vendredi 9 septembre 2011

demoiselles



Sur la toiture à deux pans
deux lucarnes soeurs
une grande une petite
un pigeon au sommet

Orléans, le centre historique, place du Châtelet, maison Jean d'Alibert

20 commentaires:

  1. sur petites fenêtres coquettes
    la petite lucarne
    blottie contre sa grande soeur
    cage d'escalier et belles pièces

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  2. La grande veille la petite, ou peut-être est-ce l'inverse.

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  3. J'y vois une table , un encrier et par la fenêtre le bonheur d'écrire...

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  4. Ouverture d'esprit
    Les yeux levés vers le ciel
    Belle inspiration

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  5. Très jolie maison.
    Que tu nous avais déjà montrée, me semble-t-il.

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  6. Romantiquement en lisant 2 soeurs je pensais à l'écriture et aux lettres élégamment composées vers un mystérieux inconnu !!!!!
    Belle leçon d'architecture

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  7. lucarnes Mère&fille
    pigeon caméléon
    lumière matinale

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  8. il est très agréable de visiter Orléans à mots choisis.

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  9. j'aimerais être la petite pour que la grande me protège !

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  10. > Brigetoun, le regard de l'architecte. La présence de la petite soeur sur le toit ainsi expliquée.

    > Maria-d, main dans la main, sans crainte de tomber, bien arrimées, un regard vers la lune.

    > Pat,
    au clair de la lune,
    Pierrot, mon ami,
    prête-moi ta plume
    pour écrire un mot.

    > Monique, il faut s'élever
    presque au-dessus des toits
    pour trouver l'inspiration
    l'air y est plus vif
    les étoiles plus brillantes.

    > Michel, tu as tout faux, mon ami Michel
    ton oeil pour une fois en défaut
    une maison assez semblable
    dont nous reparlerons...
    Peut-être le même Maître d'oeuvre.

    > Arlettart, qui sait si quelques âmes sensibles ne se sont pas abandonnées devant cette belle fenêtre sous les toits... une plume à la main, la tête dans les nuages, lme chat endormi.

    > Tilia, de bon matin me suit levé et grimpé dans les étages pour guetter le pigeon. Aux couleurs des ardoises, tel une faitière.

    > Maïté/Aliénor, une ville retrouvée et qui renaît. Moi-même, Orléanais bon cru, je découvre et n'en crois pas mes yeux. La ville cachait bien ses trésors.

    > Lautreje, un peu en retrait, la grande soeur prévenante, un besoin de protection.

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  11. et ces murs pignons qui montent, montent, pas seulement une séparation , ni une pudeur mal placée pour, des hauteurs, cacher à la vue les demoiselles.

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  12. Je remarque aussi sur la façade de cette belle habitation d'autres fenêtres, aux morphologies différentes, aux personnalités variées ...
    Cette maison est admirable par bien des aspects, et, si l'intérieur est à l'aune de la façade, que réserve-t-il ?

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  13. Meneaux menés au demeurant, en cette habitation bien du charme et de l'équilibre et cette façade bien ornementée

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  14. Heureusement que tu nous as signalé...
    Le Pigeon caché !!!
    Après avoir bien zoomé, effectivement, il est de ces couleurs qui se confondent avec le paysage !

    Biseeeeeeeeees de Christineeeeeeeeee

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  15. J'ai cherché le pigeon et j'ai eu peur que ce soit moi ! ! ! :)
    Après avoir bien regardé, j'ai trouvé ! Il y a toujours un pigeon dans une relation à deux ! ;)

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  16. > Thierry, ce mur au-dessus des toits est effectivement intrigant. C'est un mur mitoyen et qui - je suppose - faute d'accord entre les deux voisins, est resté en l'état. Ne joue-t-il pas aussi le rôle de coupe-vent et protège du même coup ces demoiselles coiffées des intempéries.

    > Midolu, de l'intérieur serait curieux mais je ne suis pas Asmodée et n'ai pas ses pouvoirs ! Quelques pièces hautes de plafond, des combles sous le toit éclairées des deux lucarnes, les unes et les autres desservies par un escalier à l'origine en colimaçon et étroit, tout au fond du couloir. C'est tout ce que je sais des lieux, la porte toujours fermée que lje n'ai pu jeter un oeil. Est-ce aujourd'hui bien confortable un tel logis ?

    > Thierry, par la main, je vous ménerai goûter les charmes de cette façade sans préjuger de ce qu'elle cache au passant. Dans les jours prochains, je l'espère.

    > Christineeee, le pigeon se confond avec le milieu et se croit en sécurité. sans doute regrette-t-il la fermeture des fenêtres et l'accés au grenier.

    > Jeff, pas obligatoirement ... Il a un air bien triste; ce serait un comble que madame pigeon le fasse ainsi poireauter et soit partie ailleurs !

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  17. Alors, je m'en tiendrais à imaginer, et cela vaut peut-être mieux ! Pourquoi risquer d'être déçue à chercher ce que cache une façade ?

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  18. en marchant surtout ne pas baisser la tête sinon..

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  19. Jolie cohabitation, encore fallait-il la débusquer...

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  20. > Midolu, parfois d'une fenêtre ouverte, quelques notes au piano...

    > Gérard, toujours levée, la tête, sans pour autant marcher la tête haute.

    > Dominique, prendre de la hauteur, s'élever un peu, dépasser le ras des pâquerettes... une petite gymnastique.

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