Revenant sur nos pas
une petite rue
sur notre gauche
une curieuse façade
Briques, meulières et pierres de taille mariées
Une porte étroite dans un renfoncement chapeautée
tournesol et feuilles d'acanthes
un balcon à l'avenant
Métissage original
Orléans, avenue Dauphine
belle accolade tranchant/unissant deux appareils
RépondreSupprimerMerveilleux tous ces métissages !
RépondreSupprimerOrientalisme Art Nouveau ! Non sans charmes...
RépondreSupprimerUne histoire de briques, de pierres et de portes étroites... de chapeaux et tournesols ...oui, il s'agit bien de cela, bien que je sois aveugle et ne vois point les images... dommage, dommage...
RépondreSupprimeramitié
Métissage, voila un terme délicat pour désigner le mélange précédemment qualifié d'un vilain mot.
RépondreSupprimer"Briques, meulières et pierres de taille mariées" avec (d'après ce que je vois au 4 rue Alfred Lanson) des pignons gothique charpentier. Vraiment très pittoresque comme style ;-)
Une diversité étrange
RépondreSupprimerUn étonnant mélange
Que l'architecture engrange
Un pont traversé , de droite à gauche , une façade se parade ....orientalisme mélangé ?
RépondreSupprimerEt de plus une similitude entre la forme de la porte et ces ouvertures en bas de mur: en forme de clef me semble-t-il.
RépondreSupprimer> Brigetoun, et deux couleurs de briques différentes...
RépondreSupprimer> Veronica, métissages à coeur joie.
> Michel, et toi qui n'a pas vu, à gauche, en bas, près de la gouttière, le décrottoir ! Ah, je suis déçu. (Il faut agrandir l'image en cliquant dessus)
> Maria-d, nos ordinateurs sont fantasques et Internet de même. Je ne sais qui accuser.
> Tilia, tu es magnifique ! Nous sommes effectivement dans la petite rue Lanson que tu as su localiser sans erreur... Alfred Lanson est un sculpteur natif d'Orléans (1851-1898) qui fût Prix de Rome en 1876.
> Monique, une période sage que l'on pourrait dire académique, osant sans trop oser...
> Pat, un orientalisme un peu de pacotille, bien dans l'air du temps de la IIIè République.
> Maïté/Aliénor, toi tu sais observer et ta remarque est tout à fait exacte. Le moindre détail est travaillé dans le même esprit.
Tout à l'admiration de la porte, la discrétion de ce décrottoir n'a pu que m'échapper...
RépondreSupprimerencore un arc compassé, mauresque ou mozarabe
RépondreSupprimerc'est un mozart de la taille douce
pas de chapiteau mais le soleil se sent suivi
> Michel, presque en dentelle, et discret, le décrottoir, plus ornemental que fonctionnel...
RépondreSupprimer> Thierry, bonsoir ami. J'aime ton arc compassé... Le compas est l'un des attributs de l'architecte avec la règle sans oublier l'équerre.
Très beaux commentaires sur l'architecture mais l'esprit fantasque je trouve ce "bijou" telle une bague offerte à la Bien-Aimée du lieu
RépondreSupprimerAh! Mon Dieu! Tant de choses à apprendre avec toi, mon ami Pierre! Chaque jour une leçon sur Orléans!
RépondreSupprimerCette porte me semble même un bijou,et à mon avis,bien preservée.
Dans ce pays enflammé par la brique, que cache l'huis et de quelle demeure est ce l'entrée.
RépondreSupprimerUn original qui voulait se signaler , un mécène, un marchand avisé, un harpagon déridé, un architecte sur le retour, l'ensemble est plus que surprenant, c'est un drôle de montage qui dénote éclectisme et curiosité.
> Arlettart, il fallait se distinguer de ses voisins... Un bijou, certes, une bague avec un gros cabochon qui risque bien d'être un peu toc.
RépondreSupprimer> Neyde, je crois bien, que dans une autre vie, j'étais guide.
La façade est dans toute sa fraÎcheur.
> Thierry, une façade relativement étroite et discrète mais qui dénote une certaine aisance de son promoteur. Elle se remarque et de loin dans cette petite rue !
les métissages délivrent de beaux trésors.
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