> Ulysse, La loire paresse ainsi tout l'été à moins qu'elle pique une colère soudaine. Souvent, mais ce n'est pas le cas ici, une échelle des crues se trouve sur l'un des côtés des marches.
Combien de fois ai-je emprunté ces marches au bord de la Loire, m'asseyant, rêvant, méditant, admirant toujours...ah qu'ils me manquent ces bords de Loire où viennent ça et là se poser les oiseaux, les canards... au milieu des herbes sauvages dans les reflets de ses eaux.
sur les marches de l'empire rien n'empire et tout est précaire, les marquis petits ou grand veillent dans la crainte des remous et tumultes et conjuguent défense avec recul et élévation, mais au palais les fidèles entendent les rumeurs et sentent la turbidité qu'ils conjuguent parfois sur des parois raides avec intrépidité , mais c'est à leurs dépens et quand la peur inonde il est parfois trop tard, monter de quelques degrés encore de peur de se bruler
> Monique, de ces escaliers, tout le long des levées, descendant vers le fleuve,les souvenirs posés au bas des marches.
> Annick, tu es devenue toi aussi amoureuse de ce fleuve, goutant à son embouchure, le grnad large.
> Thierry, me revient en mémoire cette chanson :
Aux marches du palais (bis), Y'a une tant belle fille, lon la, Y'a une tant belle fille. - Elle a tant d'amoureux (bis), Qu'elle ne sait lequel prendre, lon la, Qu'elle ne sait lequel prendre. - C'est un p'tit cordonnier, (bis) Qu'a eu la préférence, lon la ... - Et c'est en la chaussant, (bis) Qu'il fit sa confidence, lon la, ... - "La belle, si tu voulais, Nous dormirions ensemble... - Dans un grand lit carré, Parfumé de lavande... - Aux quatre coins du lit, Un bouquet de pervenche... - Dans le mitant du lit, La rivière est profonde,... - Tous les chevaux du roi Pourraient y boire ensemble... - La belle, si tu voulais, Nous dormirions ensemble... - Et nous serions heureux Jusqu'à la fin du monde."...
Merci pierre, c'est un fort belle chanson et même sans vin et juste avec de l'eau l'échanson pourra donner à la libation des airs de libération, boire aux sources de vie et d'espoir et communier ensemble jusqu'à plus soif voilà une belle intention qui doit se concrétiser
descente brutale
RépondreSupprimervers la plaque lisse
de l'eau,
mais douceur des pierres moussues
tendresse des fleurs sauvages,
chute bucolique
descente vers l'éphemere , vers la source du vent ...
RépondreSupprimerLes couleurs sont belles par temps orageux.
RépondreSupprimeret pourquoi pas s'asseoir pour regarder !
RépondreSupprimerSi vous permettez, je vais m'assoir pas loin de Lautreje en espérant qu'il ne pleuvra pas ! Position = méditation bien sûr !!!
RépondreSupprimerIl y a même l'anneau pour y amarrer sa barque.
RépondreSupprimerUne promenade en barque si le fleuve est calme.
Descente herbue vers les profondeurs insondables de mes pensées
RépondreSupprimerAttendre la remontée inexorable de la réalité
Equilibre
Une échelle de valeur ou d'avaleur ?
RépondreSupprimerla submersion mais pas en pente douce.
> Brigetoun, qui emprunte encore cet escalier sinon cette flore un peu folle qui s'y risque ?
RépondreSupprimer> Pat, une descente pour en apprécier la mesure et la démesure.
> Michel Benoit, le ciel était plombé et la Loire en hautes eaux.
> Lautreje, c'est que j'ai fait, m'asseoir, et suivre le tumulte des eaux.
> Mathilde, il y a place pour tous et possibilité de conter fleurette si le coeur vous en dit.
> Webiane, tu peineras au retour, remontant le courant.
> Arlettart, des hauts et des bas dans nos pensées. Embrumées ou embrousaillées. Se hisser au niveau de la réalité demande un certain effort.
> Thierry, une échelle de valeurs est toujours relative. Ne pas la placer trop haut.
RépondreSupprimerDe pierres et de mousse
RépondreSupprimerles marches se perdent
parmi les herbes folles
au bout le Grand Fleuve
Cette rivière est bien paresseuse qui, à voir l'herbe qui y pousse, ne monte plus guère les marches !
RépondreSupprimer> Maria-d, " notre " fleuve, royal...
RépondreSupprimer> Ulysse, La loire paresse ainsi tout l'été à moins qu'elle pique une colère soudaine. Souvent, mais ce n'est pas le cas ici, une échelle des crues se trouve sur l'un des côtés des marches.
Combien de fois ai-je emprunté ces marches au bord de la Loire, m'asseyant, rêvant, méditant, admirant toujours...ah qu'ils me manquent ces bords de Loire où viennent ça et là se poser les oiseaux, les canards... au milieu des herbes sauvages dans les reflets de ses eaux.
RépondreSupprimerLa descente vers Elle
RépondreSupprimerLa Loire
Bien douce cérémonie
Ce fleuve pélerine
Des forts beaux souvenirs
sur les marches de l'empire rien n'empire et tout est précaire, les marquis petits ou grand veillent dans la crainte des remous et tumultes et conjuguent défense avec recul et élévation, mais au palais les fidèles entendent les rumeurs et sentent la turbidité qu'ils conjuguent parfois sur des parois raides avec intrépidité , mais c'est à leurs dépens et quand la peur inonde il est parfois trop tard, monter de quelques degrés encore de peur de se bruler
RépondreSupprimer> Monique, de ces escaliers, tout le long des levées, descendant vers le fleuve,les souvenirs posés au bas des marches.
RépondreSupprimer> Annick, tu es devenue toi aussi amoureuse de ce fleuve, goutant à son embouchure, le grnad large.
> Thierry, me revient en mémoire cette chanson :
Aux marches du palais (bis),
Y'a une tant belle fille, lon la,
Y'a une tant belle fille.
- Elle a tant d'amoureux (bis),
Qu'elle ne sait lequel prendre, lon la,
Qu'elle ne sait lequel prendre.
- C'est un p'tit cordonnier, (bis)
Qu'a eu la préférence, lon la ...
- Et c'est en la chaussant, (bis)
Qu'il fit sa confidence, lon la, ...
- "La belle, si tu voulais,
Nous dormirions ensemble...
- Dans un grand lit carré,
Parfumé de lavande...
- Aux quatre coins du lit,
Un bouquet de pervenche...
- Dans le mitant du lit,
La rivière est profonde,...
- Tous les chevaux du roi
Pourraient y boire ensemble...
- La belle, si tu voulais,
Nous dormirions ensemble...
- Et nous serions heureux
Jusqu'à la fin du monde."...
Merci pierre, c'est un fort belle chanson et même sans vin et juste avec de l'eau l'échanson pourra donner à la libation des airs de libération, boire aux sources de vie et d'espoir et communier ensemble jusqu'à plus soif voilà une belle intention qui doit se concrétiser
RépondreSupprimerSuperbe perspective, qui se " noie " dans les herbes, les fleurs, le fleuve ...
RépondreSupprimerMerci !
une direction indiquée, se laisser aller...
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