Propriétaire restaurant Belle maison restaurée Modèle de restauration Bon soldat avec adresse torée Mange ce qui reste aux rations Et revient preste au rang
Colombe sans âge avec elle le mystère s'épaissit on peut être épaté entre Jargeau et Patay mais la geste Johannique a juste servi de prétexte à un nationalisme en veine d'héroïne De Domrémy à Compiègne pas besoin d'une duègne juste quelques maîtres d'arme pour une pucelle et tout un vacarme pour une sortie couronnée le succès est parfois éphémère qui conduit de Bourges à Reims les soudards comme les capitaines étaient ils subjugués ou agacés?
Jeanne d"arc, Orléans C'est bon nous découvrir Mon coeur batte plus rapidement Et je pense en regardant la date si lontaine Où sont les jours d'antan? Où se chache le temps à venir?
Belle maison aux colombages, en aurait-elle des choses à dire, de son passé d'autrefois. Si Jeanne d'Arc ...avait pu, mystère ! Le paradoxe de la prise de vue est que la monture défrise à peine. Deux temps, deux époques. Va ... la vie va !
> Brigetoun, reconstruite de bric et de broc, récupération de matériaux ayant résistés au bombardement et à l'incendie.
> Gilles de R., c'est aujourd'hui un Musée rassemblant des souvenirs ayant trait à la Pucelle et pas un restaurant... pas même du temps de Jeanne, elle n'était hostellerie mais demeure noble intra-muros.
> Thierry, un natiolanisme qui se cherchait, un royaume incertain, des frontières fluctuantes.
Mes amis, que reste-t-il à ce roi si gentil ? Orléans, Beaugency, Notre-Dame de Cléry Vendôme, Vendôme.
chante le carillon.
> Tilia, chaque année la municipe choisit une Jeanne nouvelle. Equipée de pied en cape, harnachée d'une armure, portant haut ses couleurs, montant un blanc dextrier, par les rues de la ville, elle chevauche en une calvacade presque hollywoodienne.
> Lautreje, mission accomplie, elle trouva gîte et couvert en cette noble demeure de Jacques Boucher, trésorier du Charles d'Orléans. Avait-on ce jour-là eut le temps de mettre le pain au four ?
> Midolu, ce scooter abandonné à la porte ne me déplu pas mais la Harley auraut été plus chère.
> Mémoire du silence, perdues, les neiges d'antan. Cette maison a subi bien des avanies au cours des siècles. En 1909, pour élargir la rue et la mettre au cordeau, on n'hésita pas à reculer de plusieurs mètres sa façade et comme le terrain étant en pente (vers la Loire) on lui adjoint ce soubassement de pierre pour corriger le défaut. C'était là le moindre de ses ennuis. En 1940, elle est bombardée, incendiée et complètement détruite. Ce n'est que dans les années 60 qu'on la reconstruit, Malraux en posant la première pierre, pour la retrouver sous cet aspect. Un vrai faux.
> Neyde, comme tu le comprendras ce n'est pas la plus vieille maison d'Orléans !
> Philoplume, un peu d'humour de la part du photographe...
> Arlettart, le noble et fringant chevalier (servant) avait, dit-on, nom de La Hire...
> Annick, il a posé sa moto et abandonné son casque... tant de hâte pour monter l'escalier.
> Pat, le charme est-il retrouvé pour autant? Les remparts disparus, la Porte de la ville démolie, resta la maison amputée de son jardin.
> Fardoise, une nécessité comme je l'explique plus haut. A cette époque, les maisons toute de bois comme en témoigne d'autres logis en ville, restés intacts ou peu s'en faut.
Se découpant sur fond d'azur La ferme était fausse bien sûr, Et le chaume servant de toit Synthétique comme il se doit. Au bout d'une allée de faux buis, On apercevait un faux puits Du fond duquel la vérité N'avait jamais dû remonter. (G. Brassens, Le faussaire)
du haut des siècles
RépondreSupprimerbriques et bois se sont penchés
sur tant et si diverses
montures
Propriétaire restaurant
RépondreSupprimerBelle maison restaurée
Modèle de restauration
Bon soldat avec adresse torée
Mange ce qui reste aux rations
Et revient preste au rang
Colombe sans âge
RépondreSupprimeravec elle le mystère s'épaissit
on peut être épaté
entre Jargeau et Patay
mais la geste Johannique
a juste servi de prétexte
à un nationalisme en veine d'héroïne
De Domrémy à Compiègne
pas besoin d'une duègne
juste quelques maîtres d'arme
pour une pucelle
et tout un vacarme
pour une sortie couronnée
le succès est parfois éphémère
qui conduit de Bourges à Reims
les soudards comme les capitaines
étaient ils subjugués ou agacés?
Casquée, bottée, sanglée de cap en pied
RépondreSupprimerchevauchant son moderne dextrier
Jeanne en Harley Davidson
ne reconnait plus personne
aux croisés des chemins
RépondreSupprimerune halte
un bon pain
Monture moderne, et picotin adapté ...
RépondreSupprimerL'avoine n'y suffira pas !
" Et Jeanne, la bonne Lorraine
RépondreSupprimerQu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
Où sont-ils, où, Vierge souvraine ?
Mais où sont les neiges d'antan ? "
F. Villon
http://www.youtube.com/watch?v=87g34eZoAuQ
Jeanne d"arc, Orléans
RépondreSupprimerC'est bon nous découvrir
Mon coeur batte plus rapidement
Et je pense en regardant
la date si lontaine
Où sont les jours d'antan?
Où se chache le temps à venir?
Belle maison aux colombages, en aurait-elle des choses à dire, de son passé d'autrefois. Si Jeanne d'Arc ...avait pu, mystère !
RépondreSupprimerLe paradoxe de la prise de vue est que la monture défrise à peine. Deux temps, deux époques. Va ... la vie va !
Il reste Belle demeure
RépondreSupprimeroù se cache gente dame
attendant son Chevalier .....motorisé
Mais il monte l'escalier oubliant fringante monture
Il a posé sa moto
RépondreSupprimerPour retrouver sa belle
C'est ainsi en ce siècle
Du haut du temps , charme préservé ...
RépondreSupprimerLes colombages côtoient la pierre romane, beau voisinage.
RépondreSupprimer> Brigetoun, reconstruite de bric et de broc, récupération de matériaux ayant résistés au bombardement et à l'incendie.
RépondreSupprimer> Gilles de R., c'est aujourd'hui un Musée rassemblant des souvenirs ayant trait à la Pucelle et pas un restaurant... pas même du temps de Jeanne, elle n'était hostellerie mais demeure noble intra-muros.
> Thierry, un natiolanisme qui se cherchait, un royaume incertain, des frontières fluctuantes.
Mes amis, que reste-t-il à ce roi si gentil ?
Orléans, Beaugency, Notre-Dame de Cléry
Vendôme, Vendôme.
chante le carillon.
> Tilia, chaque année la municipe choisit une Jeanne nouvelle. Equipée de pied en cape, harnachée d'une armure, portant haut ses couleurs, montant un blanc dextrier, par les rues de la ville, elle chevauche en une calvacade presque hollywoodienne.
> Lautreje, mission accomplie, elle trouva gîte et couvert en cette noble demeure de Jacques Boucher, trésorier du Charles d'Orléans. Avait-on ce jour-là eut le temps de mettre le pain au four ?
> Midolu, ce scooter abandonné à la porte ne me déplu pas mais la Harley auraut été plus chère.
> Mémoire du silence, perdues, les neiges d'antan. Cette maison a subi bien des avanies au cours des siècles. En 1909, pour élargir la rue et la mettre au cordeau, on n'hésita pas à reculer de plusieurs mètres sa façade et comme le terrain étant en pente (vers la Loire) on lui adjoint ce soubassement de pierre pour corriger le défaut. C'était là le moindre de ses ennuis. En 1940, elle est bombardée, incendiée et complètement détruite. Ce n'est que dans les années 60 qu'on la reconstruit, Malraux en posant la première pierre, pour la retrouver sous cet aspect. Un vrai faux.
> Neyde, comme tu le comprendras ce n'est pas la plus vieille maison d'Orléans !
> Philoplume, un peu d'humour de la part du photographe...
> Arlettart, le noble et fringant chevalier (servant) avait, dit-on, nom de La Hire...
> Annick, il a posé sa moto et abandonné son casque...
tant de hâte pour monter l'escalier.
> Pat, le charme est-il retrouvé pour autant? Les remparts disparus, la Porte de la ville démolie, resta la maison amputée de son jardin.
> Fardoise, une nécessité comme je l'explique plus haut. A cette époque, les maisons toute de bois comme en témoigne d'autres logis en ville, restés intacts ou peu s'en faut.
Alors Pierre, c'est encore une histoire à la Brassens que tu me contes là :
RépondreSupprimerhttp://www.wat.tv/video/georges-brassens-faussaire-1vddf_2fgqp_.html
amitié et
Belle journée
> Maria, rien que les apparences...
RépondreSupprimerSe découpant sur fond d'azur
La ferme était fausse bien sûr,
Et le chaume servant de toit
Synthétique comme il se doit.
Au bout d'une allée de faux buis,
On apercevait un faux puits
Du fond duquel la vérité
N'avait jamais dû remonter.
(G. Brassens, Le faussaire)