> Michel, certes et rond et rond petit patapon mais souviens-toi aussi de ceci :
" Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où, Le Héron au long bec emmanché d'un long cou. Il côtoyait une rivière. L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ; (...) "
> Brigitte Celerier, un peu de poésie en ville aussi... Une trentaine de couples ont été recensés qui nidifient en pleine ville ! N'est-ce pas extraordinaire ?
> Philippe Bullot, je ne serais pas aussi optimiste que toi bien que les arbres soient au milieu du fleuve. Heureusement, peu de gens songent à lever les yeux et les apercevoir. Et puis que les arbres ont la bonne idée de reverdir. Déjà, on ne les repère qu'à peine.
Au dessus du courant des eaux argentées du fleuve peut-il y avoir nids plus douillets qu'au creux de ces hautes branches dans la lumière incomparable du val de Loire, un lieu de rêve.
> Monique, le nid des hérons n'est pas particulièrement douillet selon nos critères. Constitué de rameaux secs ou de branches grossièrement entrelacés et tapissé des d'herbes sèches qui sont le seul confort pour les poussins. Ceux-ci restent au nid une cinquantaine de jours.
en traversant la brière, samedi, quelques hérons hauts sur pattes, dans les champs, et je me demandais, où ils dormaient, maintenant, je sais, merci Pierre.
> Annick, la Brière , un haut lieu pour les volatils aquatiques de tout poil ! On en rencontre jusque dans les champs, guettant peut-être un batracien au bord d'un fossé.
> Mémoire du silence, leur envol est majestueux et leur vol ne passe pas inaperçu, la tête repliée contre le corpst et les pattes allongées servant de gouvernail.
Bonjour Pierre, Il me semble que le printemps a du mal à arriver jusqu'à chez toi ! Je t'envoie du soleil de Toulouse en espérant qu'entre temps, les hérons seront à la fête dans les feuilles des arbres.
> Christineeeee, un grand merci pour cette pensée; hier, on se serait cru en été et ce matin, le ciel était gris, des gouttes de pluie dans le vent. Il pleut au Sud de la Loire et encore une fois les hérons ont la tremblote sur leur nid.
Je remarque que les hérons n'hésitent pas à partager " leur " arbre avec leurs congénères. À moins que certains nids ne soient désaffectés ... Merci pour cette image. Je vois parfois des nids de hérons mais je n'avais jamais encore observé un regroupement d'habitat.
> Midolu, ce n'est qu'au moment de la nidification que des couples se forment. La plupart du temps, les hérons vivent en solitaire. Ces nids n'existaient pas en si grand nombre l'an dernier. On en compte plus d'une vingtaine sur le site.
> Fred, c'est le vivant qui est surprenant dans ses formes comme dans ses comportements.Les modèles si tant est que l'on puisse parler de modèles en l'occurrence, en ce qui concerne les amours sont en nombre indéfini. La Nature en a " inventé " une bien grande variété.
Mais où sont les hérons ?
RépondreSupprimertous partis à la pêche sans doute..
Gare aux petits poissons !
plus d'un finira dans le gosier des jeune affamés.
> Tilia, les hérons sont sur leur nid ou à proximité sur les branches. J'en distingue au moins quatre si ce n'est cinq.
SupprimerHéron ? Héron ? Petit patapon !
RépondreSupprimerDansons la danse de saint gui !
> Michel, certes et rond et rond petit patapon mais souviens-toi aussi de ceci :
Supprimer" Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où,
Le Héron au long bec emmanché d'un long cou.
Il côtoyait une rivière.
L'onde était transparente ainsi qu'aux plus beaux jours ;
(...) "
un peu de poésie en mots, en image, en imagination
RépondreSupprimer> Brigitte Celerier, un peu de poésie en ville aussi... Une trentaine de couples ont été recensés qui nidifient en pleine ville ! N'est-ce pas extraordinaire ?
SupprimerEn toute sécurité! Pourvu que le poisson abonde.
RépondreSupprimer> Thérèse, le poisson abonde. Je ne sais si j'en consommerais personnellement mais les hérons s'en régalent.
SupprimerPersonne ne viendra les perturber ici !
RépondreSupprimer> Philippe Bullot, je ne serais pas aussi optimiste que toi bien que les arbres soient au milieu du fleuve. Heureusement, peu de gens songent à lever les yeux et les apercevoir. Et puis que les arbres ont la bonne idée de reverdir. Déjà, on ne les repère qu'à peine.
SupprimerQue d'eau, que d'eau mais le héron au long bec s'en fiche, il surveille....
RépondreSupprimer> Enitram, la Loire est moyennement haute en ce moment mais occupe largement son lit.
SupprimerPetit clin d’œil sur mon blog !
SupprimerAu dessus du courant des eaux argentées du fleuve peut-il y avoir nids plus douillets qu'au creux de ces hautes branches dans la lumière incomparable du val de Loire, un lieu de rêve.
RépondreSupprimer> Monique, le nid des hérons n'est pas particulièrement douillet selon nos critères. Constitué de rameaux secs ou de branches grossièrement entrelacés et tapissé des d'herbes sèches qui sont le seul confort pour les poussins. Ceux-ci restent au nid une cinquantaine de jours.
SupprimerCette photo a été distinguée par le label Elf Héronnière, pour commémorer le jour où Léonard devint scie.
RépondreSupprimer:Z)
> Michel, tout l'honneur est pour moi!
Supprimeren traversant la brière, samedi,
RépondreSupprimerquelques hérons hauts sur pattes,
dans les champs,
et je me demandais, où ils dormaient,
maintenant, je sais, merci Pierre.
> Annick, la Brière , un haut lieu pour les volatils aquatiques de tout poil ! On en rencontre jusque dans les champs, guettant peut-être un batracien au bord d'un fossé.
SupprimerComme ce mot est joli HERONNIERE tout un poème à lui seul
RépondreSupprimer> Arlettart, tellement joli le mot que bien des propriétés se sont emparé du nom.
SupprimerEn partance vers le grand large.
RépondreSupprimer> Mémoire du silence, leur envol est majestueux et leur vol ne passe pas inaperçu, la tête repliée contre le corpst et les pattes allongées servant de gouvernail.
SupprimerBonjour Pierre,
RépondreSupprimerIl me semble que le printemps a du mal à arriver jusqu'à chez toi !
Je t'envoie du soleil de Toulouse en espérant qu'entre temps, les hérons seront à la fête dans les feuilles des arbres.
Biseeeeeeeeeeeeeees de Christineeeeeeeeeeeeeeeeee
> Christineeeee, un grand merci pour cette pensée; hier, on se serait cru en été et ce matin, le ciel était gris, des gouttes de pluie dans le vent. Il pleut au Sud de la Loire et encore une fois les hérons ont la tremblote sur leur nid.
SupprimerJe remarque que les hérons n'hésitent pas à partager " leur " arbre avec leurs congénères.
RépondreSupprimerÀ moins que certains nids ne soient désaffectés ...
Merci pour cette image. Je vois parfois des nids de hérons mais je n'avais jamais encore observé un regroupement d'habitat.
> Midolu, ce n'est qu'au moment de la nidification que des couples se forment. La plupart du temps, les hérons vivent en solitaire.
SupprimerCes nids n'existaient pas en si grand nombre l'an dernier. On en compte plus d'une vingtaine sur le site.
Tout cela est bien surprenant!
RépondreSupprimer> Fred, c'est le vivant qui est surprenant dans ses formes comme dans ses comportements.Les modèles si tant est que l'on puisse parler de modèles en l'occurrence, en ce qui concerne les amours sont en nombre indéfini. La Nature en a " inventé " une bien grande variété.
SupprimerJe devine deux hérons sur les branches.
RépondreSupprimerBelle image.
J'ai aimé voir, pendant le voyage, beaucoup de nids sur les arbres.
Au moins, l'espoir.
> Neyde, en espérant que le mauvais printemps que nous avons ne perturbe pas trop les couvaisons...
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