Soudain le flot vient buter contre la grève.
Brusquement détourné, le courant s'accélère
délaissant la rive droite pour la gauche...
Ainsi, le fleuve navigue d'une rive l'autre
hésite, paresse, s'alanguit en été
entre les bancs de sable blonds.
Et Il marcha sur les eaux ...
RépondreSupprimerJe marche, je plane, je rêve, au mitan du lit de la Loire
SupprimerAprès l'effort, un peu de repos ...
RépondreSupprimerLe flot hésite, midolu, entre les bancs de sable que le fleuve retravaillera aux hautes eaux. Demain, la saison prochaine, le temps incertain... Un fleuve capricieux.
Supprimermaligne, libre et insouciante la Loire court
RépondreSupprimerelle va et vient au gré des bancs
d'une rive à l'autre se promène
comme un enfant dans le chemin
"ce fleuve qui coulera toujours pour nous entre les rives et les murmures du temps " Jacques Lacarrière
Indomptée, monique, la Loire. Ne la donne-t-on pas pour le dernier fleuve sauvage d'Europe ?
SupprimerLe tout pour s'étaler en douceur et accompagner les âmes promeneuses comme toi...
RépondreSupprimerL'été, Thérèse, comme aujourd'hui, la Loire est un fleuve de sable.
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