> Brigitte, je pensais à vous, en particulier, chers Avignonais et à vos trésors, préparant cette note. Dans Orléans quelques restes que la ville, tout récemment, découvre et remet en valeur pour ce qui est au moins des façades.
> Michel, sans ambage, je confirme, le poème. Longtemps les colombages, par crainte des incendies en ville, ont été recouverts d'un crépi qui en avait obscurcit jusqu'à la mémoire...
Waouh, on s'y croirait tellement qu'on a l'impression que Jeanne D'Arc va débarquer d'une minute à l'autre et nous faire un petit coucou à une des fenêtres !!! C'est mon rêve d'habiter dans une bâtisse datant du moyen âge !
> Mathilde, nous sommes en plein dans l'époque johannique et sûr que la libératrice de la ville (1429) y a mis les pieds dans cette rue, située à deux pas du fameux pont des Tourelles. La couleur rouge des colombages est la couleur conservée de l'époque.
Quel plaisir de lire sur les façades de nos villes toute l'évolution des maîtres qui ont su de leur talent marquer toutes les étapes de notre histoire, il y a sûrement encore de ces maîtres d'oeuvres talentueux, osons espérer qu'ils arrivent à laisser aux générations futures semblables richesses, il faut positiver même si le doute existe.
Passé restitué Merveilles architecturales Travail de mémoire
L'histoire a laissé des traces Qu'on se doit de sauvegarder
La vieille maison de ville Pour se faire admirer Teignit ses poutres en bois D'une belle couleur rouge-rosé Et ça n'a pas loupé, Puisque tu l'a remarqué !
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeee
PS/ Original, ça change des poutres en bois sombre.
> Monique, un travail de mémoire. Aller de l'avant sans oublier ce qui est du passé.
> Maria, j'aime le nom de cette rue. J'ai cherché la pierre et la signification que cette dénomination pouvait avoir, mais en vain.
Le coeur des villes si vieux mais loin d'être usé rien qu'un peu fatigué une cure de jouvence.
> Araucaria, Orléans redécouvre ses maisons à colombages sous les crépis qui avaient uniformisé les façades. Le centre historique en est métamorphosé et revit.
> Christineeeeee, ce rouge brique est paraît-il la couleur d'origine. Ailleurs, tu as des jaunes, des marrons,etc. Il ne faut pas voir la vie au XVème siècle avec des lunettes grises.
> Bruno, pour ce qui est de la façade en pierre, c'est la maison dont je t'ai parlé il y quelque temps. Sa restauration vient d'être terminée après moultes péripéties...
> Monique, on sait seulement (des prélèvements l'ont prouvé) que la couleur est d'origine. Le bois est de chênes provenant de la forêt d'Orléans. Des colorants naturels, assurément; peut-être de la garance.
> désolé pour toi, Thierry, on ne refait pas l'histoire...
> Gérard, ces belles façades, pas seulement celles à colombages...
> Tilia, tu as trouvé la poulie servant à grimper les réserves au grenier. Toutes les lucarnes en étaient pourvues. Une cheminée, en effet, d'une maison transverse, bâtie au-dessus de la rue.
façades mieux conservées
RépondreSupprimerque les nôtres`
nous glorifierons donc de nos remparts
même ceux qui sont très refaits
> Brigitte, je pensais à vous, en particulier, chers Avignonais et à vos trésors, préparant cette note. Dans Orléans quelques restes que la ville, tout récemment, découvre et remet en valeur pour ce qui est au moins des façades.
RépondreSupprimerLoin des plages
RépondreSupprimerComme des cages
Les colombages
Hors d'âge
Sages
Et leurs jambages
Sont à la page
À chaque étage
Dans cette image
(Ça c'est du poème)
> Michel, sans ambage, je confirme, le poème.
RépondreSupprimerLongtemps les colombages, par crainte des incendies en ville, ont été recouverts d'un crépi qui en avait obscurcit jusqu'à la mémoire...
Waouh, on s'y croirait tellement qu'on a l'impression que Jeanne D'Arc va débarquer d'une minute à l'autre et nous faire un petit coucou à une des fenêtres !!!
RépondreSupprimerC'est mon rêve d'habiter dans une bâtisse datant du moyen âge !
> Mathilde, nous sommes en plein dans l'époque johannique et sûr que la libératrice de la ville (1429) y a mis les pieds dans cette rue, située à deux pas du fameux pont des Tourelles.
RépondreSupprimerLa couleur rouge des colombages est la couleur conservée de l'époque.
Quel plaisir de lire sur les façades de nos villes toute l'évolution des maîtres qui ont su de leur talent marquer toutes les étapes de notre histoire, il y a sûrement encore de ces maîtres d'oeuvres talentueux, osons espérer qu'ils arrivent à laisser aux générations futures semblables richesses, il faut positiver même si le doute existe.
RépondreSupprimerPassé restitué
Merveilles architecturales
Travail de mémoire
L'histoire a laissé des traces
Qu'on se doit de sauvegarder
Pierre percée
RépondreSupprimermémoire retrouvée
passé recomposé
De bien belles façades, témoins d'un lointain passé. Merci pour l'invitation à faire le détour.
RépondreSupprimerBon samedi.
La vieille maison de ville
RépondreSupprimerPour se faire admirer
Teignit ses poutres en bois
D'une belle couleur rouge-rosé
Et ça n'a pas loupé,
Puisque tu l'a remarqué !
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeee
PS/ Original, ça change des poutres en bois sombre.
Au détour du temps passant mon chemin , je me pose de la plume pour y écrire la beauté , la sérénité de vivre
RépondreSupprimerSait-on avec quels pigments ils donnaient cette teinte aux colombages, car je suppose qu'ils ne devaient pas utiliser des bois rouges exotiques.
RépondreSupprimerPerdu un com sur la chevauchée johannique
RépondreSupprimerinconsolable !
> Monique, un travail de mémoire. Aller de l'avant sans oublier ce qui est du passé.
RépondreSupprimer> Maria, j'aime le nom de cette rue. J'ai cherché la pierre et la signification que cette dénomination pouvait avoir, mais en vain.
Le coeur des villes
si vieux
mais loin d'être usé
rien qu'un peu fatigué
une cure de jouvence.
> Araucaria, Orléans redécouvre ses maisons à colombages sous les crépis qui avaient uniformisé les façades. Le centre historique en est métamorphosé et revit.
> Christineeeeee, ce rouge brique est paraît-il la couleur d'origine. Ailleurs, tu as des jaunes, des marrons,etc. Il ne faut pas voir la vie au XVème siècle avec des lunettes grises.
> Bruno, pour ce qui est de la façade en pierre, c'est la maison dont je t'ai parlé il y quelque temps. Sa restauration vient d'être terminée après moultes péripéties...
> Monique, on sait seulement (des prélèvements l'ont prouvé) que la couleur est d'origine. Le bois est de chênes provenant de la forêt d'Orléans. Des colorants naturels, assurément; peut-être de la garance.
> désolé pour toi, Thierry, on ne refait pas l'histoire...
Je lis que c'est à Orléans cette belle façade, avec détails de colombages
RépondreSupprimerUne lucarne à foin et sa poulie, du pans de bois en veux-tu en voilà, des meneaux itou... mazette, quelle richesse !
RépondreSupprimerEt une mystérieuse cheminée (?) (à hauteur de fenêtre) dans l'angle du fond...
> Gérard, ces belles façades, pas seulement celles à colombages...
RépondreSupprimer> Tilia, tu as trouvé la poulie servant à grimper les réserves au grenier. Toutes les lucarnes en étaient pourvues.
Une cheminée, en effet, d'une maison transverse, bâtie au-dessus de la rue.
bonsoir Pierre
RépondreSupprimerj'aime beau la composition de cette photo et son titre !!!
gros bisous et bonne soiree