon...
SupprimerLes arbres qui se dévoilent
RépondreSupprimerCorps et âmes à nu
Inscrivent leur histoire
A l'encre de l'hiver
Et leur silhouette en fractales
S'offre à tous les regards
Sans faux-semblants
Dans l'intégrité de leur Être
Un chef-d'œuvre sur le pages du ciel.
Chaque année, quelques brindilles de plus, encore plus fines.
SupprimerEn hiver, l’arbre se déshabille, ses branches nues embrassent les cieux. À ses pieds et ses racines d’ébène se déploie un tapis de feuilles, que les premières gelées taquinent. Doucement, elles recouvrent la terre parfois usée et fatiguée par des pluies torrentielles.
RépondreSupprimerAu solstice d’hiver, l’astre majeur lutte contre la nuit. Elle dévore ses heures et ses rais de soleil, mange sa part diurne. Se trame alors, un combat silencieux entre deux temporalités
Un combat qui est en fait un cycle des générations de feuilles. Ce que l'on ose nommer un " éternel retour " !
Supprimer