> Michel, une petite famille, ce serait beaucoup dire. Nous ne sommes pas ici en cité de Carcassonne. A cent mètres, sur la gauche, une autre tour assez semblable, transformée en pigeonnier et possédant 750 boulins. Les deux tours seraient datées du XVIIè siècle.
> Brigetoun, elle n'a pas l'élégance de la Tour Blanche orléanaise; un peu enveloppée sans pour autant être obèse. Servait de réservoir d'eau pour les besoins d'un grand jardin qui se trouvait à son pied.
> Maria-d, c'est un très beau jour aujourd'hui ! Je me suis toujours demandé de la raison de la croix sur le campanile. Aurait-elle eut, cette tour, faisant partie du domaine d'un château, une fonction de chapelle ?
De prime abord, je m'interrogeais sur le pourquoi du sparadrap sous l'œil de la belle au chapeau cloche. En lisant la réponse à Brigetoun, je pense avoir la réponse : c'est sans doute pour éviter de la faire pleurer !
> Tilia, je me souviens de fuites le long de son mur auxquelles on a dû mettre le holà. Mais aujourd'hui, le sparadrap est sans nécessité, le jardin n'étant plus entretenu...
> Monique, une chanson enfantine, paroles et musique perdues dans le vent
La tour, prends garde De te laisser abattre Nous n'avons garde De nous laisser abattre J'irai me plaindre Au Duc de Bourbon Allez vous plaindre Au Duc des cornichons
Mon Duc, mon Prince Je tombe à vos genoux Mon capitaine, Mon colonel Que me demandez-vous ? Votre cher fils Pour abattre la tour. Allez mon fils Pour abattre la tour.
La tour, prends garde De te laisser abattre Nous n'avons garde De nous laisser abattre. Mon Duc, mon Prince Je viens à vos genoux Mon capitaine, Mon colonel Que me demandez-vous ? Votre présence, votre présence Pour abattre la tour. Je vais moi-même Pour abattre la tour.
La tour, prends garde De te laisser abattre Nous n'avons garde De nous laisser abattre.
> Pensées au fil de l'eau, un refuge pour le philosophe, trois étages comme ici, la librairie tout en haut. Ce qui me gênerai, ce sont ces fenêtres murées, moi qui aime tant la lumière !
Ce voile blanc lui donne belle prestance un prisonnier est encore caché ?un carreau reste brisé Une tour ou pigeonnier cela s'entend Tout un symbole de puissante demeure et de nos jours Belle maison se doit d'avoir sa tour... !!
> Arlettart, une belle maison, un chateau plutôt, en des lieux historiques. Un très vieux domaine royal offert par Louis VII aux Chevaliers de Saint Lazare chassés de Jérusalem qui en firent une léproserie et le Siège de leur Ordre. Le château actuel a été édifié au tout début du XVIIIè siècle.
Qui lui aurait mis la pompe au nez aurait voulu clairement l'honorer mais là c'est de blizzard qu'elle est habillée, pas du prêt à pomponner on ne va pas sonner une retraite honteuse!
> Thierry, le carreau est cassé et les oiseaux doivent y nicher. Le soir, une hulotte sort de son dortoir et glisse son chant très doux pour bercer nos nuits.
le carreau est cassé et les oiseaux casés, tout est parfait pour s'abriter des intempéries, alors hululer à la pleine lune ça ne fait pas pulluler les mulots
Je n'ai pas été assez explicite ; je parlais de la tour elle-même, telle que je la ressens sur cette deuxième image ... Un peu dissimulée derrière les branchages, un petit air amusé, comme si elle avait joué un tour ...
eh voilà tout dépend Pierre justement de ce regard qu'on porte sur elle, j'y voyais une dame "enchapeautée" là où vous y voyez une paysanne sous son fichu en fait elle cache bien son jeu-;)!!!!
> Monique, un regard changeant. En fichu de paysanne, enchapeautée en villageoise, et la voici maintenant derrière une voilette, avec quelques grains de beauté...
Trois moments dans la vie d'une tour : à la première photo, sans mysthère, la surprise d'être photografié; à la deuxième, sans succès, elle éssaie de se cacher derrière les rameaux; à la troisième, elle joue la coquette et se cache (un petit peu!) derrière un éventail de fueillages! ============================ Et ta fenêtre, tu ne vas pas nous montrer?
> Neyde,ton commentaire est charmant pour ces trois regards sur la tour dont on ne peut (malheureusement) faire le tour. Quant à ma fenêtre, elle n'a rien de particulier sinon d'avoir vue sur la tour.
Le photographe l'isole, mais elle doit bien avoir une petite famille autour d'elle...
RépondreSupprimer> Michel, une petite famille, ce serait beaucoup dire. Nous ne sommes pas ici en cité de Carcassonne. A cent mètres, sur la gauche, une autre tour assez semblable, transformée en pigeonnier et possédant 750 boulins. Les deux tours seraient datées du XVIIè siècle.
Supprimerquelle belle franchise ample - solide, drue, fermée mais aimable
RépondreSupprimer> Brigetoun, elle n'a pas l'élégance de la Tour Blanche orléanaise; un peu enveloppée sans pour autant être obèse. Servait de réservoir d'eau pour les besoins d'un grand jardin qui se trouvait à son pied.
Supprimer3/3
RépondreSupprimerj'ai tout vu
de la tour enneigée
sans chemin
de croix
> Maria-d, c'est un très beau jour aujourd'hui ! Je me suis toujours demandé de la raison de la croix sur le campanile. Aurait-elle eut, cette tour, faisant partie du domaine d'un château, une fonction de chapelle ?
SupprimerDe prime abord, je m'interrogeais sur le pourquoi du sparadrap sous l'œil de la belle au chapeau cloche. En lisant la réponse à Brigetoun, je pense avoir la réponse : c'est sans doute pour éviter de la faire pleurer !
RépondreSupprimer> Tilia, je me souviens de fuites le long de son mur auxquelles on a dû mettre le holà. Mais aujourd'hui, le sparadrap est sans nécessité, le jardin n'étant plus entretenu...
SupprimerRegard sur la tour
RépondreSupprimerBien qu'en retour elle vous nargue
Quand la tour prend garde
> Monique, une chanson enfantine, paroles et musique perdues dans le vent
SupprimerLa tour, prends garde
De te laisser abattre
Nous n'avons garde
De nous laisser abattre
J'irai me plaindre
Au Duc de Bourbon
Allez vous plaindre
Au Duc des cornichons
Mon Duc, mon Prince
Je tombe à vos genoux
Mon capitaine, Mon colonel
Que me demandez-vous ?
Votre cher fils
Pour abattre la tour.
Allez mon fils
Pour abattre la tour.
La tour, prends garde
De te laisser abattre
Nous n'avons garde
De nous laisser abattre.
Mon Duc, mon Prince
Je viens à vos genoux
Mon capitaine, Mon colonel
Que me demandez-vous ?
Votre présence, votre présence
Pour abattre la tour.
Je vais moi-même
Pour abattre la tour.
La tour, prends garde
De te laisser abattre
Nous n'avons garde
De nous laisser abattre.
C'est du poivre blanc sur le toit de cette tour ? atchoum ! ! ! !
RépondreSupprimer> Gérard, à tes souhaits.
SupprimerDu poivre gris pour éloigner les soucis, du poivre noir sternutoire, du poivre blanc et sel pour les cheveux.
tu es un guérisseur ...la note est salée aussi ?
RépondreSupprimer> Gérard, à défaut d'être guérisseur, j'aurais mieux fait d'entreprendre des études de Médecine...Le monde se porterait peut-être moins mal.
SupprimerTout de suite c'est Montaigne qui me vient à l'esprit
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, un refuge pour le philosophe, trois étages comme ici, la librairie tout en haut. Ce qui me gênerai, ce sont ces fenêtres murées, moi qui aime tant la lumière !
SupprimerUne envie de lecture tout à coup
SupprimerElle porte chapeau
RépondreSupprimerPoivre et sel au crépuscule
Qu'elle ne peut cacher
> Monique, elle a plutôt un air bonne femme, coiffée comme une paysanne d'antan, un fichu sur la tête, sans prétention ni recherche, jeté à la hâte.
SupprimerCe voile blanc lui donne belle prestance
RépondreSupprimerun prisonnier est encore caché ?un carreau reste brisé
Une tour ou pigeonnier cela s'entend
Tout un symbole de puissante demeure et de nos jours
Belle maison se doit d'avoir sa tour... !!
> Arlettart, une belle maison, un chateau plutôt, en des lieux historiques. Un très vieux domaine royal offert par Louis VII aux Chevaliers de Saint Lazare chassés de Jérusalem qui en firent une léproserie et le Siège de leur Ordre. Le château actuel a été édifié au tout début du XVIIIè siècle.
Supprimerpas de tour à éternuer ni de tour de poivrier
RépondreSupprimerles grains ont ils emperlé que voici la tuile
saupoudrée
> Thierry, photographies prises au dernier épisode neigeux, à vrai dire à sa toute fin d'où la légéreté du voile blanc sur les tuiles.
SupprimerQui lui aurait mis la pompe au nez aurait voulu clairement l'honorer mais là c'est de blizzard qu'elle est habillée, pas du prêt à pomponner
RépondreSupprimeron ne va pas sonner une retraite honteuse!
> Thierry, elle a encore une certaine allure et mériterait un coup de jeune, si tu vois ce que je veux dire.
Supprimerle carreau est brisé mais la neige est bissée
RépondreSupprimeret la laine biffée
> Thierry, le carreau est cassé et les oiseaux doivent y nicher. Le soir, une hulotte sort de son dortoir et glisse son chant très doux pour bercer nos nuits.
Supprimerle carreau est cassé et les oiseaux casés, tout est parfait pour s'abriter des intempéries, alors hululer à la pleine lune ça ne fait pas pulluler les mulots
SupprimerSur la deuxième photo, je l'imagine regardant le photographe, un sourire, un clin d'oeil, je t'ai joué un " tour " ...
RépondreSupprimer> Midolu, si tu parles de la hulotte hôtesse de ces lieux, lorsqu'elle sort, le photographe est déjà dessous la couette depuis longtemps...
SupprimerJe n'ai pas été assez explicite ; je parlais de la tour elle-même, telle que je la ressens sur cette deuxième image ... Un peu dissimulée derrière les branchages, un petit air amusé, comme si elle avait joué un tour ...
Supprimer> Midolu, de la dame, bien évidemment, derrière sa voilette, un petit air coquin.
Supprimereh voilà tout dépend Pierre justement de ce regard qu'on porte sur elle, j'y voyais une dame "enchapeautée" là où vous y voyez une paysanne sous son fichu
RépondreSupprimeren fait elle cache bien son jeu-;)!!!!
> Monique, un regard changeant. En fichu de paysanne, enchapeautée en villageoise, et la voici maintenant derrière une voilette, avec quelques grains de beauté...
SupprimerTrois moments dans la vie d'une tour :
RépondreSupprimerà la première photo, sans mysthère, la surprise d'être photografié;
à la deuxième, sans succès, elle éssaie de se cacher derrière les rameaux;
à la troisième, elle joue la coquette et se cache (un petit peu!) derrière un éventail de fueillages!
============================
Et ta fenêtre, tu ne vas pas nous montrer?
> Neyde,ton commentaire est charmant pour ces trois regards sur la tour dont on ne peut (malheureusement) faire le tour.
SupprimerQuant à ma fenêtre, elle n'a rien de particulier sinon d'avoir vue sur la tour.