Le cadrage et le zoom sont différents d'hier ! Il faut laisser l'appareil en place sur un pied et prendre une photo par jour pendant quelques années. Après, tu fais un film... !
Loin des cactées, régime lacté pour appareil tracté et mu par un désir de nourrir nos imaginations, la constellation du taureau n'est pas bien loin sans doute qui donne en pâture ces lambeaux de vie sans que les flambeaux ne vacillent.
Ce n'est pas bidon de voir le laitier enfourner ces lourds récipients d'alu dans le déversoir et même si c'est le matin il reste une trace de nuit et puis sur les lèvres aussi il y a un léger nuage de lait qui montre que tout ne s'est pas dissipé d'un coup alors si la vache veut de sa queue essuie glace effacer toutes ces traces , pourquoi pas, mais dans l'ébranlement de toute cette quincaille il y a d'abord de la nostalgie celle du temps de l'enfance et de la transhumance dans les terres patriarcales dans les arcanes de la vie paysanne.
La vache ferait elle des vagues, pas de fond ni d'affront dans cette lactance qui met en joie la jactance la voie est toute tracée mais qui est le sot qui à renversé le seau cela ne tombe pas sous le sceau de comprendre d'où ses longues trainées s'échappent
Une propulsion actée par des trainées de sillages ce ne sont pas des enfantillages mais telles que concoctée des condensations qui turbulent dans l'azur et signalent bien après son passage l'aéronef
> Brigetoun, les oiseaux s'éveillent, un grand vol d'oiseaux blancs dans le ciel.
> Michel Benoit, défiant le temps, mon rêve. Rien de plus fantastique qu'en accéléré que les nuages qui défilent.
> Pat, dans l'herbe mouillée du matin , le chat secoue ses pattes.
> Mémoire du silence, une mer de nuages, la plage dans l'ombre, seul l'arbre pointe au soleil.
> Ulysse, à défaut de la Vache, il y a le Taureau mais de lait tu ne compteras pas.
> Tilia, tous d'un même élan, les avions partis de Roissy, voguant Sud-Sud-Ouest.
> Annick, simple est le réveil, reprendre pied sur terre, ouvrir la fenêtre et pointer le ciel.
> Brigitte, le temps d'un instant, les avions déjà loin, une trace éphémère.
> Thierry, à tes mots, on jubile, roue libre de ta pensée, tu t'échappes et sans craindre les épines pas plus que les chausses-trapes, ton esprit vagabonde, posant ici une brassée non point de bois vert mais de mots chantant et percutant.
> Monie, ce n'est pas sous nos cieux que janvier soit le meilleur mois pour observer la Voie Lactée. Je préfère le mois d'août pour cela. Laisser rosir puis ajouter un peu de céruse. Mélanger avec nonchalence le tout. A consommer tiède.
> Michel, à franquevaux, des intentions et des réponses, augures imprévisibles tel un ciel qui insensiblement vire au désastre.
> Thierry, ah! l'odeur d'étable où paisibles les bêtes ruminent tandis qu'un trait de lait gicle dans le seau mousseux... Souvenirs d'un temps jadis où au bout du chemin l'on portait un ou deux bidons remplis du précieux liquide et qui attendraient là le passage du laitier. Guère le temps de jacter car à la main la traite était faite et il fallait faire vite.
> Midolu, une tartine beurrée, un peu de pain viennois, une tranche de pain d'épice et du miel me suffiront pour ce matin. Les trois coups pourront être frappés...
le matin s'ébroue
RépondreSupprimerles sons viennent
frissonner un peu
Le cadrage et le zoom sont différents d'hier !
RépondreSupprimerIl faut laisser l'appareil en place sur un pied et prendre une photo par jour pendant quelques années. Après, tu fais un film... !
Rosée du matin
RépondreSupprimerBonheur
Nuages en vagues
RépondreSupprimerdans un ciel de mer
d'ambre est la plage
où les arbres tendent
leurs doigts
Je connais la grande Ourse mais n'avais encore point vu la vache céleste ! merci Pierre pour la découverte.
RépondreSupprimerTour flamboyant à l'horizon
RépondreSupprimerdans le ciel ballets d'avions
monopolisent l'attention
créant une blanche inondation
c'est beau!
RépondreSupprimerj'aime beaucoup ces 3 vers Jeandler, un vrai regard :)
RépondreSupprimerLoin des cactées, régime lacté pour appareil tracté et mu par un désir de nourrir nos imaginations, la constellation du taureau n'est pas bien loin sans doute qui donne en pâture ces lambeaux de vie sans que les flambeaux ne vacillent.
RépondreSupprimerje reçois comme mot clé "valve" et je pense échappement libre pour que nos fibres enfantines vibrent pleinement
RépondreSupprimermaintenant c'est jubbisma qui me fait jubiler
RépondreSupprimerLumière lactée
RépondreSupprimerEspace rosé
Ciel ambré
"Le ciel reçoit de riches couleurs comme un camaïeu fondant l'espace".
Étude, étude, à l'étude : des intentions et des réponses.
RépondreSupprimerLe miroir au devant, la courbe sur le front et une incertitude majuscule.
Il y en a à voir au ciel, le soir, dans la dérive.
Ce n'est pas bidon de voir le laitier enfourner ces lourds récipients d'alu dans le déversoir et même si c'est le matin il reste une trace de nuit et puis sur les lèvres aussi il y a un léger nuage de lait qui montre que tout ne s'est pas dissipé d'un coup alors si la vache veut de sa queue essuie glace effacer toutes ces traces , pourquoi pas, mais dans l'ébranlement de toute cette quincaille il y a d'abord de la nostalgie celle du temps de l'enfance et de la transhumance dans les terres patriarcales dans les arcanes de la vie paysanne.
RépondreSupprimerLa vache ferait elle des vagues, pas de fond ni d'affront dans cette lactance qui met en joie la jactance la voie est toute tracée mais qui est le sot qui à renversé le seau cela ne tombe pas sous le sceau de comprendre d'où ses longues trainées s'échappent
RépondreSupprimerUne propulsion actée par des trainées de sillages
RépondreSupprimerce ne sont pas des enfantillages mais telles que concoctée des condensations qui turbulent dans l'azur et signalent bien après son passage l'aéronef
> Brigetoun, les oiseaux s'éveillent, un grand vol d'oiseaux blancs dans le ciel.
RépondreSupprimer> Michel Benoit, défiant le temps, mon rêve. Rien de plus fantastique qu'en accéléré que les nuages qui défilent.
> Pat, dans l'herbe mouillée du matin , le chat secoue ses pattes.
> Mémoire du silence, une mer de nuages, la plage dans l'ombre, seul l'arbre pointe au soleil.
> Ulysse, à défaut de la Vache, il y a le Taureau mais de lait tu ne compteras pas.
> Tilia, tous d'un même élan, les avions partis de Roissy, voguant Sud-Sud-Ouest.
> Annick, simple est le réveil, reprendre pied sur terre, ouvrir la fenêtre et pointer le ciel.
> Brigitte, le temps d'un instant, les avions déjà loin, une trace éphémère.
> Thierry, à tes mots, on jubile, roue libre de ta pensée, tu t'échappes et sans craindre les épines pas plus que les chausses-trapes, ton esprit vagabonde, posant ici une brassée non point de bois vert mais de mots chantant et percutant.
> Monie, ce n'est pas sous nos cieux que janvier soit le meilleur mois pour observer la Voie Lactée. Je préfère le mois d'août pour cela.
Laisser rosir puis ajouter un peu de céruse. Mélanger avec nonchalence le tout. A consommer tiède.
> Michel, à franquevaux, des intentions et des réponses, augures imprévisibles tel un ciel qui insensiblement vire au désastre.
> Thierry, ah! l'odeur d'étable où paisibles les bêtes ruminent tandis qu'un trait de lait gicle dans le seau mousseux... Souvenirs d'un temps jadis où au bout du chemin l'on portait un ou deux bidons remplis du précieux liquide et qui attendraient là le passage du laitier. Guère le temps de jacter car à la main la traite était faite et il fallait faire vite.
Nuages, traces laiteuses à la surface du café, comme dans le ciel qui s'anime.
RépondreSupprimerAvant-scène du lever de l'astre ...
> Midolu, une tartine beurrée, un peu de pain viennois, une tranche de pain d'épice et du miel me suffiront pour ce matin. Les trois coups pourront être frappés...
RépondreSupprimer