> JEA, du courage, il en fallait mais aussi le goût de travailler avec le plus grand soin, jusque dans l'ultime détail.J'aime ce hourdis, ce hourd, cette garniture de briques pour tout dire, si savamment agencée, les briques une à une choisies, ajustées...
> Brigetoun, une façade dans une impasse qu'au premier coup d'oeil on ne voit de la rue et c'est bien dommage. Autre regret, que Blogspot ne restitue plus les images dans leur originalité qui permettait d'observer les détails. Et dans le cas présent, ces colombes perdent beaucoup de ne pouvoir être vues de plus près.
> Mémoire de silence, sans omettre les croix de Saint-André. Des variantes presque à l'infini. Nécessité d'une géométrie qui joue avec l'esthétique.
Jeandler, il est toujours possible de faire un clic droit sur l'image pour accéder au menu contextuel dans lequel on peut cliquer sur "Afficher l'image". La photo s'affiche alors dans son format d'origine. C'est la première chose que j'ai faite en voyant celle-ci et, comme Brigetoun, j'ai admiré le travail des colonnettes. Oui, dommage que cette maison soit bien cachée dans un recoin inaccessible à la Google-car :(
> Monique, les croix et entrecroises pour la cohésion et la solidité de l'ensemble mais aussi une volonté esthétique en introduisant des variations. Comme en musique : un thème, le plus simple possible, et les variations Diabelli à l'arrivée.
> Arlettart, un passage étroit, peu de recul. Il faudrait monter dans les étages mais je me souviens que la façade d'en face est aveugle...
> Monique; "au croisement des savoirs" , pas de meilleure expression pour ce type de construction. Ces maisons à colombages ont fait et font encore l'objet de nombreuses études, mémoires et thèses (comme par exemple, ici, http://racf.revues.org/1337).
> Tilia, je ne suis pas bien fûté pour ces choses-là. Ou bien ma machine est un peu vieillotte. Toujours est-il qu'un clic droit me conduit effectivement à un menu où je ne trouve pas "Afficher l'image" mais "Ouvrir le lien" et Sésame a joué et je retrouve l'image avec ses détails lisibles. Merci, chère Tilia. Mon ignorance est crasse.
Cette maison (n° 34 de la rue du Poirier) est dans une sorte d'impasse, au grand désespoir du propriétaire que j'ai rencontré et avec qui nous avons discuté de la rénovation de ces maisons.
> Pensées au fil de l'eau, l'âme des maisons vibre dans le soir... et il me plaît de t'offrir ces mots en:
Harmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille tout vestige ! Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige... Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
Ch. Baudelaire
> Chère Lautreje, je parviens tout juste à pousser la porte de ton blog mais celui-ci, têtu, " ne répond pas " et cela dure , dure... Je suis désolé, tant de choses où j'aurais aimé dire mon mot.
> Françoise Dumont, et pour les détails cela vaut la peine d'utiliser le " clic droit " ! Sculptures sur bois, de bon vieux chênes de la Forêt d'Orléans, qui ont trouvé là une seconde vie.
J'aime ces "assemblages" que l'on trouve dans certains coins de villes du nord au sud. Je pense à La Rochelle, à Pamiers et bien d'autres rencontres. Lorsque je vois de telles maisons, je reste pensive à sentir passer le poids du temps, à imaginer la vie qui pouvait s'attacher à de tels bâtiments.Ici, il ne reste qu'une maison de ce type. j'ai fini par la dénicher. Bonnes fêtes de fin d'année Jeandler.
> Maïté/Aliénor, une seule maison de ce type ? Ici, on en n'en voyait pas beaucoup jusqu'au moment (il y a une dizaine d'années) où l'on a eu l'idée d'aller voir ce qu'il y avait sous les tristes et uniformes crépis...
Bonnes fêtes de fin d'année et que la nouvelle commence joyeusement.
hourdi ! compagnons bâtisseurs...
RépondreSupprimersavant assemblage - jeu des couleurs et sculptures des colonnettes, une parure discrète
RépondreSupprimerPoint de croix
RépondreSupprimeret point lancé
point d'épine
et point d'échelle
feston simple
et contrarié
> JEA, du courage, il en fallait mais aussi le goût de travailler avec le plus grand soin, jusque dans l'ultime détail.J'aime ce hourdis, ce hourd, cette garniture de briques pour tout dire, si savamment agencée, les briques une à une choisies, ajustées...
RépondreSupprimer> Brigetoun, une façade dans une impasse qu'au premier coup d'oeil on ne voit de la rue et c'est bien dommage. Autre regret, que Blogspot ne restitue plus les images dans leur originalité qui permettait d'observer les détails. Et dans le cas présent, ces colombes perdent beaucoup de ne pouvoir être vues de plus près.
> Mémoire de silence, sans omettre les croix de Saint-André. Des variantes presque à l'infini. Nécessité d'une géométrie qui joue avec l'esthétique.
Se croisent, s'entrecroisent
RépondreSupprimerSur leur façade de briques
Belles géométries
Mais la photo est belle ,jeux de lignes et de reflets d'un graphisme plaisant
RépondreSupprimerLire sur la façade
RépondreSupprimerAu croisement des savoirs
L'histoire se dévoile
Jeandler, il est toujours possible de faire un clic droit sur l'image pour accéder au menu contextuel dans lequel on peut cliquer sur "Afficher l'image". La photo s'affiche alors dans son format d'origine.
RépondreSupprimerC'est la première chose que j'ai faite en voyant celle-ci et, comme Brigetoun, j'ai admiré le travail des colonnettes.
Oui, dommage que cette maison soit bien cachée dans un recoin inaccessible à la Google-car :(
> Monique, les croix et entrecroises pour la cohésion et la solidité de l'ensemble mais aussi une volonté esthétique en introduisant des variations. Comme en musique : un thème, le plus simple possible, et les variations Diabelli à l'arrivée.
RépondreSupprimer> Arlettart, un passage étroit, peu de recul. Il faudrait monter dans les étages mais je me souviens que la façade d'en face est aveugle...
> Monique; "au croisement des savoirs" , pas de meilleure expression pour ce type de construction. Ces maisons à colombages ont fait et font encore l'objet de nombreuses études, mémoires et thèses (comme par exemple, ici, http://racf.revues.org/1337).
> Tilia, je ne suis pas bien fûté pour ces choses-là. Ou bien ma machine est un peu vieillotte. Toujours est-il qu'un clic droit me conduit effectivement à un menu où je ne trouve pas "Afficher l'image" mais "Ouvrir le lien" et Sésame a joué et je retrouve l'image avec ses détails lisibles. Merci, chère Tilia. Mon ignorance est crasse.
Cette maison (n° 34 de la rue du Poirier) est dans une sorte d'impasse, au grand désespoir du propriétaire que j'ai rencontré et avec qui nous avons discuté de la rénovation de ces maisons.
Des maisons qui ont une âme au travers du temps
RépondreSupprimer> Pensées au fil de l'eau, l'âme des maisons vibre dans le soir... et il me plaît de t'offrir ces mots en:
RépondreSupprimerHarmonie du soir
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ;
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige,
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir !
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ;
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige.
Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux recueille tout vestige !
Le soleil s'est noyé dans son sang qui se fige...
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir !
Ch. Baudelaire
> Chère Lautreje, je parviens tout juste à pousser la porte de ton blog mais celui-ci, têtu, " ne répond pas " et cela dure , dure... Je suis désolé, tant de choses où j'aurais aimé dire mon mot.
Où tout détail est soigné pour que l'ensemble soit parfait.
RépondreSupprimer> Françoise Dumont, et pour les détails cela vaut la peine d'utiliser le " clic droit " ! Sculptures sur bois, de bon vieux chênes de la Forêt d'Orléans, qui ont trouvé là une seconde vie.
RépondreSupprimerJ'aime ces "assemblages" que l'on trouve dans certains coins de villes du nord au sud. Je pense à La Rochelle, à Pamiers et bien d'autres rencontres.
RépondreSupprimerLorsque je vois de telles maisons, je reste pensive à sentir passer le poids du temps, à imaginer la vie qui pouvait s'attacher à de tels bâtiments.Ici, il ne reste qu'une maison de ce type. j'ai fini par la dénicher.
Bonnes fêtes de fin d'année Jeandler.
> Maïté/Aliénor, une seule maison de ce type ? Ici, on en n'en voyait pas beaucoup jusqu'au moment (il y a une dizaine d'années) où l'on a eu l'idée d'aller voir ce qu'il y avait sous les tristes et uniformes crépis...
RépondreSupprimerBonnes fêtes de fin d'année et que la nouvelle commence joyeusement.