lundi 4 juillet 2011

la fête


Du monde au balcon
les chapeaux de traviole
l'orphéon dans la rue


22 commentaires:

  1. écouter
    se réjouir pour la joie dehors
    faire la fête chez soi

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  2. Ils se pressent, le spectacle va commencer,
    ils n'oublient pas de sortir couverts ...

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  3. Du monde, sans aucun doute :
    http://theatredubalcon.org

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  4. Têtes chenues
    en rangs serrés
    voyage organisé

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  5. Pas des sphères
    sous leur poussière
    des armillaires

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  6. Fontaines de sable
    en cascade
    miel ou caramel
    les spores
    comme des paupières
    fardées.

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  7. Comme des gars qui vont à la fête :

    http://www.youtube.com/watch?v=JA0CAtWLWoY

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  8. Les feuilles sèches au sol
    Le silence là bas.
    La fète est déjà finie?
    -----------------------
    C'est dommage,
    je suis venue en retard!

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  9. On penserait à du lactaire
    plus qu'à de la russule
    mais personne qui s'y brule
    à la table des actuaires
    ils sont si nombreux
    mais quelle espérance
    qu'ils bleuissent
    qu'ils verdissent
    qu'ils tapissent

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  10. Ils ne sont pas nés un quatre juillet
    mais il faudra patiemment les essuyer
    pas de mykonos ni en kimonos
    leurs teintes les grisent
    mais rien ne les défrisent
    ils ornent des troncs
    et vont en colonie

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  11. En rangs bien serrés
    Témoins d'un drame qui se joue
    Les envahisseurs

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  12. Cymbales en harmonie
    les oreilles en tintent encore
    C'est la Fête

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  13. le bruit des feuilles sèches
    sous mes pieds
    La memoire des moments heureux
    dans mon coeur.

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  14. > Brigetoun, bon Festival, un bain de foule, c'est juillet en fête chez toi, tu en auras. mais qui aura la meilleure place ?

    > Midolu, on n'attend plus que les trois coups, entre cour et jardin, chacun entrera et sortira à son tour. Un ballet bien réglé.

    > Jean-Baptiste, j'aurais pu, et le regette, intituler cette scène " Bain de foule " !

    > Tilia, tous trouveront-ils de la place ? Serrons les rangs et les coudes. L'affluence est grande et le départ imminent.

    > Chez moi, Tilia, on nomme cette colonie des " souchettes ". Ce ne sont pas des Armillaires (ceux-là n'ont pas d'anneau à leur pied) mais leur nom m'échappe.

    > Maïté-Aliènor, tellement poudrés qu'ils en deviennent visqueux !

    > Tilia, les champignons peuvent ensorceller mais ceux-là n'iront pas jusqu'à former des ronds de sorcières dans les près. On ne les rencontre que sur les vieilles souches, ici, une souche de peuplier ou d'aulne. Je ne sais plus très bien, il y a si longtemps que l'arbre à été abattu.

    > Michel à franquevaux, les mélodies de Poulenc, la voix un rien coquine de régine Crespin, rien de mieux pour accompagner cette foule hilare. Merci, Michel.

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  15. > Neyde, l'automne chez toi est passé et la saison des champignons. Tout ce monde est rentré chez soi et les feuilles balayées par le vent se sont envolé.

    > Thierry, ni lactaires ni russules ne forment de telles communauté ! Pour ne pas les confondre, rien ne vaut de faire, sur le terrain, connaissance.

    > Thierry, en colonie et colonisant. Tilia me signale, avec juste raison, que ce sont armillaires, destructeurs de la matière des arbres. Sous leur allure mielleuse, ils cachent bien leur fourberie.

    > Lautreje, je voyais des chapeaux au bord relevé. Y verrais-tu, au contraire, des jupons retroussés ? Un rien de frivolité pour mieux cacher son jeu.

    > Monique, oui ce sont des envahisseurs et lorsque nous voyons poindre cette foule, le mal est fait; les conquérants, bien en place, ont envahis perfidement le corps entier de l'arbre.

    > Arlettart, mais ce n'est pas la fête pour l'arbre si ces fructifications sont le triomphe du conquérant. Le bonheur des uns fait le malheur des autres.

    > Neyde, souvenirs, souvenirs, traînant les pieds dans les feuilles mortes ...

    Oh je voudrais tant que tu te souviennes
    Des jours heureux ou nous étions amis
    En ce temps là, la vie était plus belle
    Et le soleil plus brûlant qu'aujourd'hui
    Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
    Tu vois je n'ai pas oublié
    Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
    Les souvenirs et les regrets aussi
    Et le vent du nord les emportent
    Dans la nuit froide de l'oubli
    Tu vois, je n'ai pas oublié
    La chanson que tu me chantais...
    (Les feuilles mortes de Montand)

    > Passantepensante, quand le coeur est de la partie, disons-le comme ça : on tente de chanter à défaut de pleurer.

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  16. Chapeau bas pour la photo, les mots , l'idée !

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  17. Il est parfois des parasites qui font de bien jolies visites...

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  18. Bonjour je découvre votre blog par celui de PHIL
    bravo j'aime cette photo bravo

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