mercredi 18 mai 2011

marches


Une question de degrés
crue et décrue
l'équilibre juste
l'harmonie trouvée


20 commentaires:

  1. descente brutale
    vers la plaque lisse
    de l'eau,
    mais douceur des pierres moussues
    tendresse des fleurs sauvages,
    chute bucolique

    RépondreSupprimer
  2. descente vers l'éphemere , vers la source du vent ...

    RépondreSupprimer
  3. Les couleurs sont belles par temps orageux.

    RépondreSupprimer
  4. et pourquoi pas s'asseoir pour regarder !

    RépondreSupprimer
  5. Si vous permettez, je vais m'assoir pas loin de Lautreje en espérant qu'il ne pleuvra pas ! Position = méditation bien sûr !!!

    RépondreSupprimer
  6. Il y a même l'anneau pour y amarrer sa barque.
    Une promenade en barque si le fleuve est calme.

    RépondreSupprimer
  7. Descente herbue vers les profondeurs insondables de mes pensées
    Attendre la remontée inexorable de la réalité
    Equilibre

    RépondreSupprimer
  8. Une échelle de valeur ou d'avaleur ?
    la submersion mais pas en pente douce.

    RépondreSupprimer
  9. > Brigetoun, qui emprunte encore cet escalier sinon cette flore un peu folle qui s'y risque ?

    > Pat, une descente pour en apprécier la mesure et la démesure.

    > Michel Benoit, le ciel était plombé et la Loire en hautes eaux.

    > Lautreje, c'est que j'ai fait, m'asseoir, et suivre le tumulte des eaux.

    > Mathilde, il y a place pour tous et possibilité de conter fleurette si le coeur vous en dit.

    > Webiane, tu peineras au retour, remontant le courant.

    > Arlettart, des hauts et des bas dans nos pensées. Embrumées ou embrousaillées. Se hisser au niveau de la réalité demande un certain effort.

    RépondreSupprimer
  10. > Thierry, une échelle de valeurs est toujours relative. Ne pas la placer trop haut.

    RépondreSupprimer
  11. De pierres et de mousse
    les marches se perdent
    parmi les herbes folles

    au bout le Grand Fleuve

    RépondreSupprimer
  12. Cette rivière est bien paresseuse qui, à voir l'herbe qui y pousse, ne monte plus guère les marches !

    RépondreSupprimer
  13. > Maria-d, " notre " fleuve, royal...

    > Ulysse, La loire paresse ainsi tout l'été à moins qu'elle pique une colère soudaine. Souvent, mais ce n'est pas le cas ici, une échelle des crues se trouve sur l'un des côtés des marches.

    RépondreSupprimer
  14. Combien de fois ai-je emprunté ces marches au bord de la Loire, m'asseyant, rêvant, méditant, admirant toujours...ah qu'ils me manquent ces bords de Loire où viennent ça et là se poser les oiseaux, les canards... au milieu des herbes sauvages dans les reflets de ses eaux.

    RépondreSupprimer
  15. La descente vers Elle
    La Loire
    Bien douce cérémonie
    Ce fleuve pélerine
    Des forts beaux souvenirs

    RépondreSupprimer
  16. sur les marches de l'empire rien n'empire et tout est précaire, les marquis petits ou grand veillent dans la crainte des remous et tumultes et conjuguent défense avec recul et élévation, mais au palais les fidèles entendent les rumeurs et sentent la turbidité qu'ils conjuguent parfois sur des parois raides avec intrépidité , mais c'est à leurs dépens et quand la peur inonde il est parfois trop tard, monter de quelques degrés encore de peur de se bruler

    RépondreSupprimer
  17. > Monique, de ces escaliers, tout le long des levées, descendant vers le fleuve,les souvenirs posés au bas des marches.

    > Annick, tu es devenue toi aussi amoureuse de ce fleuve, goutant à son embouchure, le grnad large.

    > Thierry, me revient en mémoire cette chanson :

    Aux marches du palais (bis),
    Y'a une tant belle fille, lon la,
    Y'a une tant belle fille.
    - Elle a tant d'amoureux (bis),
    Qu'elle ne sait lequel prendre, lon la,
    Qu'elle ne sait lequel prendre.
    - C'est un p'tit cordonnier, (bis)
    Qu'a eu la préférence, lon la ...
    - Et c'est en la chaussant, (bis)
    Qu'il fit sa confidence, lon la, ...
    - "La belle, si tu voulais,
    Nous dormirions ensemble...
    - Dans un grand lit carré,
    Parfumé de lavande...
    - Aux quatre coins du lit,
    Un bouquet de pervenche...
    - Dans le mitant du lit,
    La rivière est profonde,...
    - Tous les chevaux du roi
    Pourraient y boire ensemble...
    - La belle, si tu voulais,
    Nous dormirions ensemble...
    - Et nous serions heureux
    Jusqu'à la fin du monde."...

    RépondreSupprimer
  18. Merci pierre, c'est un fort belle chanson et même sans vin et juste avec de l'eau l'échanson pourra donner à la libation des airs de libération, boire aux sources de vie et d'espoir et communier ensemble jusqu'à plus soif voilà une belle intention qui doit se concrétiser

    RépondreSupprimer
  19. Superbe perspective, qui se " noie " dans les herbes, les fleurs, le fleuve ...
    Merci !

    RépondreSupprimer