Les bords du noeud excavé du bois évoquent des vagues, et pour moi en particulier la Grande Vague de Kanagawa du peintre japonais Katsushika Hokusaï. http://traces.rmc.fr/324881/La-grande-vague-de-Kanagawa/
> avec un tel ancrage, cette vague, Brigitte, ne risque pas de déferler.
> Midolu, l'élan est là, le creux de la vague tel un oeil http://traces.rmc.fr/image/1210754714.jpg/
> Monique, les années que nous pourrions dénombrer... Chaque fibre correpondant à une année!
> Au gré du temps, un souffle de vie, fossilisé, fixé comme dans un instantané...
> Avignon, à moi également, ça me dit quelque chose ...Du déjà vu mais l'oeil ici est en creux: il est vide.
> Tilia, sa fête est passée, je crois. C'était une forte tête Saint-Cloud, fils de Clodomir, roi d'Orléans!
> Lautreje, je parlais de cet "oeil" en creux, évidé. Ce trou raconte à sa façon un peu de l'histoire de cette planche. Il s'agit du départ d'une branche latérale sur l'arbre; les fibres changeant brusquement d'orientation. Ce que les forestiers nomment un "oeil d'élagage", impropre bien sûr à la menuiserie autre qu'artisanale comme ici.
> Maria, tu m'inquiètes avec cette absence d'image. La fatalité me suivrait-elle jusqu'ici?
> Au gré du temps, le bois mis à nu, son âme en peine.
Carved wood not like warmed hood will not be riveted anymore flood and tides are inserted in a strong core totaly scared crumbled lines of wounded pounds give emotion to the surround
Comme par magie depuis quelques semaines je vois toutes les photos de ton blog plus d'aveuglement, plus de cécité ... une ouverture, une respiration et comme par magie, je trouve que tes notes du 27 et 29 novembre 2010 ont un lieu de parenté avec ta note du 7 mai 2014
de cette vague
RépondreSupprimerfaisons de l'ordre
ancrons le monde
gardons la pour nous orner
Comme en finition décorative d'un ouvrage ...
RépondreSupprimerLes bords du noeud excavé du bois évoquent des vagues, et pour moi en particulier la Grande Vague de Kanagawa du peintre japonais Katsushika Hokusaï.
http://traces.rmc.fr/324881/La-grande-vague-de-Kanagawa/
Marqué, patiné
RépondreSupprimerPar le nombre des années
Sculpture temporelle
La matière en mouvement
Dans le courant de la vie
En écume de bois
RépondreSupprimerla matière prie des tourmants
souffle de vie
" tourments " désolé
RépondreSupprimerÇa me dit quelque chose...
RépondreSupprimerÇa me rappelle Saint-Cloud ;-)
RépondreSupprimerCes bois ont tant de choses à raconter. Et vous savez bien les écouter...
RépondreSupprimerEst-ce normal qu'il n'y ait pas d'image ?
RépondreSupprimerMatière en art
RépondreSupprimerl'âme du bois
méditation
> avec un tel ancrage, cette vague, Brigitte, ne risque pas de déferler.
RépondreSupprimer> Midolu, l'élan est là, le creux de la vague tel un oeil
http://traces.rmc.fr/image/1210754714.jpg/
> Monique, les années que nous pourrions dénombrer... Chaque fibre correpondant à une année!
> Au gré du temps, un souffle de vie, fossilisé, fixé comme dans un instantané...
> Avignon, à moi également, ça me dit quelque chose ...Du déjà vu mais l'oeil ici est en creux: il est vide.
> Tilia, sa fête est passée, je crois. C'était une forte tête Saint-Cloud, fils de Clodomir, roi d'Orléans!
> Lautreje, je parlais de cet "oeil" en creux, évidé. Ce trou raconte à sa façon un peu de l'histoire de cette planche. Il s'agit du départ d'une branche latérale sur l'arbre; les fibres changeant brusquement d'orientation. Ce que les forestiers nomment un "oeil d'élagage", impropre bien sûr à la menuiserie autre qu'artisanale comme ici.
> Maria, tu m'inquiètes avec cette absence d'image. La fatalité me suivrait-elle jusqu'ici?
> Au gré du temps,
le bois mis à nu,
son âme en peine.
Chemin de clous
RépondreSupprimerdans les sillons du temps
pour fixer mon âme vagabonde ...
un salut au frère" Au gré du temps" de la part d"'Au gré des jours"
Et le temps passe .............
venue de chez Ariaga, je suis entrée doucement dans cet univers poétique des photos et des mots
RépondreSupprimerJe m'y suis sentie bien!
> Coumarine, bienvenue à bord. Nous ne venons que de décoller. L'aventure est peut-être périlleuse. Merci de la tenter.
RépondreSupprimer> si discrète que dans l'ombre je ne t'avais aperçue Arlettart.
RépondreSupprimerUn passage clouté, en toute sécurité vagabonde.
Si même les vieilles branches se mettent à la mode piercing, où allons nous !
RépondreSupprimerLes vagues du temps
RépondreSupprimerOnt cloué une porte
A multi tours
Le tant décide
Tellement
symbolique du clou et du bois ...l'arbre a-t-il souffert pou notre rachat ?
RépondreSupprimer> Tilia, toujours de l'avant. Bientôt, tatouées!
RépondreSupprimer> Annick, sous les assauts des vagues,
un peu de vague à l'âme mais vaillante par temps ordinaire.
> Ulysse, sous la hache du bûcheron et le marteau du charpentier, assurément...
c'est clous sur ce bois, j'adore
RépondreSupprimermais j'adore aussi ce mouvement que le bois prend
superbe !
Carved wood not like warmed hood
RépondreSupprimerwill not be riveted anymore
flood and tides are inserted
in a strong core totaly scared
crumbled lines of wounded pounds
give emotion to the surround
Très belle photo ; le bois a des mouvements que l'on n'imaginait pas...
RépondreSupprimer> Laurence, des clous comme on n'en trouve plus...
RépondreSupprimer> Thierry, sculpté par le temps, un écorché de l'arbre...
> Gballand, l'arbre mis à nu, torse sous la douleur, mis en croix.
Comme par magie depuis quelques semaines je vois toutes les photos de ton blog
RépondreSupprimerplus d'aveuglement, plus de cécité ... une ouverture, une respiration
et comme par magie, je trouve que tes notes du 27 et 29 novembre 2010 ont un lieu de parenté avec ta note du 7 mai 2014
bien à toi
amitié