> Brigetoun, un peu vives les couleurs, la peinture encore fraîche...
> Pat, deux, trois, toutes les époques, déposant leurs strates jusque sur les toits.
> Michel, les fumées montent droites quand le vent de l'histoire ne les contrecarie pas !
> Ulysse, le bois nous renvoie au Moyen-âge, la pierre à la Renaissance. Tous les styles se côtoyant. Si j'étais guide, je ferais stationner mon auditoire un bon moment sur cette place...
> Monique, j'aurais aimé avoir le dessus des cheminées mais il fallait choisir ou couper pas en bas, ou par en haut. Comme pour le costume d'un certain bobo, chez monsieur Molière.
> Dominique: tout est bien droit et à l'endroit. La parenthèse est l'enseigne d'un restaurant dédié à la cuisine espagnole et ce que tu ne parviens pas à déchiffrer est le mot " havana " (écrit en minuscules) dont la barre métallique tronque (volontairement, of course) le mitan. Pub pour annoncer, sans doute, des soirées cubaines.
Bravo !! presque une séquence musicale avec même des reprises ,point et contre point Il y a un air de dessin de rue par là aussi il me semble (Voir Christineeee)
> Arlettart, je verrais bien, en été, sur cette place piétonne, quelques concerts en plein air. Sur la pente lègère, poser les gradins, les musiciens se tenant dans le creux de la conque. Un jeu de lumière sur les façades et dans les soirs bleus les notes voleraient jusqu'aux toits.
> Gérard, l'ardoise est, en pays ligérien, une chose obligée. Celle de Trélazé est hors de prix mais on en trouve, pour faire couleur locale, de la synthétique dont nous nous contenterons.
> Thierry, grimpe mon ami, je te ferais une petite place pour admirer. Les cheminées ne fument plus. Tu ne risques ni de tousser ni de t'enrhumer. Depuis longtemps, sans panache gris ou blanc ou noir, elles sont toujours là, pas sauvées uniquement par la télévision, je l'espère.
> Tilia, les croix de Saint-André font image à ce que je comprends. Orléans a eu, par le passé, un rapport tout particulier avec les Anglais...
Des yeux, des fronts, des couvre-chefs, des bras levés, voici exposé le haut du corps des maisons. Je me demande si elles ne fomentent pas une manifestation ... Mais ce n'est pas leur banderole qui se déroule sur la place ...
verticalité chatoyante
RépondreSupprimerjeux de lignes entrecroisées
les couleurs rebondissent
Géométrie acérée... point de rondeurs
RépondreSupprimerOn sent la droiture.
Velux et colombage deux époques ...
RépondreSupprimerUn certain sens de la verticalité qui n'est pas inesthétique...
RépondreSupprimerMagnifique patchwork de bois et de pierres saisi par un oeil avisé
RépondreSupprimer> Brigetoun, un peu vives les couleurs, la peinture encore fraîche...
RépondreSupprimer> Pat, deux, trois, toutes les époques, déposant leurs strates jusque sur les toits.
> Michel, les fumées montent droites quand le vent de l'histoire ne les contrecarie pas !
> Ulysse, le bois nous renvoie au Moyen-âge, la pierre à la Renaissance. Tous les styles se côtoyant. Si j'étais guide, je ferais stationner mon auditoire un bon moment sur cette place...
Quel joli coup d'oeil, bien cadré, c'est du réussi côté couleurs, côté lignes, côté architecture bravo, elle est belle cette image.
RépondreSupprimerTuiles, briques, croisillons, l'entrecroisment se tient (un détail : je me demande pourquoi la banderole est écrite à l'envers sur la gauche ?).
RépondreSupprimer> Monique, j'aurais aimé avoir le dessus des cheminées mais il fallait choisir ou couper pas en bas, ou par en haut. Comme pour le costume d'un certain bobo, chez monsieur Molière.
RépondreSupprimer> Dominique: tout est bien droit et à l'endroit. La parenthèse est l'enseigne d'un restaurant dédié à la cuisine espagnole et ce que tu ne parviens pas à déchiffrer est le mot " havana " (écrit en minuscules) dont la barre métallique tronque (volontairement, of course) le mitan. Pub pour annoncer, sans doute, des soirées cubaines.
Bravo !! presque une séquence musicale
RépondreSupprimeravec même des reprises ,point et contre point
Il y a un air de dessin de rue par là aussi il me semble (Voir Christineeee)
et qui va payer l'ardoise...du toit
RépondreSupprimeril faut prendre l'altitude
RépondreSupprimermais ça laisse de la latitude (pas que de la latinité)
belle attitude
Bleu blanc rouge, dans le désordre,
RépondreSupprimerquelque chose de l'Union Jack !
> Arlettart, je verrais bien, en été, sur cette place piétonne, quelques concerts en plein air. Sur la pente lègère, poser les gradins, les musiciens se tenant dans le creux de la conque. Un jeu de lumière sur les façades et dans les soirs bleus les notes voleraient jusqu'aux toits.
RépondreSupprimer> Gérard, l'ardoise est, en pays ligérien, une chose obligée. Celle de Trélazé est hors de prix mais on en trouve, pour faire couleur locale, de la synthétique dont nous nous contenterons.
> Thierry, grimpe mon ami, je te ferais une petite place pour admirer. Les cheminées ne fument plus. Tu ne risques ni de tousser ni de t'enrhumer. Depuis longtemps, sans panache gris ou blanc ou noir, elles sont toujours là, pas sauvées uniquement par la télévision, je l'espère.
> Tilia, les croix de Saint-André font image à ce que je comprends. Orléans a eu, par le passé, un rapport tout particulier avec les Anglais...
Des yeux, des fronts, des couvre-chefs, des bras levés, voici exposé le haut du corps des maisons.
RépondreSupprimerJe me demande si elles ne fomentent pas une manifestation ... Mais ce n'est pas leur banderole qui se déroule sur la place ...
> Midolu, une affaire à suivre si le coeur t'en dit...
RépondreSupprimerPour sûr !
RépondreSupprimer