> Brigetoun, charmante, elle est ainsi tous les matins... La charpente est solide et le colombage pas moins. De vieux bois, de vieux chênes taillés en la forêt alors au porte de la ville.
> Michel, que tu aimes, tu m'en vois ravi. De forts beaux ramages sculptés sur les poutres.
> Tilia, est-ce la maison de mes rêves, tout droit sortie de mon imagination ou bien me suis-je perdu dans mes photos ? Un peu de tout cela. Rue de la Vieille Monnaie elle n'est sise mais tu la trouveras rue Sainte-Catherine. Merci de ton oeil infaillible et de ta perspicacité.
> Tanette, pimpante, veux-tu dire, avec ses nattes tressés comme le dit Tilia, on croirait une collégienne.
Je ne sais pas à quoi aimer de plus. Si tes photos ou tes mots, si les commentaires ou tes réponses. Je m'amuse beaucoup. Et j'apprends aussi. Merci à toi Pierre et à tous ces qui viennent au blog. Un océan entre nous, mais je me sens si près de vous, comme si nous étions un groupe en voyage sur Orléans! Il me faut demander à cette madame ce qu'elle fait pour rester jeune et faire le même!
quelle belle gueule ! pas plus ravaudée que cela à la croisée des chemins on ne ronge pas son frein elle éclate encore de couleur et ses fenêtres jumelles ne lui pas voir de loin des tendresses de retour
> Maïté/Aliénor, des croix de Saint-André, nécessité et décoration, de la gaieté et une protection sûre. Signe de bonheur.
> Pat, le temps retrouvé, enfin, de cette bonne ville.
> Neyde, l'espace, le temps, à grands pas franchis.
> Monique, elle a du caractère cette dame mais elle reste digne.
> Michel à franquevaux, colombes et sablières, la forêt métamorphosée.
> Dominique, les villes au XV-XVIè siècle plus colorées que l'on l'imaginait.
> Mémoire du silence, l'antenne est sur la maison voisine. Pour un progrès, c'est un progrès... disait le poète. Les antenes, les paraboles, les plaies modernes.
> Thierry, pas une ride, pas un vide, pas une absence; bien présente, solide à son poste.
> Fardoise, couleurs d'époques, couleurs ravivées. Un bouquet d'immortelles.
> Gérard, d'époque, mon ami. Toutes ne le sont pas, d'autres, à la façade outrageusement peintes couleur d'époque, pâle imitation de leurs voisines. Nul ne peut s'y tromper.
ma mie
RépondreSupprimerque vous semble ce matin
charmante vous êtes
allons nos vieux os
Qu'elle est belle... Ça, j'adore.
RépondreSupprimerFard à paupières et fleur au chapeau
RépondreSupprimerTresses grises et rouge à joues
Elle ne voit pas passer les ans.
Rue de la Vieille Monnaie,
point ne l'y ai trouvée...
Mais chose bien laide que ce bâtiment moderne au n° 5 de la Vieille Monnaie (DGRH).
Une vieille dame qui paraît encore bien jeune,...pas une ride !
RépondreSupprimerTanette
> Brigetoun, charmante, elle est ainsi tous les matins... La charpente est solide et le colombage pas moins. De vieux bois, de vieux chênes taillés en la forêt alors au porte de la ville.
RépondreSupprimer> Michel, que tu aimes, tu m'en vois ravi. De forts beaux ramages sculptés sur les poutres.
> Tilia, est-ce la maison de mes rêves, tout droit sortie de mon imagination ou bien me suis-je perdu dans mes photos ? Un peu de tout cela. Rue de la Vieille Monnaie elle n'est sise mais tu la trouveras rue Sainte-Catherine. Merci de ton oeil infaillible et de ta perspicacité.
> Tanette, pimpante, veux-tu dire, avec ses nattes tressés comme le dit Tilia, on croirait une collégienne.
Toute corsetée à croisillons
RépondreSupprimerelle met de la gaieté sur ses murs
et semble comme dans un tourbillon
traverser les années à fière allure.
En douceur ...un rêve où le temps n'a pas prise ...
RépondreSupprimerJe ne sais pas à quoi aimer de plus. Si tes photos ou tes mots, si les commentaires ou tes réponses. Je m'amuse beaucoup. Et j'apprends aussi.
RépondreSupprimerMerci à toi Pierre et à tous ces qui viennent au blog.
Un océan entre nous, mais je me sens si près de vous, comme si nous étions un groupe en voyage sur Orléans!
Il me faut demander à cette madame ce qu'elle fait pour rester jeune et faire le même!
Une vieille dame certes, mais du caractère !!
RépondreSupprimerLa mère des façades:
RépondreSupprimersortie des abris de branches,
forêt de scions et troncs croisés.
Quand la couleur revient (un peu comme la grand-place de Prague), le passé se recompose et transfigure le présent.
RépondreSupprimerUne belle aïeule fardée et bien conservée.
RépondreSupprimerOh ! là-haut une antenne dans le ciel bleu
quelle belle gueule ! pas plus ravaudée que cela
RépondreSupprimerà la croisée des chemins on ne ronge pas son frein
elle éclate encore de couleur et ses fenêtres jumelles ne lui pas voir de loin des tendresses de retour
Moi aussi j'adore ces demeures qui savent préserver leurs mystères. J'aime aussi la couleur qu'on leur redonne.
RépondreSupprimerravalement de façade façon colombage ou d'époque ?
RépondreSupprimer> Maïté/Aliénor, des croix de Saint-André, nécessité et décoration, de la gaieté et une protection sûre. Signe de bonheur.
RépondreSupprimer> Pat, le temps retrouvé, enfin, de cette bonne ville.
> Neyde, l'espace, le temps, à grands pas franchis.
> Monique, elle a du caractère cette dame mais elle reste digne.
> Michel à franquevaux, colombes et sablières, la forêt métamorphosée.
> Dominique, les villes au XV-XVIè siècle plus colorées que l'on l'imaginait.
> Mémoire du silence, l'antenne est sur la maison voisine. Pour un progrès, c'est un progrès... disait le poète. Les antenes, les paraboles, les plaies modernes.
> Thierry, pas une ride, pas un vide, pas une absence; bien présente, solide à son poste.
> Fardoise, couleurs d'époques, couleurs ravivées. Un bouquet d'immortelles.
> Gérard, d'époque, mon ami. Toutes ne le sont pas, d'autres, à la façade outrageusement peintes couleur d'époque, pâle imitation de leurs voisines. Nul ne peut s'y tromper.